J'ai vu... des films avec Jean-Claude Van Damme et j'ai (presque) pas honte!

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La meilleure prestation de JCVD n'est pas un "actioner", mais un rôle auto biographique assez personnel pour en devenir touchant. Un long métrage honnête.
A noter que le reportage "Dans la peau de JCVD" fait mieux dans le même registre, sans le côté fiction du présent film.

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Le Di'mac sur les briques, Bolo Yeung en gros vilain (qu'on retrouvera par ailleurs dans Double Impact, un peu plus amoché), un scénario laborieux, une interprétation approximative, mais un plaisir coupable quand même pour les scènes d'art martiaux du tournoi. Un film entièrement remonté par JCVD et son ami d'enfance Michel Qissi.

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Petite production aussi ringarde que Z, le film ne vaut que pour deux ou trois scènes d'action dans lesquelles Van Damme fait la démonstration de ses talents. Seulement deux répliques dans le film, dont l'une: "Passe-moi ma serviette !".

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Van Damme fait le grand écart à trois mètres du sol, en équilibre un pied sur chaque paroi du mur, et poignarde un barbare lancé à sa recherche.

Une petite perle de la série B ultra fauchée, dans laquelle Albert Pyun démontre l'étendue de ses capacités, et la facilité avec laquelle il se sort d'un projet ridicule au budget minuscule. Cyborg, de par sa nervosité, son humour (les noms des personnages en rapport avec la musique), et sa galerie de méchants, est aujourd'hui l'un des meilleurs sous-Mad Max.

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Quasi remake de Bloodsport, le surestimé Kickboxer est un film transparent, sans intérêt, aux combats mal filmés. Utilisant principalement le ralenti, le cinéaste peine à instaurer un rythme à cette histoire de vengeance. Il reste quelques détails qui ont pu marqué à l'époque, notamment le combat sanglant final, et la présence surprenante du méchant Tong Po.

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Remake avoué du Bagarreur, film de Walter Hill avec Charles Bronson. Un film mineure qui ne vaut que pour la multiplication des angles pour un même coup.

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Avant tout, une belle description d'un monde carcéral absolument improbable, dans lequel les prisonniers font la loi, et les sous-sols sont réaménagés en bordel. Surtout, la splendide photographie aux tons bleutés, qui permet de transcender ce monde pour lui conférer un aspect fantasmagorique. Divertissant.

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Vendu à grand renfort d'affiches publicitaires comme le premier gros film de la star, Double Impact déçoit, même si à l'époque, tout le monde ou presque y trouve son compte. Manque de chance, choix malheureux, Van Damme mettra quelques années à négocier son passage de la série B à la série A, enchaînant deux films peu intéressants bien qu'à gros budget. On note toutefois la tentative courageuse de se frotter à la performance du double rôle, tentative dont l'acteur sort la tête haute. Les deux jumeaux sont drôles, complémentaires, et l'acteur parvient à donner à chacun une véritable personnalité. En dehors de ça, rien de bien glorieux à signaler.

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Ce Universal Soldier - The Return est en fait le quatrième épisode de la série, les deux précédents, sans Van Damme, étant directement sortis en vidéo. Si Mic Rodgers s'y connaît en action (il a été directeur des cascades sur une quantité de films, dont Titanic, L'Arme fatale 4, Fast and Furious…) et ne peine donc pas à surpasser en adrénaline le film de Roland Emmerich, il aurait cependant dû confier le scénario à quelqu'un d'autre, tant celui-ci est fait de poncifs. Profondément naïf dans son déroulement, redondant dans ses rebondissements, Universal Soldier 2 peine à maintenir l'attention. Une déception pour un film nerveux mais sans intérêt, censé relancer la carrière de l'acteur.

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Un film tellement pauvre ! De l'image à l'interprétation, du tournage au montage, de l'histoire à sa conclusion...

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Tiens, Rosanna Arquette ....

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Jean-Claude fait du caméo... et ... rien de plus !

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Jean-Claude fait du John Woo... et se plante !

