Huge Fire, les gros films qui se sont fait plaiz.

Annotation :

A cette époque, ils sortaient pas mal de péplum (ça commence avec Gladiator, et puis Alexandre, Kingdom of Heaven, King Arthur etc.), avec ma mère on les as tous vu. C'était vraiment le régal, deplus c'était pas mal violent, très guerrier, mais ma mère qui est prof de latin/grec adorait aussi, la limite sera 300 qui créa la discorde. C'est aussi le moment ou je commence à choisir les films que je regarde, j'emmène plus ma mère qu'elle m'emmène, et je commence à aller voir des films avec mes amis, comme Star Wars III, l'année d'après. Gros kiff sur Orlando Bloom à ce moment, mais sauf pour ce film, là il est nase, son personnage pue. Par contre wha, quels fights...

Annotation :

Bien sûr, je ne l'ai pas vu à l'époque, je l'ai vu bien plus tard en streaming sur l'ordinateur familial quand j'étais au lycée et que je me faisais des nuits par réalisateurs. J'avais vu par mon oncle, quelques extraits de Tigre & Dragon et de Matrix Reloaded, le cinéma de hong-kong et les arts martiaux était à la mode. Je me rappelle des affiches qui étaient bien stylé. Quand je l'ai enfin vu c'était un excellent moment, j'ai bizarrement était complétement happé par l'histoire, alors que les gens qui m'ont parlé ont toujours vu ce film au prisme de ces références et de ces ambiances.C'est un film original,d'auteur mais c'est aussi un gros mastodonte, très libre et très créatif comme on en voit peu (en fait cette liste parle peut être de la décroissance de la créativité à gros budget, qui était le gros charme des années 80).

C'est peut être le film qui illustre le plus le délire années 2000 de la liste (le terminal de Spielberg est pas mal dans le style aussi).

Annotation :

Je l'ai vu avec ma grand mère au cinéma de Palaiseau qui s'appelait à l'époque les trois vallées, nous sommes sortit de la salle parce que la scène de catch me faisait peur, mais j'ai pris mon courage à deux mains et nous sommes rerentré. Heureusement, car quel film, wahou. Magistral. C'était vraiment le seumum du gros délire, ça donnait tellement envie d'être Spiderman.

Dans cette version de Spider Man il tire ses pouvoirs de la génétique, petit à petit au grès des autres adaptations, c'est plus une vision hight tech qui est décrite.

Annotation :

Ma mère voulait que je range ma chambre avant de m'emmener. J'ai speeder et nous sommes allé à l'UGC de Vélizy, c'était incroyable, l'énorme révélation, je n'avais pas lu les livres même si ma grand mère me les avait offert à noël. La plongée dans ce monde était intense, tellement riche mais si chaleureux et si envoutant. J'ai tout de suite était fan, en rentrant à la maison je commençais directement le tome 2 et la saga m'accompagna moi et tout les autres de mon époque jusqu'à la fin de l'adolescence. La saga des films d'ailleurs illustre bien la transition entre le style des années 90 et celui à venir des années 10.

Annotation :

Mon oncle encore une fois (il m'a toujours montré les trucs cools) m'avait montré ce film à fontainebleau sur son ordi portable, la grande époque des DIVX. J'avais peut être déjà vu les vieux batman et superman, mais là c'était le premier film "moderne" de super héros, incroyable, beaucoup plus réaliste et organique, ça m'avait fait quelque chose.

Annotation :

Ce film je l'ai vu plusieurs années plus tard, en CM2 sans doute. C'était mon ami Tristan qui m'avais prêté la cassette, grosse frayeur, mais aussi gros délire, toute cette ambiance aventure mystico-orientale et épouvante ne me laissait pas indifférent, car oui, pour moi ce film n'était pas du fantastique c'était un film d'horreur.

Annotation :

Le premier film que je suis allé voir au cinéma avec mon oncle, l'année où on a gagné la première coupe du monde et ma soeur est née. J'avais cinq ans et c'était incroyable, j'étais très impressionné. Zorro était un des personnages phares de mon enfance et de celles de ma mère et son frère, nous avions grandis avec la série N&B de Walt Disney.