J'y ai joué en 2015 [+ Commentaires]

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Sympa durant environ la première moitié, les défaut nous reviennent en pleine face par la suite, particulièrement à partir du chapitre 5.
Pour résumer vite fait :
- Système de combat au premier abord sympa, mais qui se résume vite par la suite à "tourner autour de l'ennemi en attendant la marque fatale" à tel point qu'il est facile de faire du forçing dans les missions avec une dizaine de niveaux de retard.
- Multiplication également des compétence, on va en débloquer une bonne grosse quinzaine par personnage alors même qu'on ne peut en équiper que 2 et que les dégats, à quelque exception (Cinque avec ses tourbillons), sont dérisoire face à la marque fatale.
- Passé un certain stade, les combat de boss ne se résument qu'à du "tu dois mourir, pour revenir plus fort grâce à un événement censé être épique"
- Le jeu à cru bon de garder quasiment tout ses "atouts" pour le NG+ (nombreuse quêtes qu'on nous fourre sous le nez alors qu'elles necessitent le double du lvl actuel), mais à oublié de nous donner l'envie d'y arriver.

Je pourrais aussi parler de ce Hub qui prend un malin plaisir à nous faire multiplier les aller retour, histoire d'anéantir ce qui nous restait de motivation pour les à-côtés du jeu, mais on ne frappe pas un homme à terre

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DA de folie, directement parmis mes préférées tout jv confondu
Le côté épuré ne m'a absolument pas gêné, j'était pas fan de la recherche de stuff dans les souls, ni de build. La découverte et l'apprivoisement du level design étant ce qui m'a le plus plu dans la série, et Bloodborne le fait à merveille

Seul regret, un poil trop court pour la série en premier run...

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Première expérience concluante d'un Monster Hunter
J'ai quand même englouti un grand nombre d'heure avant de commencer à lâcher un peu le jeu. La faute au fait que j'aurais aimé le G-rank un peu plus tôt, la courbe de difficulté sur cet opus étant relativement gentille

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Neptunia à fait parler de lui, pour son aspect fan service qui serait poussé à l'extrême...
En réalité, en y jouant, ce côté n'est pas tant mis en avant, tout au plus lors de la transformation de 1 ou 2 personnage en particulier
Finalement, on est très loin par exemple d'un Monster Monpiece ou là le malaise est réellement palpable, et surtout ce qu'on perd de vue c'est que c'est très loin d'être ce qui devrait inquiéter sur ce jeu.

Non ce qui est génant c'est qu'il cultive le remplissage par le vide. Il y a un nombre phénoménal d'objet, de stuff, de skin craftable. Ajouté à ça tout les "éléments" craftable permettant de modifier à souhait les élément du jeu (difficulté d'une zone, drop laché par les mobs, etc etc)
Et toute cette boulimie d'objet ne vous emmènera fatalement qu'à une seule chose : farmer encore et encore jusqu'à l'ecoeurement, un bestiaire rachitique dans une diversité de map plus rachitique encore.
(La mapmonde ne fait vraiment que figuration et n'espérez pas une once d'exploration dans les map tellement le jeu se torche avec le concept du level design)
Sans compter que l'équilibrage est complétement à la rue et vous demandera directement au moins 2H de farm pour espérer ne pas vous faire OS par le premier boss. Et ainsi de suite durant chaque nouveau boss/zone du jeu.
D'autant plus qu'en soi, le systéme de combat est plutôt pas mal en essayant de rendre utile les déplacement, mais malheureusement vite limité en possibilité...

Et entre les nombreuses scéances de farm, des dialogues tout aussi nombreux qui se veulent "pleins de référence vidéo ludique et otaku bourré d'humour" mais qui vous sont balancé dans la tête avec la grâce d'un camion-citerne, genre l'héroïne qui conseille "Do a barrel roll !" à son amie pour esquiver une attaque. Ou bien "je suis l'heroine du jeu non ?! Donc je ne peux pas mourir !"

Quand en plus on sait que les 3 Neptunia canonique sortit à ce jour se contentent de tous reprendre le même bestiaire et les même maps, on prend conscience de la réelle nocivité des acheteurs. Du bash sur fond de moe, dans un neant de ludisme, qu'on se permet de revendre 3 fois d'affilés sans effort sans que la fanbase ne condamne rien

Parceque sinon je le dis j'ai voulu essayer Neptunia pour me faire un avis mais aussi parcequ'à priori j'appréciais l'univers et les personnage colorés de la saga.
Mais finalement, Neptunia, tu n'est même pas le plaisir coupable que j'espérais.

