Impressions

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Vu le 17.03 au cinéma

Une routine tranquille mais enivrante, Jarmusch filme la poésie du quotidien avec élégance.

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Vu le 16.03 au cinéma (ciné-club des lycéens).

Un rapport au genre remis en question de manière assez superficielle et un scénario plutôt scolaire. Cependant une construction et une évolution des personnages intéressantes et de très bons acteurs.

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Vu le 15.03.

"Au hasard balthazar, c'est la vie en une heure et demie"
Jean-Luc Godard
Un chef-d’œuvre qui livre une analyse sans concession de la nature humaine et des aléas que la vie réserve.

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Vu le 19.03.

Des décors grandioses et une intrigue peut-être moins banale qu'il n'y parait. Selon Kracauer, la fin est d'ailleurs plus une manœuvre de Joh Fredersen qu'une véritable réconciliation entre les mains et le cerveau ; une forme de politique d'apaisement afin d'éviter que les ouvriers ne gagnent leur cause mais aussi de renforcer son emprise sur eux.
On appréciera les références mystiques variées qui ponctuent le film (la tour de Babel, le personnage de Marie, le dieu Moloch...).
Enfin l'expressionnisme, désuet mais charmant n'empêche pas de remarquer des acteurs presque tous excellents, notamment Brigitte Helm.

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Vu le 28.03 au cinéma

Une adolescence derrière les barreaux, un personnage qui se cherche, une histoire d'amour. Daphne est attachante et la mise en scène plutôt réussie mais le film ne m'a pas beaucoup marquée.

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Vu le 28.03

Des acteurs au sommet pour une comédie drôle et réjouissante, pour qui veut bien passer outre la naïveté et la bien-pensance très américaine qu'il dégage au premier abord.

Une analyse intéressante qui vient contredire la thèse du film optimiste ici : http://www.telerama.fr/sortir/la-vie-est-elle-vraiment-belle-frank-capra-decortique-au-forum-des-images,138797.php

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Vu le 02.04

« Ce n'est pas un film sur les méchants Teutons. C'est un film qui montre ce que des gens très ordinaires sont capables de faire subir à d'autres gens ordinaires », écrivait Losey à sa sortie.

Un film qui invite à la réflexion sur l'engagement, sur l'identité mais aussi sur l'état policier et la folie collective, illustrée notamment par le zèle des policiers français. La scène d'ouverture, qui plante d'emblée le décors de la déshumanisation et de la traque des juifs, est remarquable.

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Vu le 04.04 au cinéma

Un film au charme suranné mais dont les scènes comiques fonctionnent toujours quasiment 100 ans après sa sortie.

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Vu le 05.05 au cinéma

Quatre actrice pour représenter quatre phases de la vie d'une femme, dont le fil conducteur pourrait être sa recherche perpétuelle d'amour et d'affection. L'idée est intéressante et nous oblige à réfléchir à la notion d'identité, souvent bien moins unie et logique que ce que l'on voit généralement au cinéma.
La structure du film est également intéressante puisque l'on remonte progressivement le temps, chaque période éclairant le comportement ultérieur de la jeune fille, pour finalement revenir à la jeune femme trentenaire interprétée par Adèle Haenel.
En revanche, l'histoire à proprement parler de cette jeune femme aux prénoms et aux personnalités multiples m'a moins convaincue. Un film plutôt conceptuel donc.

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Vu le 06.04 au cinéma

Poétique et parfois très drôle mais un peu répétitif. Pierre Richard et surtout Emmanuelle Riva sont adorables.

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Vu le 06.04 au cinéma

Un peu long. Si l'analyse des différents aspects de la personnalité de Fawcett est assez bien menée, avec notamment une grande place accordée à sa vie en Angleterre et à l'importance de sa famille, le respect de la chronologie donne un "Angleterre/ jungle/ Angleterre/ jungle/ Angleterre/ jungle" plus que lassant...

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Vu le 08.04

Où le cinéma rattrape la vie, ou bien le contraire.. Un film poétique et chaleureux. La scène finale est sublime.

