J'y ai joué en 2018 [liste commentée]

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[Terminé]

Après l'avoir acheté day one en mars dernier, testé pendant une petite dizaine d'heures puis abandonné par quasi-absence de plaisir de jeu, je retente enfin. J'avais beau avoir conscience de ce que le jeu essayait de faire, et de ce qu'il apporte dans une moindre mesure, manette en main ça prenait définitivement pas, et je sentais que mon approche du jeu devait y être pour quelque chose.

Et ce second essais est plus concluant : Le fait d'éviter la majorité des combats hors nécessité évite de râler inutilement sur certains trucs, mais surtout la désactivation de l'interface aide à se se laisser porter par l'exploration aléatoire plutôt que de chercher désespérément à faire les donjons principaux en suivant des marqueurs, et ça a tout changé. Les sanctuaires et les korogus m'apparaissent comme des mécaniques beaucoup mieux pensées que ce que je croyais jusque là, et le fait de pouvoir tout escalader à sa guise ne tue à aucun moment l'immense travail sur la verticalité du level design, ce qui est en quelque sorte un double exploit colossal.

(et bien sûr, l'ambiance, la DA, les effets de lumières etc sont toujours aussi fabuleux, ça n'a pas changé)

Je me suis arrêté après la "fin" pour l'instant mais c'est pas exclu que je relance un jour.

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[Terminé]

Je vais rien dire d'original, c'est Ys quoi :

+ l'OST
+ Les combats
+ Toutes les mécaniques de jeux, la présentation générale des menus etc, est étudié pour donner envie au joueur de viser le 100%, et ça fonctionne très bien.

- Trop dirigiste les premières heures
- Trop bavard
- Presque trop long
- La partie Dana qui rallonge inutilement le jeu

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[Terminé]

Entre dans ma catégorie "Moi j'y ai joué mais je vous le conseille pas"

Aimer ce jeu dépend avant tout ce qu'on est capable de pardonner et supporter comme niaiserie pour l'amour d'une ambiance et d'un chara design. L'ambiance du jeu, douce et mélancolique, est vraiment réussie.

Mais c'est aussi un jeu qui ne sait pas à qui il s'adresse : assez féminin et shojoesque d'un côté, des touches de fanservice malvenus de l'autre; Discours très niais tendance triste mais qui véhicule des valeurs positives au bout - le genre de jeu que j'offrirais avec plaisir à une petite/jeune fille - mais beaucoup trop niche pour s'adresser à elles.

Question gameplay pur, le jeu est trop facile et atteint le stade handicapant où il sabote lui même son systéme de jeu en lui retirant tout intérêt. Et tout le systéme de point qui permet de faire progresser l'histoire à intervalles régulière ne met pas bien longtemps avant de devenir un mauvais moment à traverser.

C'est finalement le gameplay et le déroulement général du jeu qui m'aura épuisée à la longue et qui sont réellement les points faibles du jeu, dommage.

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[Terminé]

Plus beau, plus fluide, plus maniable. Mais avec son faible contenu, MHW n'est pas l'opus ultime tant clamé par les journalistes qui découvrent la licence, tout simplement le début d'une véritable amélioration pour les prochains jeux.

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[Terminé + B Sides + C Sides]

Si comme moi vous êtes très client de la difficulté, le jeu monte clairement en intérêt au fur et à mesure : Le "post-game" apporte une nouvelle palette de mouvements pas du tout utilisés dans le jeu de base, en imbrique d'autres de façon très bien pensée, et la précision du gameplay devient enfin réellement jouissive.

Pour le reste, sans trop en dire, si comme moi on vient avant tout pour le challenge, ça reste assez sympa d'être pris au dépourvu sur un créneau qui, sans être super profond, ne fait que donner encore plus de sens à ce qu'on fait. La montagne fait ici office de symbolique (évidemment assez peu subtile), mais c'est surtout l'occasion de déployer les différents états d'âme de Madeline sous forme de mécaniques de gameplay et à la DA de permettre de lier le tout. Un enrobage plaisant et qui permettra aux moins acharnés d'y trouver largement leur compte.

