Jeux indés sur Switch

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Premier jeu que j’ai terminé sur Switch ! J’avais déjà regardé des vidéos du jeu qui me faisait de l’œil sur PC, j’ai saisi l’opportunité de le faire sur Switch et je n’ai pas du tout regretté ce choix. L’histoire est poignante, triste et parfois amusante. Pour chaque « niveau », on incarne un membre de la famille Finch et on a par conséquent un gameplay différent à chaque fois, ce qui casse la monotonie et apporte un peu de surprise. Au delà de l’histoire, j’ai trouvé que c’était le point fort du jeu car c’est ce qui fait qu’il s’est imprimé dans ma mémoire - alors que j’ai tendance à rapidement oublier les détails qui ont fait que j’ai apprécié une œuvre. Bref un vrai coup de cœur (et merci Paul si tu passes par là de nous en avoir tant parlé ;) ).

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À vrai dire, je ne sais pas quelle note donner à Liberated. J’ai précommandé le jeu une ou 2 semaines avant sa sortie car 1) le thème dystopique/lutte/hacking me hypait pas mal et 2) il était en promo (eh oui!). L’expérience n’a pas été désagréable mais il ne m’a pas emballée. J’ai trouvé très originale la mise en scène car on joue à un jeu dans une BD style noire, et l’histoire est vraiment très intéressante. Je laisserai une citation en dessous, ce que je ferai pour chaque jeu un peu engagé auquel je jouerai (je prends beaucoup de screens de quelques scènes de jeu que je trouve impactantes). En revanche, le gameplay est chiant, il y a eu des moments où j’ai bien galéré à changer de case car je n’arrivais pas à tuer les ennemis - à priori, certains niveaux ont été corrigés pour ça par la suite. Les graphismes ne sont pas toujours fous, j’ai en tête un moment où mon personnage nageait sous l’eau comme s’il y marchait avec son arme à la main, bof. En revanche j’ai beaucoup aimé les dessins dans les cases fixes.
En bref : l’aspect « ludique » est moyen, mais la thématique et les questions auxquelles les dialogues font allusion sont le point positif de Liberated.

Citation : « Dans une monde où manifester est un crime, la violence est le seul moyen de régler les différends. »

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The red strings club est LE jeu qui m’a fait douter de mes certitudes concernant la technologie et son utilisation sur la psychologie humaine - je suis en train de jouer à Eliza et je pense que ça va aussi bien retourner mon cerveau. Si le gameplay promis est intrigant (comment donc va-t-on influencer les humeurs des gens en leur faisant des cocktails ?!), dans les faits, il y a plusieurs « chapitres » dans lesquels on va jouer de façons différentes. Cependant, il n’y a jamais rien de bien fou, mais clairement, il est impossible de s’arrêter à ça. Le jeu nous transporte dans un univers qu’on peut imaginer comme notre avenir, un peu à la Black Mirror, et il parvient à nous dérouter en très peu de dialogues. Le premier chapitre nous permet de prendre conscience de l’impact de la technologie de implants du jeu en en greffant nous-mêmes sur des clients qui se présentent à nous; le deuxième chapitre nous renvoie plus à nous, notre vision du monde, notre définition du bien, du mal, du bonheur, de la tristesse, de ce qui fait de nous des humains, en suivant le but du jeu ; le dernier chapitre conclut en nous confrontant à nos décisions. Chaque expérience de jeu me semble assez unique, voire intime, et je ne peux que recommander de jouer soi-même, d’autant qu’il est assez court.

Citations : « Une société qui ne connaît pas la colère est une société qui ne se bat pas pour promouvoir des changements ou des progrès. »
« Société inc., productrice de racisme, de misogynie, d’autres horreurs depuis 70 millions d’années. »

Une fois que vous aurez terminé le jeu, je vous conseille fortement d’écouter ce podcast : https://youtu.be/1AsWDo9SM3g - et de vous abonner aussi !

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Night in the woods, c’est un peu le reflet de la vie de la génération 1990. On fait des études, ou pas, on les termine, ou pas, on trouve un travail, ou pas, on revient chez ses parents, on est nostalgique de notre enfance, on ne grandit pas. Bref, c’est l’histoire des Peter Pan qui ne vivent pas dans le pays imaginaire et qui donc, par la force des choses, doivent prendre des responsabilités et faire des papiers plutôt que de combattre le Capitaine Crochet.
On y incarne Mae, un chat, ça devrait vous suffire à vous donner envie non ? :) Sur le coup, j’avoue que je me suis parfois ennuyée, mais avec du recul, je me dis que ça accentue bien l’aspect monotone de la vie et du quotidien.