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mécanique de jeux sympa, plutôt addictive au début. Malheureusement le jeu tourne très rapidement en rond, et on trouve assez vite le moyen d'exploiter le jeu en allant qu'à l'essentiel, on est vite face aux limites du gameplay qui manque de.. "profondeur" (qui d'ailleurs à ce stade là est presque de la poudre aux yeux) et du coup le fait que le jeu soit court n'est pas plus mal
Les artwork douteux étant évidemment la grosse carotte (vous pouvez trouver ça triste mais c'est un fait), le jeu n'a quasi aucun intérêt sans ça

Détail inesperé, on peut jouer une fille et y'a une petite adaptation dans les dialogue pour le coup, c'est toujours ça de pris

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Super joli, la prise en main est agréable, les sensations de gameplay très bonnes, et le level design est plutôt pas mal. Mais une fois le jeu terminé, on l'oublie malheureusement très vite.. même si sur le moment j'ai pris beaucoup de plaisir à le parcourir

Ha et je l'ai trouvé trop court, aussi. Et faut arrêter de dire que ce jeu est un Die & Retry,

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J'ai pendant longtemps voulu y jouer et finalement j'ai trouvé ça plutôt moyen.
Je sais pas trop comment expliquer concrètement, mais bien que plutôt emballée au début, mon ressentit sur le long terme pourrait se résumer par "meh"

Mention spéciale au niveau secret du jeu quand même, c'est CA que je voulais, les sensations sont tellement bonne j'ai adoré ce court niveau, c'est clairement ce que j'aurais voulu pendant tout le jeu

Annotation :

+ Visuel sympa
+ Dialogue en bulle de dialogue assez original
+ Le Gameplay à base de dés, car oui il en a un, LittleWitch étant surtout un VN de la catégorie des Raising Game, aka "il te faut ce nombre de point pour débloquer cette scène" qui demande une vraie gestion

- Les dialogues un peu, voir EXTREMEMENT niais
- Le partit pris du jeu de se baser sur un grand nombre de dialogue optionnel débloquable via le gameplay empêche qu'un scénario se developpe, c'est majoritairement du Slice of Life
- Le schéma répétitif des dis dialogues, souvent les petites filles de 12 ans sont étourdies et font des bêtises hanlala, et s'ensuit une petit séquence de conclusion de la bêtise qui se veux souvent être rigolote
- Hentai de très mauvais goût et dont l'écriture fait assez tiep

Bref, j'aurais jamais cru dire que ce que j'ai préféré dans un VN est son gameplay.

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Basé sur un concept simple mais génial, dont on pourrais même dire que l'existence est une evidence, Splatoon à aussi le bon goût d'arriver avec une DA très attachante qui donne une forte identité au jeu.
Et si l'idée vous laisse toujours sceptique, il suffit de passer une petite heure manette en main pour commencer à devenir accroc aux sensation de gameplay fluide et glissantes

Le jeu à pu corriger le tir sur certain détail depuis la sortie, notamment sur la possibilité de jouer en groupe.

Toutes les nouvelle maps sont intéressantes à leur façon.
Chaque mode pro (pour l'instant 3, mention spéciale au mode Bazookarpe) renouvelle totalement la façon de jouer, et contribuent à prouver que le jeu est doté d'une formule maitrisée et réussie.

Le principal problème toujours présent reste la rotation des maps qui devrait se faire plus souvent que toute les 4h

Splatoon restera mon coup de coeur 2015, ça faisait longtemps que j'avais pas eu d'aussi bonnes sensation et un tel attrait pour un jeu uniquement multijoueur

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passé les 10 premières heures, faut admettre que P&D sur mobile marchait plutôt bien grace au systéme de stamina. En nous obligeant à ne pas jouer autant qu'on le souhaite, la carotte est toujours présente, ainsi que la motivation d'exploiter le gameplay

En plus l'équilibrage est pété, la version P&D est horriblement simple et ne vous forcera même pas à utiliser toute les mécaniques de lvl up et d'évolution. La version mario à l'inverse est trop dure pour rien et vous obligera à grinder comme un porc alors que le bestiaire (alliés comme ennemis) est rachitique

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Racheté principalement pour les DLC. Mis en pause pour l'instant

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En pause pour le moment. La route commun étant particulièrement difficile à surmonter....