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Vu le 10.04 au cinéma, suivi d'un débat avec Chad Chenouga et Yolande Moreau

La réalisation est parfois fragile mais l'ensemble est touchant. Nassim, joliment incarné par Khaled Alouach, dégage une force, une volonté de se reconstruire que l'on ne retrouve qu'à l'adolescence. Yolande Moreau est trop mignonne même en directrice de foyer un peu autoritaire.

Dommage, les questions lors du débat n'étaient pas très pertinentes...

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Vu le 14.04 au cinéma

Des acteurs d'une justesse impressionnante. Le montage est parfait ou presque. Tout sonne juste malgré un thème qui aurait pu être extrêmement pesant.

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Vu le 17.04 (prix cinéma des étudiants France Culture)

Un film extrêmement poétique, à l'esthétique originale et réussie. La remise à jour du conte des frères Grimm fonctionne (si on excepte quelques dialogues un peu niais par-ci par-là) et on se laisse volontiers entraîner dans cette histoire de prince et de jeune fille vertueuse, thématique qui ne me séduit pourtant pas franchement sur le papier.

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Vu le 27.04 (prix cinéma des étudiants France Culture)

Le sujet est original et intriguant : une jeune autiste qui crée des poèmes alors qu'elle ne peut pas parler, ni écrire d'ailleurs. Et Hélène a quelque chose de fascinant, on s'interroge d'ailleurs plus largement sur les capacités du cerveau humain.
Mais le film connait quelques longueurs, tandis que d'autres moments gagneraient à être développés (les échanges bouillonnants avec le mathématicien par exemple).

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Vu le 28.04 (prix cinéma des étudiants France Culture)

Claire Simon nous présente un concours, avec son lot d'injustices, de drôleries et de débats. Il se trouve que c'est celui de la Femis, mais le film n'en tire pas vraiment parti. Bon, pas grand chose à dire de plus.

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Vu le 20.04 au cinéma

Les premiers émois, et les premières frustrations amoureuses, d'un adolescent dans le Londres des années 1970. Le film est magnétique et n'a quasiment pas vieilli.

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Vu le 29.04 (prix cinéma des étudiants France Culture)

Amusant et attachant mais un peu trop style "bollywood" pour moi...

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Vu le 30.04 au cinéma

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Vu le 01.05

Un film qui pousse à la réflexion et à la remise en question. S'il n'est peut être pas cinématographiquement particulièrement remarquable, le propos très fort dépasse la réalisation. On en sort bouleversé et avec l'envie de lire Baldwin.

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Vu le 02.05 au cinéma

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Vu le 06.05

Un film poétique et assez enivrant mais je dois avouer que j'ai un peu laché sur la fin...

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Vu le 10.05

Le plan séquence, qui se justifie assez bien selon moi, est une vraie prouesse qui augmente la tension du film. Mais cela ne suffit pas à pallier la pauvreté du scénario.

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Vu le 10.05

Merveilleux. On dirait que Renoir nous peint, à l'instar de son papa, la petite bourgeoisie de la fin du XIXe siècle, avec en toile de fond la question du désir qui ne peut s'accomplir et de l'irrévocabilité du destin (déjà présent dans La Règle du Jeu).

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Vu le 10.05

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Vu le 10.05

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Vu le 13.05

"La photographie c'est la vérité. Et le cinéma c'est 24 fois la vérité par seconde."

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Vu le 16.05 au cinéma

Premier Wiseman pour moi. Cette façon de filmer sans voix off, en s'attardant sur certains détails, me semble extrêmement efficace.
On sent ici le désir de liberté poindre chez les élèves quelques mois seulement avant Woodstock et la révolution sexuelle de la fin des années 60, tandis que le comportement des adultes qui les encadrent nous apparait tellement old school (poussé à son paroxysme lorsque le gynécologue vient faire ses petites blagues sexistes devant un amphi de jeunes adolescents hilares).
Seul bémol : le gros plan prolongé sur les fesses des jeunes filles en cours de sport ne me parait pas très utile mais peut-être me trompé-je...

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Vu le 16.05 au cinéma

Extrêmement prenant; là encore la réalisation est incroyablement efficace. La dernière affaire m'a cependant semblé terriblement longue, mais nécessaire avec le recul.