Citation : « Bright Harbor Gazette - Secretary of Education : ´Having public school is like having public hamburgers. That’s insane. Everyone should buy their own hamburgers.´ » (on vote pour qui pour les hamburgers publics ?)

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Firewatch est un jeu qui aurait pu être cool à jouer lors du confinement ! Grand air, grands espaces nord-américains, randonnée et mystère : tout y est pour un moment d’évasion. L’histoire de fond est assez triste et ça permet de faire comprendre le besoin d’évasion du personnage principal. Je ne peux pas en dire beaucoup sans spoiler donc si vous aimez la forêt et le trekking, foncez :)

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Gameplay redondant et pas très fun, histoire qui passe au second plan mais direction artistique au top. Une vidéo playthrough devrait suffire.

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J’ai téléchargé ce jeu en regardant la liste des jeux Devolver (parce qu’après the red strings club je me suis dit que c’était un peu valeur sûre). J’ai été intriguée par l’ambiance très 80’s du trailer et l’ambiance un peu horreur que le synopsis promettait. Le jeu est composé de 4 chapitres qu’on va dérouler dans un gameplay assez étrange mais très efficace. On croirait jouer à un jeu sur Minitel ou sur un très vieil ordinateur. Chaque chapitre possède néanmoins ses particularités et même si c’est répétitif, je n’ai pas du tout ressenti de longueur tant c’était immersif. Un vrai coup de cœur que je recommande beaucoup !

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Ce n'est pas un jeu vers lequel je me serais dirigée d'instinct, mais j'ai eu une très bonne surprise en me lançant dedans ! Dans cet action-RPG dans lequel on incarne tour à tour les membres d'une famille pas comme les autres, le but est de lutter contre une corruption qui détruit le monde vivant (comme si ça pouvait arriver en vrai :D ! Euh attendez ...). Il y a autant de styles de combats que de personnages jouables, beaucoup de couleurs et une histoire de fond qui est secondaire mais qui fonctionne bien.
Et sinon, vive Lucy !!!

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Une pépite ! J'y ai joué dans la continuité de The Red Strings Club, la thématique collait parfaitement. Dans ce jeu, on découvre de l'intérieur une entreprise qui propose un service de "psychologie" où les "thérapies" sont menées par un ordinateur, mais où les réponses automatiques sont lues par des humaines qui ne DOIVENT PAS s'écarter du script. Au-delà de l'aspect technologique et stockage de données sensibles, le jeu fait réfléchir à la solitude, au sens de la vie, à l'amitié et sur les valeurs que nous pouvons défendre. C'est encore un jeu qui montre que tout n'est pas blanc ou noir, qu'en fonction de qui nous sommes, nous pouvons utiliser des outils à bon escient ... ou pas.

Citation : "Would you tell them to not take the medication that help them be functional because the pharmaceutical industry has questionable ethics sometimes ?" Rae

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J'y ai joué sur PC et sur Switch. C'est un jeu superbe dont l'OST donne trop la pêche. J'ai rarement envie de me replonger dans un jeu quand je l'ai fini, mais là j'ai vraiment envie de battre mes propres records. Ce jeu aurait très bien fonctionné en arcade je pense ! Je n'en dis pas plus car je trouve que c'est mieux d'avoir la surprise de la découverte de chaque niveau, mais je peux dire gros coup de coeur sur celui des jumeaux :)

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Avant toute chose : téléchargez ce jeu et jouez-y immédiatement !
Avoir joué à Spiritfarer est une de mes meilleures expériences sur Switch. C'est un jeu qui m'a rendue accro, qui m'a apaisée l'esprit et qui m'a vraiment émue. On y incarne Stella, la remplaçante de Charon, qui a pour travail de faire passer des âmes vers le royaume des morts. Le but est de rendre le plus confortable possible ce passage, comme si on fournissait aux personnes des soins post-palliatifs. Je suis attirée de nature par la navigation alors forcément, ça m'a branchée tout de suite ! Il y a des phases d'exploration, de la cuisine et manufacture, des dialogues vraiment très touchants et le jeu en 2D animé est superbe. Si la thématique principale est la mort, elle est vue comme une expérience positive, comme un aboutissement de sa vie, ce qui n'est pas usuel dans la vision occidentale.
Citation : "It seems the only hope humanity has for transcendence is through art" (dans le meilleur dialogue du jeu, en toute subjectivité :))

