Jeux terminés en 2020

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1er janvier 2020
Une très bonne introduction à la série de comics "Fables" que j'apprécie beaucoup. L'ambiance est bien retranscrite. Les graphismes en cel-shading ont leur charme et collent bien à l'univers. Le scénario est intéressant même si on se heurte au "style" Telltale. Chaque épisode est construit autour d'une trame dans laquelle le joueur doit faire des choix. On sent que ces choix influent sur l'histoire mais vraiment à la marge, Le dénouement de chaque épisode est fixe mais le moyen d'y parvenir offre quelques variantes. Un bon moment, fidèle à ce que j'en attendais.

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4 janvier 2020
Un très belle expérience. On retiendra d'abord l'esthétique du jeu, à couper le souffle. Ensuite, une fois l'étonnement passé, le gameplay parait assez limité mais finalement les diverses capacités de l'héroïne font que les petits puzzles de level design sont très agréables à résoudre, surtout si on cherche un temps soit peu les objets cachés.
Le jeu est très court (3h30) mais vraiment très agréable à parcourir. En résumé, une expérience dépaysante mais très courte. Peut-être à recommander aux réfractaires du média !

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1er février 2020
Un excellent jeu Star Wars. Je n'ai pas boudé mon plaisir malgré les réserves, assez habituelles pour les jeux à licence forte. On retrouve l'univers Star Wars dans toute sa splendeur, ni trop, ni trop peu. Le jeu propose une bonne histoire annexe au Canon. J'ai apprécié le gameplay : des combats exigeants (je n'ai pas joué à Dark Souls) et des coups variés, une montée en puissance du héros bien maîtrisée, des cartes suffisamment grandes pour donner envie de les explorer entièrement. Je n'ai pas pu résister au 100% même si les récompenses sont principalement esthétiques. C'est justement la direction artistique qui a été beaucoup critiquée. Sorti des ponchos très laids et des yeux globuleux de Cere, j'ai trouvé que le reste se tenait bien, notamment les décors, tout simplement grandioses. Je me suis même attaché à Cal Kestis et BD-1 !
Un très bon jeu Star Wars, n'en déplaise aux râleurs.

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6 février 2020
Merci aux développeurs pour cet excellent jeu qui mêle plateforme et metroidvania, graphismes 8 et 16 bits. La maniabilité est au poil, la mécanique de résurrection est très bien vue, les patterns des boss sont bien identifiables. Rien n'est réellement neuf mais tout est harmonieusement agencé.
The Messenger a ce petit plus que j'adore retrouver dans un jeu et qui me pousse à toujours y revenir avec plaisir. La comparaison est peut-être mal à-propos mais j'ai débuté Celeste fin 2019 et je dois me forcer pour y revenir parce que je trouve que tout y parait si sérieux alors que dans The Messenger on se laisse porter par l'univers et l'humour du jeu. Même si le quatrième mur est enfoncé au bulldozer par les développeurs, on y revient toujours. Rien que le Boutiquier, un PNJ qui rejoint sans problème mon panthéon des meilleurs personnages du jeu vidéo, vaut le détour. Merci !

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15 février 2020
Je ne peux m'empêcher de faire le parallèle avec The Messenger. Pas pour le gameplay, probablement la grande réussite de Celeste. Les mécaniques de jeu sont renouvelées à chaque chapitre puis triturées tout au long des différents tableaux. Tout est très fin : gameplay, graphismes, musiques. Rien à redire. Je suis plus sceptique concernant l'histoire. Tout le monde loue l'évocation de la dépression, du franchissement de la montagne comme métaphore du rétablissement, la chute puis le relèvement, l'acceptation de soi. J'avoue que je m'attendais à quelque chose de plus ... consistant ... même si effectivement cette thématique transparait jusque dans le level design.
Je parlais de The Messenger plus haut car j'y ai passé un vrai bon moment de jeu vidéo avec de l'évasion, de la déconne même si le gameplay est plus "grossier" que dans Celeste. Celeste m'a laissé froid. J'ai d'ailleurs mis plusieurs mois à le terminer, bien sûr à cause de sa difficulté mais également au manque de motivation lié à l'univers du jeu. Je n'ai pas envie, à ce moment-là de ma vie, qu'on me rappelle des banalités sur la dépression dans un jeu vidéo ! Je ne regrette pas de l'avoir fait mais il lui manque un petit quelque chose pour moi.