Il faut croire que c'est difficile de trouver de l'intérêt au fait de séduire des filles à problème quand on en est soit même une. Plus sérieusement, le jeu transpire le "simulateur de waifu à destination des hommes" par tout les pores. Je sais c'est un eroge, mais de ceux que j'ai fait c'est celui qui m'en laisse la plus forte sensation pour le moment

Dommage parceque je m'était prise d'affection pour celle qui est présenté comme la chaudasse de service, ce qui est un petit exploit en soi

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+ Trés beau et fluide, bien plus sur la vita en elle même que sur les divers screen qu'on a pu avoir avant
+ Chorégraphies vraiment très cool, qui collent aux rythme des musiques
+ De très bons remix, même s'ils peuvent parfois surprendre au premier abord

- Peu de musiques différentes, surtout des remix
- Peu de musiques... tout court

+ - Le jeu est assez "difficile", mais pas de la manière habituelle. Ici, c'est surtout sur le nombre de note ratées (peu d'erreur permise..)
+ - Un coup les touches suivent la musique, un coup leur propre "musicalité parallèle" ce qui fait que les premiers essais en All Night peuvent paraitre beaucoup plus dur qu'il ne le sont réellement. (Difficile de "prévoir" certain rythme) Même les cercle qui pulsent et qui semblent sortir de partout s'apprivoisent facilement au bout de quelque essais.

Le Gameplay n'est donc pas aussi approximatif que je le pensais, en revanche on a bel et bien souvent l'impression de suivre la musicalité des touche parcequ'on la connait au bout de plusieurs essais, et non pas parcequ'on a pu la deviner en suivant le rythme.
A partir du moment ou j'ai débloqué le mode All Night et où j'ai rodé 2 ou 3 essais sur les musique, le jeu m'a paru bcp plus agréable que le mode normal ou hard qui ont 3 notes par minute.
D'ailleurs, la vitesse d'exécution des touches demandé en All Night ne posera je pense pas de problème à grand monde (elle est relativement basse) la vraie difficulté du jeu étant d'avoir les yeux partout

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Joué en avril puis rejoué depuis l'extension. Le jeu est dangereusement en train de jouer avec son équilibrage, via les derniers DLC, ce qui serait un gros gachis. Venant des développeur qui avaient pondu magicka et ses 6756775469 DLC, j'aurais du m'y attendre.

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Suite ratée qui combine entre autre un level design paresseux et des énigmes encore plus débile que dans un God of War
Sans parler de tout les effets next gen dont on se passerait bien pour un jeu pareil et qui ne font que nuire à la lisibilité générale.

Concernant le multijoueur, jouer à 4 est certes alléchant mais les énigme ne changent pas selon le nombre de joueur, et fatalement en étant plus de 2 on se retrouve soit devant des énigme ridiculement facile, soit avec 2 joueurs qui ne servent à rien (et ne me parlez pas des combats, au mieux y'a 3 mob toute les heures, c'est à se demander pourquoi on débloque autant d'armes)

Annotation :

+ La playlist
+ Le mode quest, une introduction sympathique, facile à comprendre en jap en tâtonnant, et qui introduit des mécanique inédite pour gêner le joueur (effet de neige, de vent etc)
+ Tout les élément de custom à débloquer pour Don-chan

On pourrait croire qu'un jeu de rythme à deux boutons est chiant mais en réalité il est très précis et maitrisé, et offre une marge de progression énorme et un mode ultime plus difficile que la plupart des autre jeu de rythme console; L'alternance gauche-droite étant de rigueur pour espérer passer le Oni mode
Pour ne rien gacher, l'interface visuelle est fluide et attrayante et le 60fps est un énorme plus.

- Les dlc s'annoncent nombreux mais surtout inaccessible sans un compte jap

Annotation :

Il est possible de faire une comparaison avec Super Meat Boy pour tenter d'expliquer l'esprit du jeu, bien que le feeling du gameplay soit très différent. Ici, on a un personnage pas si rapide de base et avec lequel il faut prendre de l'élan grâce aux différence pente du décors, ainsi qu'une assez grosse inertie au niveau du saut.