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Jean-Claude fait du fantastique... et se plante un peu !

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Jean-Claude fait dans l'adaptation de jeux vidéos... et se plante lamentablement !

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Jean-Claude fait du Die Hard... et se plante !

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Van Damme rêvait depuis des années de réaliser le plus grand film d'art martiaux jamais tourné, un film qu'il décrivait comme un remake de Opération Dragon et une suite de Bloodsport. Le Grand Tournoi n'est finalement ni l'un ni l'autre. Avec 18 millions de dollars au box-office américain, on peut considérer ce film comme le dernier "succès" de la star.

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Il s'agit de la première collaboration entre Jean-Claude Van Damme et le cinéaste chinois Ringo Lam, avant Replicant et In Hell. Risque maximum, faisant explicitement référence au cinéma européen à travers des cascades à la Rémy Julienne, est notamment interprété par Jean-Hugues Anglade et Stéphane Audran. David Hemblen (Dimitri) est l'acteur attitré du cinéaste arménien Atom Egoyan.

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Le titre de travail de Double Team était The Colony. Avec 39 millions de recettes dans le monde, le film a peiné à rentré dans ses frais. Mickey Rourke s'est entraîné durant plusieurs mois aux arts martiaux, non seulement pour prendre de la masse musculaire, mais également pour que ses performances égalent celles de Van Damme à l'écran. Toute la partie du film se déroulant dans la fameuse Colonie est un hommage évident à la célèbre série Le Prisonnier.

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Tsui Hark, qui avait été bridé par Van Damme sur le tournage de Double Team, se venge en produisant ce film, selon ses propres méthodes. L'acteur, le nez dans la coke durant la totalité du tournage, ne voit rien venir. Sur le making of proposé par le DVD, Van Damme est le seul participant à ne jamais apparaître seul à l'image. Ne tenant plus debout, il a systématiquement besoin d'être soutenu par un autre, dont il ne fait d'ailleurs que répéter les anecdotes. Le scénario, incompréhensible, est signé Steven de Souza, réalisateur de Streetfighter et scénariste de Piège de cristal.

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Inséré au centre d'une histoire plus ou moins authentique, Van Damme s'essaye ici à un genre différent: le film de guerre, avec son lot d'action, mais surtout de bons sentiments et de belles émotions. Amitié virile, trahisons, muscles luisants sous le soleil marocain, Légionnaire détonne singulièrement dans la carrière de l'acteur. Une petite surprise, un rien désuète, vaguement ratée, mais attachante. Et voir Van Damme chanter "Tiens voilà du boudin" vaut son pesant de pop corn.

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Début des DTV (Direct 2 video) pour l'ami Jean-Claude. La fin d'une carrière.

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Pour son interprétation du clone, Van Damme s'est inspiré de documentaires animaliers, imitant ainsi la démarche d'un ourson replié sur lui-même. Replicant devait sortir dans une large combinaison de salles aux Etats-Unis, mais Artisan, la société de distribution, ayant perdu beaucoup d'argent avec la séquelle du Projet Blair Witch, ne put investir dans une véritable campagne de publicité, et se résolut finalement à sortir le film directement en DVD. Plusieurs scènes, disponibles dans l'édition française du DVD, ont été coupées.

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Le film a connu plusieurs titres. Tout d'abord intitulé Hell, il est successivement devenu The S.H.U., puis The Savage, avant le titre final In Hell. En dehors de l'Espagne, aucun pays n'a sorti le film en salles. A la base, l'histoire devait se dérouler au Mexique, mais a été déplacée en Russie pour des raisons de budget.

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Le retour de JCVD au cinéma d'action (sur grand écran oui oui !). Stallone lui offre un rôle à sa mesure: un personnage haut en couleur aux répliques totalement délurées. Dans la série des piètres Expendables, c'est certainement ce combat de fin contre Jean-Claude qui restera l'une des meilleures séquences. A noter que le personnage pourrait revenir sous les traits d'un frère jumeaux dans Expendables 4...