JV joués en 2023

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12h pour cette deuxième run 15 ans après la première. On sent que la formule va prendre son apogée dans le deuxième volet.

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30h

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10h. Une excellente surprise !

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37h

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40h

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6h pour en venir à bout. Faire une itération d'une série de puzzle plateformer 2D mais en 3D avec de la profondeur c'est non. C'est le seul défaut du jeu mais il rend tout injouable : énigmes, combats, plateforme. Un cas d'école.

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15h pas toujours agréable. Faute d'avoir mené à bien les missions secondaires vous n'aurez pas le niveau pour faire face au dernier tiers du jeu, en sus de certains passages très mal branlés : une course-poursuite injouable et un boss triple envoyant des missiles à tête chercheuse dans un jeu en2D. Or la localisation ayant foiré, j'ai raté plein de choses et pas tout compris, ce qui fait que je ne me suis pas assez impliqué dans un jeu qui a de réelles qualités (de gameplay, de narration, etc.). J'y reviendrai peut-être un jour pour mettre fin à l'amertume.

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Fini en 12h. Du Vanillaware-lite en attendant un A-RPG de Vanillaware. Quelques soucis : des combats qui ont tendance à se concentrer à la marge de l'écran et un boss de fin retors qui sort de nulle part après un parfois ridiculement facile.

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J'ai des difficultés à comprendre ce qu'on reproche vraiment au jeu. Pour ma part, autant je prend plaisir au solo ou au multi car la formule est solide. Or il est vrai qu'on a l'impression d'une copie non relue qui manque de finitions ou commet des erreurs basiques. Mais surtout, le jeu ne tente rien de véritablement neuf en comparaison des deux précédents opus, comme si on avait affaire à un simple bégaiement du premier CoH. Ce qui rend celui-ci assez dispensable pour un amateur de STR.

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18h pour en venir à bout. Je n'ai pas détesté mais je ne suis pas convaincu. Tout semble brouillon (niveaux, combats, etc.) et jamais très satisfaisant.

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50h. Un jeu immense. J-RPG au sens le plus classique du terme mais où les différents systèmes (combats en temps réels, loot, exploration, narration, cuisine, échanges, etc.) s'imbriquent de manière organique et efficace. Très bonne histoire avec des personnages attachants pour la grande majorité (bien que stéréotypés mais c'est ce qui fait leur force : on les identifie tout de suite et leur arc n'en fait jamais trop). Visuellement austère mais techniquement très stable malgré un grand nombre de streumons à l'écran. Level-design chouette intégrant quelques mécaniques de metroidvania ; bestiaire assez vaste pour ce genre de budget. Histoire bien rythmée et qui avance (on ne fait pas de surplace) avec régularité. En somme, un jeu immense.

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2h. Bac à sable avec du GTA dedans. Pas mon truc.

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Terminé en 12h. Je préfère ce Tomb Raider unchartedisé à un Uncharted. Le level-design est plus intéressant en raison de l'interconnexion des différents niveaux. Les combats évitent d'être trop long, ce qui rend l'ensemble fluide et rythmé. Seul problème à mon sens : une histoire sans intérêt et un doublage français risible. Parlons du look de Lara Croft, on dirait une adolescente des années 2000 qui ne sait pas se maquiller.

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Terminé en 12h. Mon premier R&C. Une claque visuelle il ne faut pas se le cacher mais une progression pas toujours très optimisée. Certains combats ne me semblent pas toujours très inspirés (l'arène est un enfer). Pour le reste c'est assez sympathique mais je ne pense pas que je me lancerai dans un autre jeu de cette série.

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Une excellente histoire berserkienne mais un gameplay et un level-design complètement aux fraises.

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J'en suis venu à bout en environ 15h. Je ne sais pas si on peut dire que c'est le pire jeu de l'année mais il est clair que tout est raté. Les Tolkiendili savent que l'histoire des captures de Gollum a du potentiel et pour ma part qu'un jeu d’infiltration est pertinent dans ce cas. Or l'exécution est infâme. Les séquences d'infiltration sont nulles ou infectes en raison de mécaniques assez pauvres et d'un level-design éclaté (exemple : se cacher dans des zones d'ombres elle-même dans l'ombre de la lumière diégétique). La plateforme est ratée également et compensée par une grande générosité pour atteindre les plateformes mais cela rend difficile d'estimer les sauts. Le pire étant la salle de Thranduil qui réunit le pire des deux mondes. Histoire appréciable et univers plutôt chouette malgré certains designs d'orques et des elfines armées.

