In the El Grande OG

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De mon côté, il a eu :

- oublie avant -

Lynyrd Skynyrd - Second Helping
G Love & Special Sauce - Coast to Coast Motel

Rolling Stones - Gey Yer Ya-Ya's Out!
Catherine Escoudé Lockwood - Trio
J Geils Band - Live Full House
Phish - Lawn Boy
Uriah Heep - Salisbury
Supertramp - Crime of the Century
Lou Reed - Lou Reed Live
Jefferson Airplane - After Bathing at Baxter's
Jeff Beck Group - Truth
Neil Young - Weld
Big Brother & the holding Company - Cheap Thrills
Slash Snakepit - It's Five O'Clock Somewhere
Lynyrd Skynyrd - One More From the Road

Townes Van Zandt - Townes Van Zandt
Dexys Midnight Runner - Searching for the Young Soul Rebels
JJ Cale - In Session at the Paradise Studios
Rolling Stones - Exile on Main Street
ZZ Top - Tres Hombres
The Band - The Band
The Velvet Underground - Loaded

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Album planant, dans une veine plutôt rock avec des touches plus métal, proche du concept album.

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Je ne connais pas très bien Alice in Chains (juste l'album éponyme) et avec Dirt il nous emmène dans un univers très sombre, tant musicalement que dans les textes.
L'album est lourd, assez lent et grave, jouant avant tout un métal que l'on pourrait presque considérer comme conceptuel ici. Bizarrement, on retrouve souvent des refrains accrocheurs qui ne collent pas toujours au style proposé. Malgré ça, ils sont inspirés, notamment dans les riffs et l'alchimie entre la voix et les musiciens derrière. En plus, il y a souvent des bonnes idées par-ci par-là, dans l'utilisation des chœurs (voir Rooster) ou l'utilisation des guitares par dessus les riffs (Them Bones surtout !).
Là où Alice in Chains accentue l'atmosphère pesante, c'est avec des paroles qui sont à l'image des compositions.
Feu Layne Staley y évoque la souffrance principalement, le mal-être ou l'errance de drogué (Angry Chair). Cette osmose grave se retrouve parfaitement dans Down in a hole, représentant les rares moments acoustiques de l'album, des paroles touchantes pour un ensemble émouvant.

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Relationship of Command démarre sur les chapeaux de roues, un punk / hardcore bien rodé et ficelé, avec une production propre ainsi qu'un Iggy Pop se joignant à l'escouade texan sur le quatrième titre Rolodex Propaganda.
Pourtant, une fois passé ses premières chansons, ça finit par tourner en rond et à perdre en explosivité. Les bons titres (Pattern Against User) côtoient ceux plus étranges et moins marquants (Non Zero Possibility), et l'album finit par être de moins en moins marquant, et c'est dommage, car ça ne manque pas de bonnes idées ou de passages musicaux intéressants.

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Avec son Red Album, Baroness tente avant tout d'instaure une ambiance souvent planante, dans un style proche du stoner rock mais n'hésitant pas à lorgner du côté du métal ou du prog.
Certains morceaux sortent du lot, notamment The Birthing et ses riffs mémorables ou l'ambigu Teeth Of A Cogwheel. Les lignes de basses sont particulièrement présentes, tandis que les musiciens, emmenés par John Baizley jouent parfaitement bien ensemble.

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Je découvre Cave In avec Jupiter, un album plus rock et mélodique que le métalcore qu'il faisait avant, ce qui se ressent dès l'ouverture Jupiter, une chanson puisant même vers des sonorités orientales sans oublier les riffs ravageurs.
Au final, il n'y a pas de fausses notes, et des titres qui ressortent clairement, à l'image de l'inoubliable Big Riff (tout est dans le titre !), des 9 minutes fascinantes de Requiem, de l'instrumental planant Decay Of The Delay ou de la conclusion New Moon où le groupe alterne superbement le calme et la tempête. L'album est cohérent, une atmosphère le traverse, les musiciens sont en forme et la superbe voix du chanteur colle avec le son et les rythmiques du groupe.