- Quelques confusions entre diagonales et lignes droites
- Sur certaines faces B, les morts par impossibilité d'anticipation (que le jeu essaye de combler avec la longue vue mais celle ci n'est pas présente sur tout les tableaux qui en auraient besoin)

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[Terminé]

Meilleure fin/10

(J'en écrirais sûrement pas plus au risque de répéter ce qui a déjà été dit mille fois avant moi et mille fois mieux)

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[Terminé]

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[Terminé]

- SPOILERS -

Oui, To the Moon, c'était bien. Oui, je trouve que la présence de To the Moon dans le paysage vidéoludique est importante, et je trouve sa réussite intéressante. Je salue ce qu'il apporte et ce qu'il tente, et je n'ai en aucun cas envie d'en dire du mal.
Le premier tier était assez fabuleux, et j'ai surtout été vraiment frappée par l'écriture de River et sa "particularité", qui est vraiment traitée de façon crédible et réaliste, touchante et intimiste, et c'est exploité juste comme il faut par le scénario sans jamais devenir lourd ou bien un prétexte. Ce point, ainsi que tout le reste, m'a vraiment donné l'impression d'un récit réel et ancré dans des événements et des problèmes à échelle humaine (malgré le propos du jeu, malgré la touche d'humour)
Et ensuite, vient toute la partie enfance avec la scène de la souche. Là j'avoue que ce qui devait certainement être un moment touchant est devenu un violent décrochage, comme une suspension d'incrédulité qui s'est mise à ne plus fonctionner. Pour la simple et bonne raison qu'à mon sens, ce genre de scène, c'est quelque chose qui n'arrive typiquement "que dans les films". Le fameux coup de la promesse d'enfance, c'est vraiment ce qui ne fonctionne pas sur moi... Le jeu venait soudainement de me rappeler qu'il était bien un jeu, qu'il était écrit "comme un jeu". Tristesse.

Toute la partie finale était trop "Happy Ending" pour que j'en sois attristée, surtout qu'on le voyait venir. Mais je me dis aussi que faire le coup de "c'est l'un ou l'autre et ça se terminera pas autrement" aurait été probablement tout aussi "cliché", donc l'un dans l'autre, boarf. Mais j'aurais aimé qu'arrivé à la fin on puisse avoir l'impression de tirer une leçon de tout ça, des chemins qu'on choisis de prendre dans la vie au détriment d'un autre. Qu'on s'en mord les doigts parfois mais qu'on se dit qu'au final c'est pas si mal, que le jeu nous rappelle à ce sentiment destiné à nous poursuivre toute notre vie et qui ressort plus ou moins par moment. C'était ptet pas l'ambition du jeu, c'est ptet moi, allez savoir.

En attendant, et même avec les qualités que je lui trouve, je fais partie des 2% de monstres qui n'ont pas lâché une larme

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[Terminé]

Difficile de se placer pour savoir à quel point le jeu est mauvais, mais pour moi il l'est clairement. Le jeu à beau être en 3D, il a décidé de quasi-exclusivement s'aborder sous la forme d'un side scrolling. On traverse des environnement courts, avec des idées de gameplay complétement datées, souvent sans intérêt. Les jumpscare et le côté horrifique m'ont plus souvent faite facepalm qu'autre chose.
Probablement pour ne pas se terminer en 2h, Yume Nikki prend aussi une direction pseudo point and click/énigme qui consiste à trouver des objets dans des mondes pour les utiliser dans d'autres, ce afin d'obtenir un autre objet qui servira encore dans un autre niveau. Évidemment tout ça ne se fait pas sans plusieurs passages, qui sont rapidement usant vu le gameplay desdits niveaux.
S'il y a quelques bonnes idées niveau DA, le mérite revient surtout au jeu de base qui en est à l'origine, surtout que le passage en 3D ne leur fait pas toujours honneur.

J'sais même pas quoi dire, en fait. N'y jouez pas, c'est pas mon genre de dire ça mais si vous pouvez vraiment pas résister, allez mater un Let's Play.