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Trop mignon, très touchant, surtout si comme moi, dès qu'il est question de relation entre frère et soeur, la larme peut vite vous monter à l'oeil. C'est un jeu assez original dans son gameplay qui est un peu une "inception" d'un jeu dans un jeu, et la direction artistique est vraiment au top, encore une fois : surtout si comme moi vous avez la nostalgie de l'animation en pâte à modeler de Wallace et Gromit. Le jeu est assez court pour ne pas que ce soit trop répétitif et propose une histoire qui se développe très bien dans ce laps de temps. Une chouette petite expérience !

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Une super découverte ! A Short Hike c'est un jeu qui permet de s'évader. On y incarne un petit oiseau qui est en vacances sur une île qu'on peut ainsi explorer en long, en large et en travers. A condition d'avoir assez d'endurance, on peut aller là où on le souhaite et c'est franchement très agréable. Une bouffée d'oxygène quand nos mouvements dans le monde réel sont restreints depuis un an ;)

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Un peu comme pour Raji, on sort de ce que l'on connait dans Eqqo car on nous propose de vivre une légende d'un conte éthiopien. Sur le papier, c'est enthousiasmant, mais le jeu est pénible et un peu ennuyeux. Je suis fan de puzzles mais là c'était un trop redondant et je n'ai pas eu le courage de le terminer ... dommage !

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Un beau coup de coeur. J'ai acheté ce jeu dans un pack "Accidental Queens" avec "Another Lost Phone" et "Alt-Frequencies". Dans "A Normal Lost Phone", on se retrouve dans une sorte d'escape game dans lequel le but est de comprendre à qui appartient le téléphone portable qu'on vient de trouver. Si vous aimez stalker les gens, vous devriez y trouver votre compte ;). On navigue entre les sms, les mails, les applications à la recherche d'indices nous permettant d'accéder à toutes les données du portable en question. C'est un jeu super émouvant, qui fonctionne pas mal à l'empathie et que j'ai trouvé très éducatif. En plus, on ne peut pas s'empêcher de se poser la question "Et si quelqu'un trouvait mon portable, qu'est-ce qu'il ou elle penserait de moi ?". Je l'ai trouvé très bien ficelé et le recommande beaucoup !

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Dans la continuité de "A Normal Lost Phone", "Laura's Story" nous plonge dans une toute autre thématique mais avec le même gameplay, à savoir un portable à explorer. Il est un poil plus "dur" que le premier mais tout aussi émouvant et prenant. Je recommande aussi !

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Bloodroots vient s'ajouter à la liste des jeux auxquels j'ai joué, mais que je ne finirai pas. Sans qu'il soit foncièrement mauvais, je n'y ai pas trouvé d'intérêt, je le trouve pas intéressant et je ne suis peut-être pas le bon public. L'aspect destruction des campements de l'ennemi et vengeance sont assez cools mais j'ai trouvé les hitbox un peu abusées, c'est pas forcément bien calibré et ça devient vite frustrant (en tous cas pour moi !).

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Un peu déçue de ce jeu qui était pourtant (à mes yeux) prometteur ; même si pour autant, je suis super contente de jouer à un jeu qui ne soit pas centré autour de la mythologie grecque/romaine, égyptienne ou sur l'Histoire occidentale (ou japonaise, car on en voit de plus en plus). C'est tellement agréable de découvrir autre chose, d'en apprendre plus sur Shiva, de faire la connaissance de Dourga et Vishnou et d'entendre un anglais chantant grâce à l'accent indien. Tellement agréable aussi de jouer une fille, une héroïne pleine de courage qui affronte des démons pour sauver seule son petit frère. Pour autant, j'ai passé de longs moments à m'ennuyer voire à m'énerver à cause du design des niveaux ou du gameplay. L'histoire est très linéaire, tout comme certains niveaux, pour autant il y a des endroits où on pense pouvoir aller mais qui ne mènent à rien ; sauf qu'il faut 3 plombes pour retourner de là d'où l'on vient. Bref, j'y ai joué 5h mais j'ai l'impression d'y avoir passé un mois car je ne faisais pas de sessions de plus de 30 mins je crois. Donc en définitive, je pense qu'il y a un excellent concept qui permet de lutter contre notre centrisme occidental, mais à peaufiner !