Des saut au pixel prés, 2000 et quelque tableaux, et un level design à 2 lectures et vous obtenez un jeu de plate forme indispensable pour les maniaque qui aiment mourir 500 fois avant d'y arriver

Même si je connaissais déjà la série, j'ai toujours le sentiment que les parties ne s'enchainent pas de maniéré aussi frénétique qu'un SMB.
Je ne retrouve pas ici le Flow State, et du coup le concept s'avère assez répétitif. Ca ne change pas le très bon level design mais à jouer en petite session.

Annotation :

IA/VT à souffert de 3 report et de sa refonte presque totale du gameplay, ce qui annonçait déjà la couleur.

- Obligation de se farcir les musique en normal alors qu'elles sont soporifique
- Un note chart discutable, avec très souvent l'impression de ne même pas jouer en rythme
- De nombreux temps mort dans les chansons (aucun note qui apparaissent, parfois pendant 15 bonnes secondes) sans raison valable
- Des clip vraiment médiocre, la plupart étant juste les clips 2D des chansons tiré de Niconico/youtube.. le reste sont en 3D, mais tellement médiocre qu'on leur préfére vite les clip youtube. Ils sont mou comme pas permis, en régle général IA marche lentement sur un fond monochrome et voilà
- Les notes spéciale qui sont validable par n'importe quel touche, ce qui fait que interet = 0
- le "Colorful mode" qui a cru bon de cacher encore plus le clip en arriére plan histoire de tuer le peu d'ambiance qu'il restait
- La playlist composé au moins à 50% de chansons qui n'ont rien à faire dans un jeu de rythme si celui ci se veux un minimum dynamique
- Le gimmick même du jeu (les notes qui arrivent sur plusieurs branche) ne sert strictement à rien à part pourrir inutilement l'écran et donner une impression de lenteur. En effet il suffit de regarder le "tronçon" final et aucun probléme, les branche qui mixent les note ne sont même pas perturbantes. Le jeu essaye de faire croire de temps en temps que c'est utile mais l'illusion est très rapidement dissipée
- Des musiques souvent TROP LONGUE, on a souvent l'impression que c'est interminable, avec en plus les même pattern qui se répètent sur les partie identiques

Màj : Je n'ai même plus envie de revenir sur le jeu, malgré mes nombreuses tentative. J'ai même pas tout refini en Hard, je me suis contenté des plus difficile au risque de m'endormir.
Le jeu fait pâle figure par rapport à un Project Diva, lire le contraire me fait bondir (auquel la comparaison s'arrête au Vocaloid)

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C'était sympa à jouer (surtout à plusieurs, j'allais pas me taper ça seule) avant que je comprenne que mon aventure allait s'achever brutalement, sur un non-boss de fin totalement bidon, même pas gratifié de credits. Je cherche encore le end-game tant promis mais j'ai l'impression que celui ci consiste à xp en re-farmant les même missions ad nauseam, tout ça pour avoir 2 pauvre loot de clodo.. et Dans le but final de pouvoir enfin toucher au seul raid du jeu hors-DLC

Autrement, le Gameplay est très bien adapté au pad, la DA et les graphismes sont très bon, la musique quant à elle il parait qu'elle est excellente, moi je l'ai juste trouvé beaucoup trop épique pour les situation

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Hormis le fétichisme des filles chat et l'amour des artwork en question (donc faut être amateur des deux) ça n'a strictement aucun intérêt, autant être franche

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On se demande où est passé le level design du premier Dungeon Defenders, qui rendait le jeu addictif et obligeait à se sortir les doigts à partir du mode Hard. Et puis même sans ça, tout les pièges d'une classe se ressemblent, aucun intérêt à poser le piége X au lieu du piége Y par exemple, incompréhensible.
Peut être dans les mode plus difficile. W&S, j'y retoucherais dans quelque màj

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3 scénarios terminés sur 5

Fait assez surprenant, Amnesia introduit le fameux twist du héros amnésique de maniére intéressante.

