Le cinéma bis made in Cinecitta : policier et film de guerre

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considéré comme un petit Mario Bava, c'est un petit film policier qui est toutefois une étape importante dans le ciné italien car il pose les éléments thématiques et esthétiques de ce qui deviendra le giallo, genre spécifiquement italien. Les acteurs comme John Saxon et Valentina Cortese sont très bons, et le titre est même un clin d'oeil à Hitchcock

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second film du James Bond français crée par le romancier Paul Kenny, c'est de l'espionnage léger et distrayant, avec pas mal d'acteurs français, dont le cascadeur Gil Delamare. Riccardo Freda a réalisé l'année suivante "Coplan ouvre le feu à Mexico"

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réalisé sous le pseudo de Terence Hathaway, Sergio Grieco offre un faux James Bond très plaisant, presque un clone même (puisqu'il se nomme 077), mais lorgne plus vers les pulps d'espionnage du style des romans de Paul Kenny... on y trouve la belle Margaret Lee, grande habituée de ce type de films

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une sorte de James Bond du pauvre très sympa, réalisé avec soin par Giorgio Ferroni, avec Ray Danton (qui connut une gloire éphémère à Hollywood), l'imposant Jess Hahn et la splendide Marisa Mell

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avec Claudio Brook, encore Margaret Lee, puis Jean Servais, Bernard Blier, Jean Topart et Klaus Kinski dans un rôle de tueur allumé, c'est le dernier et le meilleur de la série des Coplan... Yves Boisset se faisait la main en remplaçant Riccardo Freda dont il était l'assistant

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encore une production italo-française joliment réalisée par Antonio Isasi... c'est un polar d'espionnage avec les Allemands Horst Buchholz, Mario Adorf et Klaus Kinski face aux mignonnes Sylva Koscina et Perrette Pradier

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pas de vedettes importantes dans ce film mouvementé qui est un croisement entre une imitation de James Bond et de fumetti (BD italiennes), avec une sorte de super-héros européen... déjà rien que le titre fait sourire

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cette co-production italo-franco-espagnole a pour vedette Rossana Podesta, l'égérie des péplums qui voit sa carrière relancée grâce à ce petit film de hold-up impossible, réalisé avec soin et qui dérive parfois en comédie policière au ton léger

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une co-production italo-espagnole correcte sur un film de hold-up audacieux autour d'un beau casting : Edgar G. Robinson, Janet Leigh, Klaus Kinski et Adolfo Celi

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les Anglais ont 007, les Français ont 0SS117 qui faisait fureur à l'époque, d'après les romans de Jean Bruce. Comme Bond, 0SS a eu plusieurs interprètes (Kervin Matthews, Frederick Stafford), ici c'est John Gavin (vu dans "Psychose" ou "Spartacus") qui est très bon, entouré de Robert Hossein, Curd Jurgens, Luciana Paluzzi (vue dans "Opération Tonnerre"), Pierro Lulli et l'inévitable Margaret Lee... la part française est plus importante dans ce film qui est très supérieur aux Coplan, c'est aussi le plus plaisant de la série

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Sans aucun doute un des meilleurs films du genre, c'est une adaptation d'un fumetti très célèbre en Italie sur un personnage masqué qui commet des vols audacieux et nargue la police, sorte de Fantomas moderne... la BD était beaucoup plus violente, sadique et profondément immorale (Diabolik gagnant toujours), mais au ciné, ça devait rentrer dans un moule tout public, donc édulcoré, mais avec un érotisme latent grâce à la très séduisante Marisa Mell, tandis que le héros ou plutôt l'anti-héros est incarné par le sémillant John-Philip Law (qu'on verra ensuite dans "Barbarella"), poursuivi par le flic Michel Piccoli

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probablement le plus incroyable des films inspirés de James Bond, à défaut d'être le meilleur, puisqu'il s'agit de décrire les aventures du petit frère de Bond, en poussant l'audace d'être interprété par le propre frère cadet de Sean Connery, et en multipliant les allusions et clins d'oeil, avec les acteurs réguliers de la franchise (Bernard Lee, Loïs Maxwell) ou ceux ayant joué dans un opus (Adolfo Celi dans "Opération Tonnerre", Daniela Bianchi dans "Bons baisers de Russie"), tout en se gardant bien de prononcer le nom de Bond pour éviter les procès... bref une vraie curiosité

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co-produit avec la France et l'Allemagne, c'est un des meilleurs films de la grande époque du giallo, genre crée par Mario Bava qui mêle ici thriller et épouvante... il brille par son jeu des couleurs et des lumières, et son esthétique formelle à la violence graphique... avec Cameron Mitchell (échappé des films de vikings) et la magnifique Eva Bartok