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[Arrêté à la moitié]

- La présentation générale qui trahit un jeu smartphone avorté (moteur du jeu, bulles de dialogues, menus, raccourcis latéraux)
- L'ergonomie complétement pétée, entre le menu radial pas du tout amélioré qui hache autant le rythme du jeu que mes nerfs, et les raccourcis qui en plus de n'être qu'au nombre de deux ne fonctionnent que dans un sens
- L'IA alliée déplorable

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[Terminé]

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Excellent jeu de rythme qui risque cependant de vous claquer l'égo. Je ressens une intense frustration à l'idée d'être condamnée à jouer à tout jamais à l'équivalent du mode easy

Annotation :

[Terminé]

L'histoire nous fait suivre un groupe de 3 ados, envoyés dans ce qui semble être une sorte de camp de scout chrétien.

Livrés à eux même dans les bois, ils doivent lutter contre la venue du "Diable". C'est un Visual Novel dont le peu de choix consistent à exclure un membre du groupe.

Intéressant mais trop court. Je pense qu'à peine une heure de durée de vie supplémentaire n'aurait pas été de trop pour laisser trainer encore un peu ce doute qui fonctionne assez bien, et pour cause l'ambiance est très réussie.

Pour ceux qui ne comptent pas y jouer, petit détail du déroulement du jeu, full spoil >



[SPOILER]

Au final, même si la métaphore est assez basique, le jeu arrive quand même à faire planer un petit doute quant à l'idée de la venue de ce "Diable"

Évidemment, on comprend rapidement ici que chaque ado à un problème qui fait qu'il n'est pas sur le "droit chemin", ou plutôt sur la "voie de Dieu" comme évoqué.
Ils ont tous une manie qui va servir de "métaphore" à leur problème, qui n'est jamais évoqué directement

Venus, nous apparait au début de l'histoire comme un garçon très timide, et surtout qui ne se rebelle jamais et qui essaye d'être le plus gentil et lisse possible. Pas de tic physique notable, Venus passe juste son temps à s'excuser pour tout et n'importe quoi. On fini par constater que Venus se sent mal dans son corps et qu'il, elle du coup, se sent en réalité fille.

Jupiter est une "tomboy" qui à la facheuse tendance à faire claquer son élastique à cheveux, qu'elle porte en permanence autour du poignet, quand elle est stressée. Evidemment, on capte rapidement qu'elle est là parcequ'elle est lesbienne, mais pas que. Jupiter est obsedée par le contact physique, même violent, mais toujours sexualisé (cf. une scéne d'étranglement)

Neptune est une fille féminine et grande gueule, manifestement lesbienne aussi mais qu'on devine assumée dans l'attitude, qui tiens absolument à ce que les autres "s'assument" et soient "eux même", mais qui du coup ne peut pas s'empêcher de tenter de forcer agressivement ses principes et sa vision des choses sur les autres. Elle est souvent prises d'une violente toux, censée symboliser son envie de contaminer les autres.

Au terme du récit, le personnage qu'on aura choisit de mettre le plus de côté, succombera au Diable, aka à être ce qu'il est vraiment, et assumera son trait de caractére "problématique" dans une scéne de transformation en monstre

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[Terminé]

Un des premiers jeux de Mikami, sur lequel il s'exercera au backtracking. Intéressant d'y jouer avec ça en tête

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[Terminé]

Un épisode de NCIS, mais jouable

La fameuse particularité du jeu d'être jouable à plusieurs ne prend de sens qu'avec un nombre impair, par contre, sinon c'est beaucoup d'emmerdement pour pas grand chose et une annulation pure et simple du concept même...

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[Terminé]

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[Terminé]

Heureusement que visuellement, la patte Ghibli est plutôt bien imitée, car il faut bien avouer que sans ça on risquerait de se rendre compte de l'extrême fadeur visuelle. Que ce soit au niveau du chara design (en excluant peut être Evan et Roland) ou de l'architecture des villes, on est très très loin d'un Ghibli.

Le level design ne se défend pas beaucoup mieux, c'est à peine si le jeu daigne mettre 2-3 détours dans les zones pour entretenir l'illusion. Puis il y a ces donjons optionnels, qui utilisent les même assets mais agencés différemment.