NB : j'ai laissé tomber le chapitre 9 ajouté récemment. Le jeu se montre très bienveillant, même dans la présentation du mode assisté (invincibilité, plus de dash...). Mais au cours du chapitre 9, il faut franchir une porte qui ne s'ouvre que si on a récupéré tous les cœurs des autres chapitres... Etonnant comme démarche alors que la récupération des fraises est présentée, elle, comme optionnelle...

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21 février 2020
Jeu repris à zéro avec l'arrivée de l'épisode 5 et de la traduction française. Cette dernière facilite grandement la compréhension. Le premier acte met bien les éléments de l'histoire en place. Le deuxième acte m'a refroidi, je l'ai trouvé très plat. Je pense aussi, et c'est valable pour la totalité de l'oeuvre, que ma culture n'est pas suffisante pour voir toutes les références rencontrées au cours du jeu. Les actes 3 et 4 m'ont tout simplement fascinés (au point de refaire l'acte 4 pour tester tous les choix possibles). L'ambiance est exceptionnelle : rencontrer l'amérique des laisser-pour-compte, parcourir des lieux situés entre rêve et réalité , suivre des discussions sur la nostalgie, l'enfance, les choix de vie... Les dialogues sont justement un des points intéressants du jeu : au contraire des jeux Telltale on ne te fait pas croire que tes choix vont modifier l'histoire du tout au tout. Mais les choix proposés permettent de construire les personnages d'une manière assez subtile, de les colorer à notre manière. D'où ma déception pour l'acte 5, paru récemment, très court et dont j'ai eu du mal à saisir le sens.
Les graphismes très simples (3D et aplats de couleur) et la mise en scène très fluide et pleine de trouvailles, concourent à créer cette ambiance éthérée si particulière. Une grande réussite.

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23 février 2020
Le jeu est alléchant : une ambiance à la Indiana Jones, des nazis, du tour par tour, des personnages à faire progresser. L'ensemble est cohérent. Musiques, graphismes, interface, tout rappelle Indiana Jones. Dans sa version "désert d'Afrique du Nord" en tout cas. C'est le premier reproche que je peux faire au jeu : très peu de variété dans les environnements (désert ou tombeau). Concernant les phases de combat au tour par tour, la promesse est bonne mais au final, tout est très répétitif et manque de profondeur. La stratégie gagnante est toujours la même. La montée en puissance des personnages et le loot retardent un peu le sentiment de lassitude mais c'est insuffisant. Pour le scénario, le jeu propose 5 aventures différentes. Encore un fois on retrouve un manque d'ambition puisque ces histoires sont détachées les unes des autres, pas de grande quête épique, juste cinq "poursuites de méchants" très proches dans leur déroulement.
Pathway est un jeu indépendant, on ne peut pas lui demander un contenu équivalent à une production AAA mais j'avoue qu'après 15 heures de jeu, j'aurai bien aimé quelque chose de plus ambitieux même si le jeu n'est vraiment pas désagréable à jouer.

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2 mars 2020
Jeu considéré comme terminé car j'ai atteint la fin de l'aventure solo (une suite de défis contre un personnage de l'histoire ou un défi solo). Le scénario est ... étonnant. Des personnages par paquets de 10, une histoire basé sur le croisement de dimensions, technique dite de la facilité scénaristique... Rien d'inoubliable au final. Le jeu en lui-même mélange Tétris et Puyo Puyo avec différents modes (big bang, versus, swap...). Vaut surtout pour les parties à plusieurs (jusqu'à 4).

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14 mars 2020
Un petit jeu sans prétention... mais une très belle expérience. Il s'agit simplement d'explorer une ile, de découvrir ses habitants et d'arriver au sommet de l'île. Comme Celeste ... mais en mieux ! Les deux jeux ne sont pas comparables mais j'ai pris beaucoup plus de plaisir à découvrir A Short Hike qu'à accompagner Madeline. Le jeu se finit très vite (2 heures) et je l'ai fait d'une traite. Un goût d'enfance où on s'émerveille des petites découvertes, des chasses au trésor, des quêtes très simples. Une très belle parenthèse !