Basiquement, on a ici 4 scénario (+1 secret), tous se déroulant dans le même cadre avec les même personnages, mais tour à tour vous n'avez pas les même relation avec eux.
Et c'est bien le problème, parceque vous vous reveillez amnésique, affublé d'un petit ami (différent à chaque scénar, c'est le principe donc) dont vous ne vous souvenez plus, et vous devez tenter de cacher cette amnésie à tout le monde tout en répondant le plus naturellement possible (alors même que vous ne savez pas à quel stade était la relation en question) et tenter de trouver des indice sur vous même en parallèle

Les scénario sont assez court (4-5h) et contiennent chacun 4 fins différente (selon des jauge à remplir) et du coup ça rend tout les choix important (ils sont relativement nombreux, une soixantaine de phase de choix de réponse par scénario) A condition de ne pas commencer directement le jeu avec un guide évidemment

Et c'est pas évident de savoir quoi répondre pour aller dans le sens ou le contresens de la relation, même quand les mecs sont ds clichés ambulant.

Evidemment aprés, y'a tout ce qui est design et personnalité des mecs : Entre le ténébreux hyper-protecteur qui traite l'heroine d'idiote toute les 3 lignes, et le gentleman parfait mais qui laisse les fille lui tourner autour, on est en plein dedans.
Pas forcément un reproche, mais disont qu'il faut être dans le trip.

Comme c'est quasiment mon premier Otome game j'ai pas de référence

Annotation :

Je commencerai par le premier point le plus important, Sega à profité de cette version DX pour ajouter le mode super hard sur.... 6 chansons. Pourquoi 6, pourquoi ne pas le mettre partout tant qu'à faire ? grand mystère. Mais ça fait bien chier quand même, tellement la facilité globale du titre semble limiter son potentiel. Le gameplay ne s'embarrasse pas de grand chose, il est efficace et bien calibré, cependant il n'exploite pas à fond certaines mécaniques (les touches fléchées), et la vitesse d'exécution globale des touches est assez basse, même s'il faut avouer que l'ergonomie de la 3DS a sans doute du freiner les ardeurs des devs...

Heureusement project Mirai peut compter sur sa playlist plus fournie que les Diva avec 48 titres. Toujours dans la comparaison avec Diva, le design des clips est forcément moins poussé malgré quelque perles (Matryosha, 1 2 fanclub, hello*planet, Sekai Seifuku par exemple) et le design SD type Nendoroid pourra en repousser

Et ici, les chansons sont en version longue, ce qui n'est parfois pas en faveur des musiques, déjà de maniéré globale (jeu de rythme oblige) mais surtout pour celles qu'on apprécie le moins, vu qu'on a encore MOINS envie d'y revenir.
Autre problème que j'ai rarement vu soulevé, La qualité sonore de la 3DS... c'est pas vraiment de leur faute mais le tout semble quand même bien compressé à la truelle..

J'allais oublier de parler du mode tactile, que je trouve très anecdotique pour ne pas dire inutile, les pattern étant très peu recherché (Il suffit de voir que le jeu nous permet de changer le placement des pannel pour comprendre que leur placement respectif ne sera pas exploité) et le fait de nous obliger de nous re-taper le mode normal n'incite même pas à jouer avec les deux modes. Il plaira cependant à certains.. je suppose

En résumé, Project Mirai s'adresse clairement à un public moins habitué aux jeux de rythme (ou moins doués...), elle cherche probablement à être une alternative à Diva qui elle devient de plus en plus dure. Dans cette optique, le jeu est réussis, avec de nombreuses musiques, costumes, et deux modes de jeux. Mais il frustera les joueur plus aguerris par sa facilité

Annotation :

+ L'ambiance, assez fidèle à la license
+ Revoir certaines tête connues
+ Toko et ses répliques acerbes
+ Quelques passages bien sale même si on reste la plupart du temps dans la suggestion
+ Toujours ce chara design qui apporte sa grosse touche
+ Scénario qui rend le contexte du premier opus un peu plus crédible...

+- Graphiquement très propre, très lisse, cependant les décors sont tout de même relativement vide
+- Beaucoup de blabla, de séquences hachées par les dialogue, d'un côté on ne va pas se plaindre vu que le gameplay n'est pas fabuleux mais d'un autre, nous laisser faire 3 pas entre chaque séquence n'a aucun interet

- Framerate à la rue
- Un jeu qui traine un peu en longueur avec notamment un shéma de séquences qui se répètent un peu trop d'un chapitre à l'autre
- L'héroïne, en partie responsable de passages assez niais, devient un peu chiante au bout d'un moment.
- Toute la fin, qui repart dans le même genre de truc que la fin que dangan 1 "bring hope then bring despair blahblablablalala" c'est strictement le même discours, et tout ce dialogue qui tourne en rond avec le même faux choix inutile qu'on doit valider 10 fois, quel intérêt ?
- Cette fin est interminable, j'en pouvais plus