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co-production italo-franco-espagnole, avec Jean Sorel, Elsa Martinelli, Marisa Mell, John Ireland (une des plus "sales gueules" d'Hollywood) et Riccardo Cucciola, c'est un excellent thriller érotique avec de belles séquences dont un strip tease dans une boite de nuit assez mémorable... c'est le meilleur film de Fulci avant son cycle de films d'horreur

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co-production italo-franco-allemande, avec J.L. Trintignant (qui venait de faire "le Grand Silence"), Carroll Baker, Erika Blanc et Horst Frank, c'est un giallo semi-érotique au joli casting et au scénario tortueux

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un casse spectaculaire avec Gary Lockwood, Lee J. Cobb, la belle Elke Sommer, Georges Géret, Roger Hanin, et Jack Palance un peu en roue libre

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1er giallo de Dario Argento où il mêle angoisse et terreur, avec Enrico Maria Salerno, Tony Musante et Suzy Kendall... même si c'est pas sa meilleure réalisation, c'est un film qui pose les bases du style Argento

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second giallo de Dario, avec James Franciscus, Karl Malden et Catherine Spaak... encore avec les mêmes ingrédients

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ce 3ème giallo de Dario avec J.P. Marielle, Mimsy Farmer et Bud Spencer, cloture sa trilogie animale, il est un peu plus fantastique... Dario va ensuite vraiment aborder l'horreur pure

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un bon polar de mafia en Sicile avec Claudia Cardinale, Franco Nero, Lee J. Cobb, Serge Reggiani et Nehemiah Persoff, efficacement réalisé par un bon artisan du bis italien

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après "Il était une fois dans l'Ouest", Charles Bronson fut très demandé en Italie, et ce poliziesko violent lui permit d'incarner un tueur à gages taciturne qui fait le ménage parmi une bande de truands, il est entouré de sa femme Jill Ireland, Michel Constantin (dont la vilaine bobine a illuminé les polars français), Telly Savalas et Umberto Orsini sous la direction d'un bon artisan, plus habitué au western... c'est un polar saignant typique de l'époque en Italie

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un poliziesko dur avec Alain Delon qui affronte des mafieux ayant tué sa famille, une classique histoire de vengeance bien saignante et bien réalisée par Duccio Tessari à qui Delon fera confiance ensuite pour "Zorro". Le reste du casting est de qualité : Richard Conte (vu dans "le Parrain"), Carla Gravina, Umberto Orsini, Marc Porel, Roger Hanin...

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encore Bronson associé à Lino Ventura dans une grosse production franco-italienne sur la mafia réalisée par Terence Young, avec aussi Jill Ireland, Joseph Wiseman (qui fut le Dr No), Gerald O'Loughlin, Walter Chiari et Amedeo Nazzari

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un titre racoleur et un film qui hésite entre le polar, le fantastique et le film érotique, avec quelques séquences sado-maso, bref un film baroque avec un petit côté Edgar Poe qui mélange les genres et les codes... avec la belle Erika Blanc

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un film plutôt français mais co-produit avec l'Italie et tourné à Rome, avec Bruno Cremer, Mario Adorf, Raffaella Carra (avant qu'elle ne devienne présentatrice à la Rai Uno) et Jean Martin... c'est le second film de Boisset qui réussit là un bon suspense mais qui n'a hélas pas obtenu le succès qu'il méritait

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le moins bon des 3 films sur le Tigre avec Roger Hanin, les 2 premiers étaient plus des productions françaises assez soignées et pleines de fantaisie, celui-ci est une co-prod franco-italienne sans trop d'imagination

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un giallo italo-français qui se situe dans la lignée des films de Dario Argento, sans atteindre le niveau de ce dernier, mais le film est un des meilleurs dans le genre, avec fausses pistes, morts violentes, meurtres sadiques, tueur énigmatique, ton inquiétant...et un casting féminin superbe où l'on trouve Claudine Auger, Barbara Bach, Barbara Bouchet, Stefania Sandrelli et Annabella Incontrera, tandis que le flic est incarné par Giancarlo Gianini (qu'on verra bien plus tard dans "Casino Royale" avec Craig)

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un poliziesko atypique qui est plus un drame familial et politique dressant le portrait d'un jeune mafioso violent qui menace une jeune fille incarnée par la toute jeune Ornella Muti (elle n'avait que 15 ans, c'est son 1er film) au sein d'un casting d'acteurs inconnus

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une histoire de vengeance bien saignante, bien réalisée par Antonio Isasi pour cette co-production italo-française, avec Karl Malden, Raf Vallone, Olivia Hussey, Claudine Auger, et Chris Mitchum (fils de Robert)

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un poliziesko plutôt bien construit avec tueries sanglantes, mais qui vaut surtout par son casting étonnant constitué de Lee Van Cleef, Jean Rochefort (mais oui), Edwige Fenech (qui n'oublie pas de se dénuder un peu), Fausto Tozzi et Tony Lo Bianco (qui comme son nom ne l'indique pas est Américain)