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15 mars 2020
Un jeu offert par Revolution Software après le financement participatif réussi de Broken Sword 5. C'est un jeu d'aventure (de Charles Cecil) qui met en scène un agent secret britannique à la poursuite d'un grand méchant déclencheur de guerre mondiale. Le scénario se laisse suivre mais ça n'a rien d'extraordinaire non plus. Sorti en 2000, le jeu tente le passage à la 3D avec tous les problèmes que cela entraine. D'abord, graphiquement le jeu a très mal vieilli et ensuite l'ergonomie est problématique. Le personnage doit être placé très précisément devant les zones d'interaction. Heureusement, elles sont très limitées et facilement identifiables. Les énigmes, assez faciles à résoudre, sont entrecoupées de phases de tir, facilitées par la visée automatique (merci aux développeurs). Le problème, pour moi, restent les nombreux aller-retours. Mention spéciale à la mission du train qui oblige, une fois la fin du convoi atteinte, à retraverser la totalité du niveau en sens inverse et à tout retraverser une fois de plus ! Oubliable.

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18 mars 2020
J'ai terminé le jeu au sens où j'ai obtenu ma première victoire mais il me reste des choses à débloquer (squads, succès...). Un très bon jeu tactique au tour par tour. Chaque tour s'apparente à un petit puzzle où même des situations qui paraissent inextricables ont leur solution. Le placement des unités, amies comme ennemis, est très important et profiter des forces de l'adversaire pour lui faire du mal est très jouissif. De la même manière une petite erreur peut coûter cher si on n'anticipe pas un minimum les conséquences de nos actes. Un jeu riche mais qui manque à mon sens un peu d'âme. La customisation des pilotes est limitée (oui, j'aime cet aspect dans les Xcom !) et l'univers dépeint manque de consistance. Ce n'est pas l'élément principal de ce type de jeu mais c'est un petit plus (qui fait que je ne pourrais pas l'intégrer à ma liste "On est une bande de jeunes et on se fend la gueule", dommage).

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25 mars 2020
Jeu considéré comme terminé malgré le pourcentage de progression très bas (39,3%). En effet, j'ai terminé l'histoire principale, tous les DLC et les 6 "mini-planètes". Comme d'habitude dans les jeux Lego il s'agit maintenant de tout refaire pour débloquer tous les personnages jouables et véhicules. Je n'en ai tout simplement pas le courage, c'est le troisième jeu Lego Batman que je fais ces derniers mois (tous offerts par l'Epic Games Store) et j'ai la nausée (après 18 heures de jeu tout de même). Malgré cela, ce troisième opus est le meilleur pour moi. Pas de monde ouvert (même si le hub est assez grand ... et pénible à explorer), des DLC corrects (surtout celui avec le Batman de 1966). Je connais très peu l'univers de la Justice League mais j'avoue être tombé sous le charme. La variété des personnages et des situations est appréciables même si le scénario n'est que prétexte à une exploration de la franchise.

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5 avril 2020
J'ai commencé ma partie en décembre 2018. Tout au long de 2019 j'ai de temps en temps repris ma partie qui s'achève en 2020, après 110 heures de jeu.
Les côtés positifs sont nombreux. Le jeu est magnifique, les couchers de soleil, la profondeur de champ qui permet d'observer les îles lointaines, la végétation très présente. C'est un vrai plaisir à parcourir, d'autant que le terrain de jeu est immense. Ensuite, le personnage féminin est d'un charisme fou (je n'ai pas testé son pendant masculin). J'ai vraiment apprécié de la retrouver à chaque fois. Le thème de la Grèce antique est bien exploité, les créatures mythiques sont bien intégrées à l'univers. On peut se la jouer bourrin ou furtif. J'ai trouvé les combats plus difficiles que dans les autres Assassin's Creed (j'ai joué en mode difficile), les ennemis attaquent en groupe. Le HUD et la carte sont paramétrables : on peut faire apparaitre ce qu'on veut, ce qui permet d'explorer la carte sans forcément toujours suivre un marqueur.
Mais je tempérerai tout de même cette pléthore de bonnes choses. Peu à peu, le personnage progresse, gagne des niveaux et des compétences pour finir par devenir un demi-dieu qui peut sauter du haut des falaises sans se faire d'égratignures. Cela facilite le déplacement mais gâche également l'immersion. Idem pour le cheval qui peut mourir mais qu'on peut rappeler dix secondes plus tard. La comparaison avec Breath of the Wild est rude de ce point de vue. Il en va de même avec l'équipement. Le joueur croule sous la quantité d'armures et d'armes, y compris pour le niveau "légendaire", immersion cassée. La carte est bien remplie mais à mon sens cela devient répétitif parce que la majorité des points à visiter sont des camps militaires ou des ruines qu'on peut piller et ... c'est tout.
L'expérience était vraiment intéressante même si certains éléments gâchent l'immersion.