(Merci à El Grande OG)

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Defeater est ambitieux dès son premier disque, un concept album relatant sur le déchirement d'une famille dans l'Amérique d'après-Guerre sur un fond hardcore mais ne manquant pas de subtilités.
C'est ça Travels, une histoire très triste (suicide, déchirement familiaux …) sur fond de riff Hardcore évoluant au fur et à mesure et en fonction de ce qui est raconté. Parfois sec, d'autres fois un peu plus brouillon, ça ne laisse que rarement indifférent, et ça surprendra plus d'une fois, à l'image du passage acoustique de Prophet In Plain Clothes.
Il n'y a que la voix qui reste la même du début à la fin et si ce n'est pas parfait, ça colle au ton de l'album. Il y a surtout quelques moments où les titres deviennent des films, certains moments sont assez bien écrits et en osmose avec les arrangements pour que l'on puisse s'imaginer des passages de cette histoire.

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Découverte d'un rock lourd et progressif avec Elder et l'album Reflections of a Floating World. Six titres, une dizaine de minutes pour chacun, des riffs mémorables, des solos inspirés, de très beaux passages et les grands moments ne manquent pas (Bon dieu, Sonntag !!).
Il y a un lien entre toutes les chansons, une atmosphère traversant l'album, une beauté à la fois brute et subtile, un côté aérien aussi. Si les guitares sont dominantes, l'apport du clavier n'est pas négligeable, et il y a une vraie osmose entre tous les musiciens.
Un album qui mérite plusieurs écoutes, et qui donne envie de découvrir les autres d'Elder.

(merci El Grande OG!)

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Sorti dans la foulée du massacre de Columbine, Holy Wood est un album sombre, tant dans ses thématiques que la musique, et long aussi, avec 19 morceaux.
Marilyn Manson n'hésite pas à alourdir des riffs simples par de nombreux effets (dans le son, la voix, les guitares ...), ce qui est dommage, tant plus de simplicité aurait été bénéfique à l'album. Il peine aussi à instaurer une réelle ambiance prenante, finissant même par ennuyant, c'est dommage, car dans le concept, c'est plutôt intéressant.

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Ce ne sont pas douze chansons qui composent From Mars to Sirius, mais une seule divisée en douze fragments. Gojira nous emmène dans son univers, un métal plutôt mélodique et ambitieux, avec des riffs et parties de guitares inspirées.
Si l'émotion, et surtout le côté marquant, ne sont pas forcément présent pour ma part, ça n'empêche pas From Mars to Sirus d'être un disque sans fausse note et qui mérite toujours plus d'écoute pour mieux comprendre l'univers de Gojira, et se laisser emmener.

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Un album percutant pour ma première entrée dans l'univers de Candlemass. 6 titres, 6 atmosphères différentes et un heavy metal varié, marqué par une ambiance sombre et lyrique qui traverse tout cet album. Le final, en particulier, est fou, et à l'image de ce premier album, qui emporte tout, une fois que les guitares sont déchaînées.
Un disque que l'on a envie d'écouter et d'explorer plusieurs fois de suite.

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Une fois que l'on a passé l'introduction Naunet, Feast for Water de Messa nous plonge dans une atmosphère hypnotique et sombre, très imagée, avec de longs morceaux, parfois quasi-instrumentaux. Tous ces morceaux ne font qu'un, l'enchaînement est fluide et l'atmosphère ne s'évapore jamais. Les instruments ne font qu'un, il y a une vraie alchimie, et c'est un album que l'on a envie de remettre une fois terminée.

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Avec son second album Meanderthal, Torche offre un rock/punk/stoner très dynamique, où l'on n'a pas vraiment le temps de se poser.
À défaut d'être vraiment mémorable, ça fout la pêche, les guitares sont souvent remarquables et quelques morceaux sortent du lot, à l'image d'Across the Shield et sa rythmique qui nous envoie tout droit en enfer ou du long Amnesian, qui ne nous laisse pas en un seul morceau.