Annotation :

Je vais éviter de trop en dire, Undertale est le genre de jeu qui doit s'aborder si possible sans même connaitre son principal... principe. (Il faut arrêter de spoiler le jeu entier à tout le monde pour leur donnez envie d'y jouer..)
Je l'ai acheté sur un coup de tête après être tombé par hasard sur la piste du boss final.
J'ai terminé 2 fins sur 3, et ne compte par faire la 3éme, because, y'know

+ Des personnages très attachants
+ Des combats de boss mémorables
+ Les mécanique des dits-combats
+ Une excellente OST

Annotation :

Attention, il n'est pas dis que vous aimeriez DQH même si vous aimez les musou.
Par contre faut bien jouer 2 bonne heures avant d'entrer dans le vrai jeu, ce qui fait office de tuto est assez chiant

Les arènes sont beaucoup plus petites que dans les musou, et notre personnage est aussi beaucoup plus lent.
Y'a quelque mission qui demandent de tout tuer mais la majorité consiste à défendre un ou plusieurs points d'une attaque. Au différent coin de la map, des archimonstre vont pop, en gros des mobs qui ouvrent un portail et il faut les refermer pour bloquer l'afflux. La lenteur de notre personnage, même si elle chiante sur le moment, permet d'équilibrer un peu cette mécanique car on à pas le temps d'être partout à la fois.
du coup pour nous aider quand on tue un monstre on a un pourcentage de chance de dropper une médaille permettant de l'invoquer sur le terrain, histoire d'en occuper une partie. D'ailleurs, les monstre se déplacent eux même beaucoup plus lentement que dans un DW et comme une sorte de "vague" vers le point à défendre, un (petit, hein) relent de tower défense qui donne un peu d'intêret

Cependant Il y a énormément moins d'unités à l'écran que dans un DW/SW, ce qui est compensé par la présence de gros monstre qui on beaucoup plus d'hp et qui sont finalement les plus dangereux. mais du coup on perd en jouissance sur le moment, d'autant plus que la palette de coup est aussi beaucoup moins vaste, les combo beaucoup plus court, mais compensé par les faiblesse élémentaires

Le côté RPG il faut le dire vite. Au programme, du classique : quêtes qui demandent de.. tuer des monstres, du loot, des talisman à crafter avec le dit-loot, un marchand de stuff et des point de compétence à distribuer. La base.
C'est plus une carotte que de l'optimisation ou de la personnalisation. Ceci dit, la carotte il en fallait bien une et elle marche pas mal sur le moment

Ha oui et heureusement que les cinématiques sont jolies parceque l'envie de les skipper était très très forte

Annotation :

Super Meat Boy fait partit de mes jeux favoris. Je l'ai déjà bien séché à l'époque, mais la sortie PS4/Vita était l'occasion de s'y remettre (effet de groupe, trophées, PShare ça fait toujours plaisir)

Et là horreur : on apprend à quelque jour de la sortie que le jeu sera "doté d'une nouvelle OST à l'occasion de son 5éme anniversaire", une bien belle façon de dire qu'ils se sont enguirlandés avec le compositeur.

Bon, soit, la déception est totale et personne ne s'attendais à ce que la nouvelle OST soit meilleure, mais W&S comme on dit. Puis là je lance le jeu et... un truc vaguement country pour le thème de la forêt, mais d'où ça sort svp ? Surtout que c'est le premier qu'on entend et il à de quoi faire bondir, d'autres par la suite sont plus... raisonnable

Mais dans un jeu pareil, où les réflexes et la frénésie priment, l'OST originale de Super Meat Boy était la cerise sur le gâteaux qui permettait d'atteindre un état quasi-hypnotique, Jusqu'à devenir indissociable (à raison) de la réputation et de l'accueil favorable du jeu. Ne sous estimez pas l'importance d'une OST

La nouvelle OST ne se contente pas d'être mauvaise "par rapport à l'autre" attention, c'est aussi et SURTOUT un dégueulis d'instruments qui se superposent. Elle risque de provoquer chez vous, au mieux indifférence, au pire indignation


(PS : J'ai fini Light World, et partiellement Dark World donc oui j'en ai assez entendu)