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10 avril 2020
Très impressionnant techniquement avec des phases de gameplay plus variées que dans l'épisode 1 (en vol, sur terre, sous l'eau). Plus d'interactivité dans le choix du "chemin" également. Le jeu se termine très rapidement (en moins d'une heure en mode normal) et reste assez répétitif... C'est du shmup...

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12 avril 2020
Les 10 missions principales sont terminées. Pas assez de skills pour débloquer les missions annexes... La difficulté me parait tout de même plus relevée que dans le premier épisode.
Un jeu de combat spatial arcade réussi. Plus beau que Rogue Squadron, il a le même défaut, à savoir une suite de missions, intégrées dans le canon des films mais sans lien direct entre elles. Un bon jeu.

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21 avril 2020
Le jeu du confinement : l'humanité a disparu suite à une pandémie de "Peste rouge" et il ne reste que l'Arche pour accueillir les survivants. On dirige une équipe d'hybrides humain-animal qui va explorer "la Zone" à la recherche du mécano de l'Arche, capturé par les méchants. L'ambiance est vraiment pesante (surtout au départ, après on s'y fait) et le scénario s'en tire bien malgré tous les poncifs du genre post-apo (une humanité suicidaire, un paradis caché, des hordes de monstres-vestiges du passé) bien présents.
Le gameplay, mélange de XCom pour la partie combat et d'infiltration-exploration pour le reste est vraiment bien pensé, comme la courbe de progression d'ailleurs. Chaque personnage évolue, acquiert de nouvelles compétences, modifie son matériel. Une bonne idée est la recharge des compétences, pas par le temps mais par le nombre d'ennemis tués. On peut regretter des zones de combat un peu petite et l'absence d'une carte de la zone (même si son absence renforce finalement la sensation d'exploration d'un monde inconnu). Un bémol pour la fin puisque je suppose qu'il faut acheter le DLC pour avoir le fin mot de l'histoire... Dommage.
Jeu terminé en mode "difficile" qui rajoute quelques contraintes comme la recharge des compétences.

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23 avril 2020
Je l'ai terminé ! Un petit jeu que je relance régulièrement depuis 2014 pour quelques parties courtes. C'est un shmup dans lequel on contrôle un chariot de trois pionniers qui partent explorer l'Ouest sauvage. Du gros pixel art, un gameplay connu (le shmup) et pourtant la couche narrative (basique) et les événements aléatoires que vous allez croiser font que chaque partie est agréable. Les petites touches humoristiques sont bien venues également et en plus il y a des véhicules à débloquer. A jouer absolument !

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23 avril 2020
Un jeu d'aventure-action de Rare, très linéaire, avec Fox McCloud. J'avais acheté cette curiosité en 2016. Après avoir fini Rogue Leader, je l'ai lancé "pour voir" et j'ai finalement bien accroché. Les mécaniques sont assez simples : on gagne des capacités au fur et à mesure comme dans un metroidvania et on suit la piste donnée par les PNJ. Pour autant ce n'est pas un metroidvania puisqu'il n'y a pas de retour dans les zones visitées pour débloquer des passages. On évite tout de même pas les allers-retours entre zones, ce qui gâche un peu le rythme en fin de partie.
J'ai trouvé ce jeu de 2002 beau et maniable. Bémol pour la gestion de la caméra qui n'est pas orientable avec le deuxième stick. Les combats sont soporifiques et heureusement assez peu nombreux. Le scénario, très enfantin, se laisse suivre. Le jeu n'a rien d'original mais est bien construit. A noter quelques phases de shoot en vaisseau (à la StarWing/StarFox) pour accéder à certaines zones et pour détruire le boss final.

