La sélection Gamerama avant la fin du monde

Annotation :

"Le BGE inconnu de Rare sur N64, au début quand tu entends le pitch tu penses qu'on se fout de ta gueule. Détruire des caillasses et des hangars sur le chemin d'un camion chargé de missiles nucléaires ? Bizarrement manipuler des robots géants et des tractopelles pour tout détruire sur son chemin en écoutant la musique full nawak est assez jouissif, et les missions sont bien assez bien pensées à chaque fois pour que le tout reste intéressant jusqu'à la fin."

Annotation :

"Système de combat addictif, très tactique et challenging. Des vraies villes à visiter. Une OST qui tue. Une bonne DA (ce qui est un exploit en soi pour un JRPG)."

Annotation :

Système de combat addictif, tactique et challenging. Customisation à foisons. Du style, du style et du style => Des fusillades spectaculaires dans un univers original. Son scénario incompréhensible et narré avec les pieds l'empêche d'atteindre le qualificatif de BGE par contre.

Annotation :

"Le jeu s'était fait massacrer parce qu'il était jugé très difficile (Le monde était ouvert dès le début et il n'y avait pas de journal de quêtes où autre, il fallait vraiment être attentif aux dialogues et autres indices pour savoir où aller.) Le jeu était sympa et très proche des rpgs pc de l'époque finalement."

Annotation :

"Presque 10 ans plus tard, c'est toujours le meilleur jeu de Suda Goichi. Il y a tout dedans: un univers graphique cohérent et inédit. Un gameplay original et défoulant. Des clins d'oeil par milliers à la pop culture, à la politique dans un scénario épais, riche. De la violence, des dialogues d'une classe indécentes et les plus mémorables boss fight de toute la ludo Gamecube."

Annotation :

"Meilleur coop ever ; Ce bestiaire hallucinant, cette ambiance sous LSD, tomber dans le vide pour se retrouver 10 niveaux en dessous :love:"

Annotation :

"Mario Kart dans les cordes."

Annotation :

"Même meilleur que Rockstar Games."

Annotation :

"Une jouabilité très spéciale, mais un jeu qui tentait autre chose que les Mario. Bien trop court hélas..."

Annotation :

"Du fun en barre et une variété dans les combats qui surpassait Smash Bros à mes yeux."

Annotation :

"J'ai joué à ce jeu seulement en solo, et je n'ai pas réussi à le lâcher."

Annotation :

"shoot de Squaresoft, vraiment excellent."

Annotation :

" il a un truc rafraichissant, quelque chose qui fait ces jeux classiques qui sans avoir l'emballage blockbuster en ont au moins le contenu qui devrait être attendu."

Annotation :

"Rock Band 3 le meilleur jeu de rythme jamais. La playlist de base est bonne mais alors quand tu donnes ton boule a Harmonix, ces chansons bénies des dieux (les DLC jimi Hendrix, Iron Maiden, Queen, Bob l'Eponge etc...). Et ce gameplay tellement parfait que j'en chiale."

Annotation :

"Le foot en salle, cette merveille :bave:"

Annotation :

" On avait une vraie palette de coup et les "zoom/dézoom dynamiques" quand on montait au filet ou revenait au fond de court rendait les points haletants. J'ai encore des souvenirs de matchs au couteau se jouant sur deux ou trois points et me faisant exulter (ou rager ) devant mon moniteur."

Annotation :

" masochisme aidant, un truc s'est passé avec ce jeu, je suis devenu accroc. Au delà du simple plaisir de tenter de survivre face à l'agression constante du joueur par le jeu, de la satisfaction d'avoir réussi à grappiller parties après parties quelques secondes de plus de temps de vie, c'est la course au score qui m'a fait sombrer. "

Annotation :

"Bref une Faim De Loup c'est de l'infiltration des prairies, un puzzle game de vicieux au pays des Looney Tunes."

Annotation :

Sélection RuLL_34

Annotation :

Sélection RuLL_34

Annotation :

Sélection RuLL_34

Annotation :

"Je pourrais écrire un pavé entier pour décrire pourquoi ça refait le fondement de tout ce qui a suivi dans le même genre dans le futur. Les sensations des gunfights où on avait vraiment l'impression de cracher du feu sur l'ennemi, l'ambiance sonore complètement folle, une campagne longue et variée, un mode CTF qui était franchement fou... "

Annotation :

"On dirige une petite escouade de soldats avec des commandes somme toute franchement simple : toute la petite troupe tire et avance en même temps, avec des munitions infinis. Le jeu est largement orienté vers l'absurde, avec des bonhommes de 5 pixels qui font des bonds de 20 mètres quand ils se prennent une balle dans le derrière. "

Annotation :

"Je rentrais chez moi sans trop y croire en pensant que ce serait une semi-daube à licence alors que c'était en fait l'un des meilleurs shmup auquel j'ai joué. Car oui, c'est un jeu Macross mais cette fois-ci c'est un vrai shoot sans esbroufe."

Annotation :

"La vraie force du jeu, c'est qu'il a un univers incroyable. Le scénario est vraiment bon, très simple, légèrement clichouille sur les éléments principaux (la brume, j'ai déjà vu ça qqpart ?), mais avec des personnages marquants et du drama (qui marche !) omniprésent, la dépression te guette à chaque village tellement la terre entière n'étant que mort de femmes et destruction d'orphelinats."

Annotation :

" Les possibilités offertes dans le second épisode sont énormes et on est en présence d'un RPG qui ne te prend pas par la main. Si tu connais le jeu, tu peux le finir en moins de 15 minutes sans avoir à combattre une fois. Sinon, tu peux passer des dizaines d'heures dans d'autres endroits à faire d'autres quêtes qui auront chacune leurs conséquences.

Annotation :

"L'originalité c'est que c'est un RPG yaponé qui se déroule à la veille de la Première Grande Guerre, avec une moitié notamment en Asie, puis une autre en Europe. On peut se balader dans un Rouen fantomatique et dépressif avec cette douce musique, mais aussi Londres, Prague etc. le tout teinté de surréalisme."

Annotation :

"Se retrouver à 32 par équipe pour remplir des missions (attaque/défense) était quelque chose d'inédit pour moi. On peut penser que de se retrouver avec de inconnus était le meilleur moyen pour se convaincre que le joueur lambda est débile mais non, chaque classe jouait son rôle sans tomber dans la course au frag dans une cohérence que je n'ai plus retrouvé depuis."