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Enorme coup de coeur sur ce petit jeu que j'ai mis du temps à acquérir ! Carto c'est un mélange de puzzles tellement malins, des dessins magnifiques et de l'exploration à la saveur particulière (car c'est nous qui sommes en charge de former notre carte). Tout est trop mignon, on y parle de famille, de traditions ancestrales, de chasse au trésor et je me répète, mais les puzzles sont vraiment super bien pensés. Il vaut vraiment le coup d'y passer un peu de temps, j'y ai joué environ 5h et je ne me suis jamais ennuyée.

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Si en 2021, quand on dit "cyberpunk" on pense à 2077 (et ses gros fails), de mon côté j'aurais tendance à penser à Cloudpunk. C'est un univers openworld cyberpunk dans lequel on livre des colis dans la ville de Nivalis pour le compte de l'entreprise Cloudpunk. Je trouve qu'on y retrouve bien les questions un peu existentielles qu'on imagine quand on parle de cyberpunk, sur l'humain augmenté, sur les inégalités, les androïdes et l'intelligence artificielle, etc. On a l'occasion de faire quelques choix qui ont leur importance en jouant et l'ambiance est très sombre sans pour autant que notre personnage ne perde de son enthousiasme. Gros bémol sur le fait qu'on ne puisse pas contrôler la caméra, ça enlève de la fluidité à l'exploration des niveaux - et idem pour les ascenceurs qu'on ne peut pas commander mais qu'on doit attendre pendant 3 plombes ...

"Ils t'exploitent tous les jours, et toi tu leur dis merci. Une main te félicite, pendant que l'autre te vole tes acquis" - Camarade Bop, un super personnage :)

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Juste après les "Lost phones", j'ai enchainé sur Alt-Frequencies, dans lequel on se retrouve dans une boucle temporelle et où notre seul moyen d'intéragir avec le monde passe par des messages à diffuser par la radio. C'était assez intrigant pour que je m'y lance. Au final, je suis un peu déçue de l'issue, j'ai été bloquée à certains endroits et certains passages ont été un peu longs car parfois, on est forcé d'écouter des passages de radios inintéressants juste pour progresser. C'est néanmoins une chouette idée de gameplay, assez original et pas trop longue si jamais vous souhaitez découvrir un jeu différent.

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Encore un jeu de puzzle extrêmement malin. Ici, on déplace des éléments dans un décor en 2D fait de couches de papier pour permettre à notre personnage de progresser. L'univers est très onirique, peut-être qu'un message plus profond se cache derrière (je ne l'ai pas saisi dans ce cas), mais même sans seconde lecture, c'est un jeu très immersif.

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Très beau, mais je dirais que c'est là sa seule originalité. Les enigmes proposées ne sont pas très intéressantes, il y a quelques points de fulgurance mais rien de bien fou en soi.

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Si vous voulez avoir une idée de ce que veut dire "casse-tête", alors jouez à Baba is you. Franchement, je ne peux pas en dire plus, car c'est un jeu très simple mais extrêmement complexe. J'ai jamais vu d'énigmes aussi bien pensées, des fois même trop bien pensées, tellement que ça frustre et qu'il vaut mieux poser la console et y revenir plus tard - mais super jeu néanmoins :)

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Difficile pour moi de parler de ce jeu comme d'un jeu, car j'ai trouvé qu'il n'y avait pas grand chose de ludique dans le gameplay de If found; et peut-être est-ce un parti pris. En soi, il s'agit d'une BD interactive où on efface des pages et des dessins ... et c'est tout. En revanche, on assiste par là à une histoire assez puissante, et la symbolique "d'effacer" le récit est assez bien pensée. Encore une fois, on retrouve ici la thématique du coming out, du genre, et je pense que des jeux liés à ça vont encore sortir - car c'est selon moi un tournant sociétal qui s'est opéré avec MeToo et les luttes féministes et intersectionnelles. Bref, pas de coup de coeur mais toutefois une jolie découverte.