Concernant la fameuse musique de Hisaishi, eh bien justement pour du Hisaishi c'est étonnamment banal la plupart du temps, malgré quelques trucs qui sortent du lot.

Que reste t'il, alors ? Le systéme de combat, le scénario ?
le système de combat, c'est simple : c'est devenu du A-RPG, pas désagréable du tout quoique bénéficiant d'un équilibrage ultra pété, mais bourré de nombreuses petites mécaniques de jeux qui n'ont aucune profondeur, ou du moins qui ne s'en donnent pas les moyens. Bref, Level-5 level fived me again.
Le scénario, ne nous attardons pas sur la niaiserie supposée, c'est loin d'être le cœur du problème. C'est tout simplement mal raconté, tout se passe très vite, des cinématiques raccourcies au strict nécessaire, des fondu au noir beaucoup trop présent. Rien ne prend le temps de s'installer, rien n'a d'envergure.

Pour vous accrocher, le jeu compte bien éveiller vos bas instinct en vous proposant un mode royaume qu'il faudra faire prospérer via le biais de quêtes annexes sous lesquelles vous serez bientôt inondés. Aucun aspect gestion là dedans, pas de gestion stratégique des ressources au autre, ce mode consiste juste à construire des batiments pour avoir de l'argent pour pouvoir encore plus construire, comme un bon vieux incremental game mobile dégueulasse.
Ce mode est supposé à la base créer une boucle avec le reste du jeu, nous permettant d'améliorer toutes les petites mécaniques de jeu, mécaniques de jeux qui serviront elle à exécuter des quêtes annexes plus facilement, pour construire encore plus, et ainsi de suite. Mais comme dit plus haut, aucune mécanique n'est vraiment important, il ne reste donc plus du mode royaume qu'un vaste plaisir superflu, à peine au niveau d'un jeu facebook.

Bref, le syndrome Level 5 encore une fois, toute la variété prétend s'étaler sous vos yeux les 5 premières heures de jeu puis retombe complétement. De là à dire que ça explique le nom du studio...

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[Terminé]

Mieux écrit que je ne l'aurais cru sur certains points, Sweetest Monster saute malheureusement à pied joint dans un énorme manque de subtilité quant à son "plot twist"

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[Terminé]

Adorablement joli, allié à une OST géniale et un concept parfaitement exécuté, le jeu est immédiatement attachant et entrainant et le reste de bout en bout. Seul regret, il est vraiment court, c'est frustrant tant l'expérience est plaisante.

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[Terminé]

Glaçant de justesse sur le harcèlement scolaire, Higanbana est en plus un conte cruel où les victimes ne sont pas que la proie de leur camarades de classe, mais aussi celle des yōkai mangeurs d'âme, qui tour à tour tentent de les pousser dans leur derniers retranchements, au crime ou au suicide pour rendre le festin plus savoureux.

S'il est écrit avec une profonde compréhension (expérience ? difficile de ne pas avoir cette impression) de ce qu'est une victime de bullying, Higanbana ne les épargnera pourtant jamais dans son discours. Dans le monde de Ryukishi07, le manichéisme n'existe pas et certaines vérités sont dures à lire tant elles dépassent la frontière de son récit.

Annotation :

[Terminé]

Un peu moins centré sur le bullying, le second acte s'attarde sur la présentation des principaux youkai non introduit dans la première partie, pour un résultat beaucoup plus inégal.

Cette seconde partie est globalement moins intéressante que la première. La plupart des histoires sont plus courtes ou moins intéressantes, voir redondantes..

Heureusement, la seconde histoire est là, et c'est pour moi la meilleure du lot (sur 14 nouvelles au total) au coude à coude avec la dernière histoire de Dai Ichi Ya

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[En pause]

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[Arrêté vers 20h de jeu]

Aspect gestion désormais complétement mort. Déroulement segmenté, fermé, à tel point que la partie de 2 joueurs différent sera quasi-identique. La possibilité de "prendre de l'avance" sur le déroulement du jeu est radiée une bonne fois pour toute de cet opus à mon grand désarroi.

Et l'univers n'a pas eu de quoi me faire rester. Long Live Arland.