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Venu à bout en 5h. Bon petit cinematic-platformer.

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Dieu que c'est nul. Pas mauvais ; pas injouable ; pas dénué de qualités ; mais nul. Un jeu verbeux truffé de dialogues et de cinématiques ennuyeuses et plates, où tout le monde lèche le fion de notre personnage. Un XIXe siècle aux abonnés absents. Les menus sont effroyables : c'est long et peu ergonomique de naviguer en leur sein. Le jeu dégueule de loot de couleurs pour masquer son vide abyssal. La progression se fait de manière extra-diégétique en faisant des missions peu palpitantes. Le monde ouvert est cadenassé par la narration : vous voulez allez là ? Arrêtez. Des énigmes Korogu de wish essaient de remplir cet openworld dont les développeurs ne savent que faire. Les combats sont chiants en mode normal et injouable en mode difficile en raison d'un ciblage au fraise et d'un manque de feedback des attaques. Bref, un simili RPG en openworld digne d'une usine comme Ubisoft où l'ennui campe ferme. Encore un produit dérivé de la licence Harry Potter.

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60h pour arriver au terme d'une run. DA très "game of thrones" et donc vanilla. Le système de combat est un petit bijou, qui tient davantage du devil may cry que de l'A-RPG plus classique. Techniquement très abouti. Mais tout tire en longueur : les combats, l'intrigue, le contenu secondaire. En sus d'un rythme en dent de scie. J'ai décroché dans le dernier tiers du jeu et ai fini par skipper une partie des dialogues tout en écoutant des podcasts, afin de me concentrer sur les combats. Ce faisant je ne crois pas avoir donné suffisamment au jeu, mais j'insiste sur le fait qu'on s'emmerde d'autant plus que l'histoire, à défaut d'être mauvaise, n'est pas narrée avec brio (une pensée pour les dialogues du dernier acte indigne du pire shonen nekketsu). Bref, beaucoup d'amertume. J'espère avoir le courage d'y revenir dans quelques années.

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Jeu fini en 3h30. Un jeu fort sympathique mais dont les différents chapitres s'empilent de manière artificielle, ils sont autant de contes, mais certains ont peu de rapport avec "l'intrigue" principale. Enfin, le combat contre le boss final est fastidieux pour de mauvaises raisons. Pour le reste, le jeu est excellent.

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Jeu fini en 6h environ. Le principe d'un jeu de plateforme en vue à la première personne est original et le titre a clairement le mérite d'avoir défriché le domaine. Or le level-design n'est pas toujours lisible ce qui fait qu'on galère souvent à trouver quoi faire ou où aller alors que la solution peut être soit simple soit tordue. Certains contrôles ne sont pas très évidents tels que le wall-jump (ou wall-run ?). En conséquence les différentes séquences s'enchaînent de manière laborieuse ce qui a déclenché chez moi beaucoup d'exaspération. Les phases de combats sont des purges, et les mots sont pesés. J'en ressors avec l’impression que l'un de ses successeurs, Dying Light, a repris la formule mot à mot et a su l'exploité avec brio.

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Univers très baroque. Digne successeur de Raft. Les ressorts du système d'assemblage des armes manque de clarté mais dans l'ensemble l'accès anticipé donne grandement satisfaction.

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Sympathique mais comme tout bon univers cyberpunk je ne comprends rien et par ailleurs le gameplay ne se renouvelle pas assez pour être franchement intéressant.

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Grosse déception. Quasiment pas de plateforme dans ce jeu de plateforme, au profit de petites "énigmes" à résoudre pour obtenir une chiée d'étoiles plus ou moins bien planquées. Je ne demandai pas le retour de Lost Levels mais là je trouve le jeu complètement hors-sujet et plat. Jeu de casu / 20.

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Excellente expérience. Avais peur d'un jeu sans gameplay mais finalement enchaînement de séquences solidement maîtrisées alliées à la musique en font un objet fort plaisant.