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29 avril 2020
Troisième épisode de la série terminé en trois sessions de jeu. Plus facile que l'opus précédent, plus fouillis aussi. Des phases à pied ont été ajoutées et ce n'était clairement pas la meilleure idée. Le jeu essaye aussi de remédier au plus gros défaut des deux premiers épisodes, la narration. Au final ça n'est pas très réussi puisque la trame principale est assez confuse et on finit même par rebasculer dans les épisodes 5 et 6 avec des batailles déjà vues (mais sous un autre angle, notamment à pied... ou sur un taun-taun). L'épisode de trop ?

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20 mai 2020
Trois ligues terminées en mode expert sur Mini Super NES. Jeu terminé pour moi même s'il reste le mode de difficulté "Master", trop complexe pour mes réflexes.
Un bon jeu de course, une sensation de vitesse vraiment bien rendue, des musiques sympathiques (Bravo pour Mute City). Dans la foulée j'ai rejoué à Super Mario Kart et ... c'est lent. Manque peut-être un mode deux joueurs. F-Zero propose un univers vraiment intéressant qui dénote un peu dans la constellation Nintendo. Les 15 circuits proposent un challenge intéressant.

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29 mai 2020
Petit jeu d'aventure offert par Ron Gilbert pour tester son nouveau moteur. On retrouve Delores de Thimbleweed Park. Elle est devenue photoreporter et doit prendre une série de photos. Difficile à noter, le jeu est très court (2 heures), les interactions sont limitées, tout comme les lieux à visiter. Et pourtant Ron Gilbert arrive à en faire quelque chose de jouable avec des énigmes assez retorses. A tester pour les fans de jeu d'aventure et de Ron Gilbert.

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24 juin 2020
Jeu difficile à noter. J'étais très enthousiaste au début : un monde ouvert vaste et varié, trois héros plutôt attachants, des souvenirs de San Andreas... Les premières heures sont agréables, le fait de passer d'un personnage à l'autre offre de la variété, les activités annexes sont moins encombrantes que dans un jeu Ubisoft, le scénario se laisse suivre, la conduite est agréable. Mais petit à petit une certaine lassitude s'installe : les missions, à l'exception des braquages, sont insipides, les personnages sont inconstants et les auteurs semblent hésiter à pousser les personnages vers leur côté le plus sombre. La plus grosse déception reste pour moi le côté trop "sérieux" de l'histoire (déjà un des défauts de GTA IV). San Andreas avait un côté un peu portnawak sur la fin que j'avais beaucoup aimé. Ca manque dans cet épisode.

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10 juillet 2020
Je viens de terminer la Master Quest, version modifiée du jeu original, avec des donjons que j'ai trouvés nettement plus complexes à franchir.
Le portage est vraiment très bon. J'avais testé la version Nintendo 64 (avec la manette d'origine) il y a quelques années et ce portage apporte des améliorations nécessaires, pas uniquement graphiques mais aussi ergonomiques.
Le jeu en lui-même est bon. Je comprends bien à quel point il pouvait être extraordinaire à sa sortie avec les déambulations en Hyrule à dos de cheval et tous ces lieux accessibles. L'évaluer aujourd'hui est plus compliqué pour moi. Le jeu "de base" est bon et fait voyager le joueur. J'aurais vraiment aimé le découvrir durant mon enfance. Par contre, j'ai eu plus de mal à apprécier la Master Quest (il m'a fallu trois ans pour la finir...) : les donjons changent mais le reste est identique (mais en mirroir) et ce type de challenge n'est pas tout à fait ce que je cherche dans un Zelda.

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10 juillet 2020
Victoire au Level 4 ! 6-3 ; 7-5 !
Un petit jeu de tennis fort sympathique. Il ne s'encombre pas de fioritures : deux modes de jeux (1 ou 2 joueurs), quatre niveaux de difficulté en mode solo ... et c'est tout. Les trois premiers niveaux sont très accessibles.
J'ai eu plus de mal au niveau 4 avec de nombreuses tentatives infructueuses en juillet 2019. J'avais fini par laisser le jeu de côté. Reprise quotidienne depuis deux jours, sans succès. Et finalement, le match de la délivrance après avoir fini Ocarina of Time 3D !
Placement et frappe au bon moment sont essentiels comme dans tout jeu de tennis je suppose, mais la maîtrise du bon timing nécessite un peu de pratique. Un très bon jeu de sport pour le Game Boy !

