Festival de la Roche sur Yon 2020

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Jeudi 15 octobre, présenté par Eric Judor et Adrien Denouette (mon prof de critique). Suivi d'une conférence sur Eric Judor et toujours animé par Denouette
Première fois que je découvre le film, sympathique et drôle. Le duo Jim Carrey Jeff Daniels marche du tonnerre. Après, je suis pas non plus totalement emballé, je trouve que le film a certaines longueurs, notamment sur la fin, même si ça reste un bon moment.

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Jeudi 15 en présence du réalisateur Quentin Reynaud avec qui on a pu discuter
Pour le moment, le meilleur film vu au festival. Étant fan de tennis et tout particulièrement de Roland Garros, le film cerne très bien les enjeux d'un joueur sur sa fin de carrière, déterminé à continuer. Après, je trouve que le film est assez sage pendant une bonne heure et demi, pas vraiment de fulgurance, ni même dans la mise en scène des matchs. Par contre, la dernière demi-heure est à la limite du grandiose, intense, foutrement bien filmé et nous faisant vivre la ferveur d'un véritable match de Roland Garros.

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Vendredi 16
Le sujet du documentaire est vraiment intéressant. On commence par une présentation du concept très claire, limpide. C'est une sorte d'immense parc de retraite pour vieux. Puis le film se concentre sur trois portraits pour montrer l'envers du décors. On regrette quelques longueurs dans le rythme, notamment vers la fin et des portraits inégaux. Un ou deux portraits attisent la compassion et l'intérêt quand le troisième est clairement antipathique.

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Vendredi 16
Un film sur un rappeur subissant une maladie qui l'affaiblit au point de ne plus pouvoir marcher. Une sorte de trip sous acide assez déconcertant. Certains passages sont vraiment de mauvais moments. Mais à côté, le personnage principal est vraiment attachant et certains passages sont vraiment marquants grâce à la performance de Riz Ahmed.

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Vendredi 16
Cinq personnes ont quitté la salle pendant le film et personne n'a applaudit à la fin. Un ami m'avait même déconseillé plus tôt dans la journée. Isabella commence par un magnifique plan de mer, presque mélancolique. Puis c'est le vide total. Un scénario incompréhensible, des personnages qui se déplacent pour finalement reprendre le chemin inverse pour finalement faire de nouveau marche arrière. Peut-être l'heure et demi la plus longue de ma vie

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Samedi 17
Un film sympathique très shonen sur les bords (chose dont je suis peu sensible). Les fans de culture japonaise seront sensibles à ce que raconte cet énième teen movie japonais se passant dans un lycée. Les autres comme moi n'en auront pas grand chose à foutre sans passer un mauvais moment.

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Samedi 17 Un excellent Quentin Dupieux, moins méta que ses précédents films, mais c'est probablement celui qui m'a le plus fait rire. Le duo Marsais/Ludig fonctionne sans surprise à merveille et certaines gags sont juste à crever de rire. Un des moments les plus drôles de ce festival!

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Dimanche 18, Jarvier Bardem excellent dans ce rôle. Le film est plus une sorte d'expérience sensorielle qui vise à nous plonger dans la psychologie d'un homme malade qui n'est plus vraiment là. A la fois aux côtés de Salma Hayek pour un road trip, avec sa fille en plein New York ou en Grèce auprès de jeunes femmes, le personnage divague et perd de temps en temps le spectateur. Un film intéressant, mais je ne suis clairement pas conquis.