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[Terminé]

Un Add-on sympathique grâce à ses personnages très attachants qu'on a trop peu vu.
Malheureusement, A Requiem for Innocence se contente de narrer de façon explicite ce que le récit de base de Fata Morgana nous expliquait de façon implicite. Ainsi, même si les événements sont beaucoup plus détaillés, on apprend quasiment rien étant donné que le premier jeu réussissait déjà à synthétiser et nous faire ressentir les choses sans nous les expliquer, et ce nouveau récit laisse même parfois une impression de gâchis du premier jeu en en disant trop.

Annotation :

[Terminé]

+ Plus besoin de se farcir un scénario
+ Plus besoin de débloquer le mode All Night
+ Une difficulté revue à la hausse par rapport à P4D
+ Des costumes et accessoires plus simples à débloquer/objectifs plus clairs (à la limite c'est un peu nul de devoir mal se fringuer pendant un temps mais ça passe encore)

Des changements qui rendent le jeu bien plus agréable à jouer si vous venez avant tout pour le gameplay.

- Les clips en mode Girls Band/Boys band sont extrêmement gênants
- Atlus qui gratte un max en nous collant des vidéos au lieu de danses sur certaines musiques

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Imo version supérieure à celle de P5. Meilleurs mixs (même si certains surprennent au départ, ils sont adaptés à un jeu de rythme) OST plus varié et danses plus entrainantes.

Annotation :

[Terminé]

Pareil que P3D, à ceci prés que les musiques de cette version sont beaucoup moins punchy dans leur remix. D'ailleurs, beaucoup plus de musiques sont laissées telles quelles comparé à P3, et la plupart reviennent trop souvent.
Sans parler des danses qui passent bizarrement moins bien que sur P3, sans trop pouvoir expliquer pourquoi (décalage d'ambiance, chorégraphie molles.. ?)

Annotation :

[Stoppé au bout des 5 mondes mais sans avoir fait le boss final]

- Chara design dégueulasse
- Dialogues à se jeter par la fenêtre, avec des *wink wink les nostalgiques ;))* réguliers
- Un doublage yaourt que l'instinct de survie m'a poussé à désactiver au bout de 10 minutes
- LE QUIZZ.

Question prise en main, Yooka-Laylee propose un personnage assez agréable à contrôler, surtout en y ajoutant la petite roulade. Niveau panel de mouvement, c'est assez basique, et pourtant le jeu à fait le choix de s'embrouiller dans des combinaisons à base de gâchette...

Niveau level design et direction artistique des différents mondes, je trouve clairement le jeu fade.
Et, faute à un chara design qui s'ironise presque lui même, l'univers n'est absolument pas attachant.
La récolte de pages n'est pas forcément maligne dans ses emplacements, elle se contente de demander au joueur de revenir avec le pouvoir adéquat qu'on aura acheté à un PNJ. et concernant les récoltables de base (les plumes) elles n'exploitent pas non plus les recoins du level design, qui de toute façon en manque, elles sont posées là et m'ont finalement juste servi à savoir où j'avais déjà exploré...

Annotation :

[Pause à durée indéterminée au chapite 7 vu que j'ai perdu ma save (si vous avez ça en rab, je prends)]

Annotation :

[Terminé]

Annotation :

[Terminé]

Le genre de jeu qui capitalise sur ses graphismes pas degueu pour du jeu android et un univers à base de chats qui s'expriment en jeu de mots avec "miaou" et "pattes" à absolument chaque ligne. (Bref si pour vous c'est le cancer des dialogues modernes, fuyez)

Pour le reste, c'est de l'archi basique et archi répétitif, c'est pas déplaisant surtout si on prend en compte le support smartphone, support sur lequel il se démarque par sa "propreté".
Transposé à 30€ sur une plate forme comme la switch, l'addition parait tout de suite beaucoup plus salé, la faute à un jeu dont l'interactivité avec le joueur est finalement plus proche d'une "appli jouable" qu'autre chose.
Je suis pourtant pas du genre à parler de rapport qualité/prix pour un jeu, mais la nuance mérite d'être faite.

Sympa si vous avez un voyage en train à tuer, à condition d'en laisser pour le retour sous peine d'overdose.