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11 juillet 2020
Un jeu de réflexion dont le principe est magique : déplacer des images pour les faire "communiquer" avec d'autres et abolir les règles de l'espace. Onirique, excellente ambiance sonore, graphismes magnifiques. Il a tout pour lui, excepté la durée de vie puisque'il se termine en à peine deux heures.

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12 juillet 2020
Après Gorogoa, un autre jeu court (1h30 pour moi). C'est un jeu d'aventure où l'on incarne une réparatrice. Le gameplay consistera donc à démonter des objets (magnétophone, console portable, machine à café) pour les réparer. Ces phases sont vraiment intéressantes même si les puzzles sont loin d'offrir un challenge insurmontable. Toutes ces réparations sont liées par une histoire, assez "cul-cul la praline" qui ne m'a pas emballée.

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13 juillet 2020
Jeu souvent qualifié d'album interactif. Le gameplay mélange adresse et shmup. Sympathique à jouer une fois, il devient vite répétitif si on souhaite "scorer" comme l'encourage le jeu (avec les succès notamment mais aussi les bonus à débloquer). Heureusement que l'ambiance sonore est à l'avenant.

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14 juillet 2020
Sixième jeu fini en cinq jours... Et quel jeu. Il repose entièrement sur l'exploration d'un système solaire qui parait assez petit au départ mais recèle en fait quantité de secrets. La boucle temporelle de 22 minutes qui nous permet d'engager cette exploration maintient une pression intéressante. On se retrouve souvent en train de réfléchir à ce qu'il faudra faire à la boucle suivante. Les découvertes ne se font pas de manière linéaire, on peut très bien commencer à explorer une planète puis enchainer avec une autre quand on se sent bloqué sur la première. Petit à petit, le puzzle se met en place. La situation qui parait assez cryptique au départ s'éclaircit, en grande partie grâce au journal qui résume bien les découvertes précédentes.
Il faut un peu de temps pour se faire à la maniabilité du vaisseau mais c'est le premier jeu en vue à la première personne où j'utilise une manette plutôt que la souris !
La fin n'est pas en reste et conclut admirablement cette plongée dans un univers riche. A jouer !

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21 juillet 2020
Jeu offert sur Steam durant le confinement. Joué à quatre en local avec mes enfants.
Action assez brouillonne lors des combats mais énigmes sympathiques à résoudre à plusieurs. Jeu très court (5 heures pour nous) sans réelle difficulté.

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26 juillet 2020
Jeu commencé en mai 2017. Considéré comme terminé aujourd'hui avec la défaite de Ganon. Je n'ai pas tout cherché, il me reste 4 souvenirs à trouver, quelques missions secondaires, des sanctuaires mais la carte est découverte en entier, j'ai voyagé un peu partout. Cela représente 90 heures de jeu réparties sur trois ans. Gros enthousisasme au début puisque l'ambiance de ce Zelda est unique. L'immensité d'Hyrule est impressionnante et on peut déambuler plusieurs heures dans un secteur avec toujours l'envie d'aller voir un endroit aperçu au loin. La mission principale (récupérer le controle des quatre créatures et détruire Ganon) n'est clairement pas ce qui a focalisé mon attention. On découvre des PNJ qui nous donnent des missions mais au contraire des autres open world on ne suit pas un point sur la mini carte, il faut chercher. Sur AC Odyssey, j'ai testé un certain temps la carte sans indication mais la sensation n'est pas la même qu'en Hyrule.
L'ensemble du terrain de jeu de cet épisode de Zelda est cohérent. Mais, parce qu'il en faut bien un, après des dizaines d'heures de jeu je me suis aussi dit que tout cela est un peu vide. Sorti des fées korogu et des sanctuaires il n'y a tout de même pas grand chose à découvrir. C'est plaisant car j'y suis revenu tout au long des trois dernières années mais il y a aussi eu des périodes de "trop plein" où je n'ai pas joué du tout.
Ca reste une expérience marquante et j'ai adoré y revenir par intermittence.