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Aout

Masayoshi Takanaka offre avec An Insatiable High un génial condensé de funk, de groove, de jazz ou encore de disco, majoritairement instrumental pour un cocktail fluide et addictif !
La principale réussite vient de son jeu de guitare, celle-ci sublime toutes les chansons, c'est léger et créant une atmosphère atypique, plutôt joyeuse et urbaine. Le morceau-titre est l'un des sommets de l'album et une parfaite synthèse de celui-ci, avec une alchimie entre tous les instruments et une envie d'encore et encore le réécouter.

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Funeral for a Great Drunken Bird donne de suite le ton, l'ambiance sombre et envoutante se pose, et les riffs façon Led Zep dépoussièrent l'ampli. Peu à peu, les moments calmes apparaissent, alternant avec d'autres plus électriques, mais toujours avec une cohérence dans l'atmosphère. Les instruments forment une alchimie, la batterie, forte, amplifie le côté sombre, et les guitares savent être discrètes lorsqu'il le faut, ou user d'effets particuliers. Il est finalement difficile de séparer les chansons, l'album entier forme un ensemble compact, cohérent et nous entraînant dans un mémorable voyage musical.

Merci El Grande OG.

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Blink-182 trouve une certaine maturité avec cet album, soigne les compositions et la production, c'est efficace et bien cadré, mais ça s'arrête là. Il n'y a guère d'émotion qui se dégage de cet album, quelques chansons vont être plus ou moins sympathique et agréable à écouter, mais l'album s'oubliera assez vite, malgré quelques bonnes idées ou quelques titres plus marquants que d'autres (Feeling This, I Miss You ...).

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Between The Buried and Me signe avec The Great Misdirect un album de métal progressif, mettant en place une atmosphère quasi onirique, où les moments violents, voire brutaux, se marient avec des passages expérimentaux et mélodiques.
L'alchimie fonctionne, la base batterie/basse assure un tempo très efficace, tandis que les chants, les guitares, et parfois le piano classique et les cuivres offrent plusieurs moments intéressants, parfois géniaux, d'autres fois très surprenants (Fossil Genera !).

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The Long Dark Blue de Swain (que je découvre) me fait beaucoup penser à du rock / grunge des années 1990 (alors qu'ils sont plus catalogués punk), certes avec une certaine dose agressivité ! L'album est sans temps mort mais ne lasse jamais, nous emmène dans une contrée qui ne surprendra pas spécialement mais qui s'avère très efficace, et à quelques coups de génies près, ça aurait pu être un grand album.
En attendant, on a un album bien foutu, sans fausse note et qui donne diablement envie de bouger la tête ou taper du pied à son écoute.

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Mélange d'hardcore et de rock grunge, voire alternatif tout droit venu des années 1990, Swell de Drug Church est un condensé efficace et rythmé d'une quinzaine de minute.
Sans être mémorable, l'ensemble fonctionne, même si on regrettera qu'aucun moment ne sorte vraiment du lot.

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Rock alternatif, très énergétique et tout droit sorti des années 1990, Lysistrata de The Thread ne laisse guère de répit, sans pour autant lasser. Équilibre fragile, mais plaisant, intéressant et qui mérite plusieurs écoutes pour en découvrir plusieurs facettes. Peu de fioritures, un côté mélodique qui alterne avec des passages plus directs, une certaine sensibilité dans les accords et un voyage musical qui vaut le détour.

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Lourd, lent et porté une atmosphère sombre, Clearing The Path To Ascend de YOB permet d'explorer un univers particulier, où les riffs sont cycliques et imposants.
Jouant avec alchimie, les musiciens livrent 4 morceaux, pour une quinzaine de minutes en moyenne, et donnent l'impression d'un long voyage vers une contrée froide, noire et pluvieuse.