Le cinéma bis made in Cinecitta : sexe et comédie

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les 2 précédents films de Don Camillo étaient réalisés par Julien Duvivier et contenaient quelques acteurs français, mais à partir de ce 3ème opus, Fernandel est le seul Français parmi un casting d'acteurs Italiens, dont l'impayable Gino Cervi. Il contient son lot de scènes humoristiques entre les 2 rivaux que sont le curé réactionnaire et le maire communiste d'un petit village italien. Ces comédies bon enfant ont régalé des générations avec toujours autant de bonheur sur la célèbre musique d'Alessandro Cigognini

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Sophia Loren et Robert Hossein dans une version de la célèbre pièce de Victorien Sardou, réalisée par Christian-Jaque pendant sa période italienne... elle fut jugée assez médiocre malgré son duo de vedettes, pourtant elle est assez correcte

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un classique du film du genre WIP (Women in Prison) qui pose les bases de ce genre distillant un climat érotique brutal et sadique, avec des filles superbes... une co-production italo-anglo-hispano-allemande avec Maria Schell , Luciana Paluzzi, et Herbert Lom en directeur sadique, le réalisateur espagnol Jesus Franco y impose son style, et beaucoup d'autres films s'inspireront de ce thème... le film a connu divers titres : "99 Femmes" ou "les Brûlantes"

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une allègre comédie sous forme de sketches destinée à mettre en valeur la gourmandise et la perfidie féminine envers les hommes, vues par 4 réalisateurs... c'est sexy mais pas vraiment érotique, parfois juste un peu coquin

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ce film au parfum de scandale surtout dans le contexte féministe de l'époque en France, connut un immense succès en dépit de son sujet résolu à décrire la relation sexuelle sado-masochiste entre Marlon Brando et Maria Schneider, à l'aide de scènes assez crues (comme la fameuse scène du beurre), qui plus est le film a surpris à cause de l'implication d'une star comme Brando dans un tel projet

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Klaus Kinski et Margaret Lee (vue dans de nombreux péplums) sont à nouveau réunis pour la dernière fois dans ce giallo très fortement érotisé avec des meurtres sanglants mais surtout un érotisme très poussé avec nombreuses nudités et scènes entre femmes, parfois à la limite du hard

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une comédie érotique un peu étrange destinée à mettre en valeur le corps aguichant de Laura Antonelli

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sorte de film à sketches destiné à valoriser la belle Barbara Bouchet dans un univers oriental soigné... il y a 3 histoires inégales en qualité, c'est sensuel et charnel, juste ce qu'il faut, pas très subtil mais assez plaisant

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ces contes grivois sont un classique film à sketches qui a fait la réputation de Pasolini et qu'il clôturera avec "le Décameron"... ce qui engendrera plusieurs films s'inspirant de cette ambiance leste et charnelle, et certains pousseront plus loin avec des contenus très explicites

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cette comédie de moeurs érotique culte a propulsé Laura Antonelli au panthéon des stars sexy en Italie, elle incarne la femme désirable qui excite les mâles inconsciemment, mais le film est assez subtil car il n'use pas de grosses ficelles et de nudité à répétition, tout est dans le fantasme qui fait monter le désir

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cette comédie d'apparence boulevardière est en fait une sorte de fausse suite de "Malicia", elle reprend les 2 mêmes interpètes Laura Antonelli et Alessandro Momo, mais le film se fait plus direct avec des scènes plus explicites, et même si ça reste soft et soigné, ce qui était suggéré dans "Malicia" ne l'est plus ici

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un des meilleurs films du tandem Hill / Spencer situé dans un contexte contemporain...le scénario est tartignole mais l'ambiance décontractée avec des bagarres bien réglées et spectaculaires emportent le tout

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le tandem à leur apogée ! tourné à Los Angeles et en anglais pour essayer de conquérir le marché américain, ce film est aussi un des meilleurs du duo avec toujours la même recette : Hill & Spencer se rencontrent, sympathisent et s'allient contre le méchant local, protégeant la veuve et l'orphelin, et à la fin les 2 compères s'en vont heureux d'avoir accompli une bonne action

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un film à l'ambiance baroque étrange, c'est la transposition du conte de Perrault dans l'Allemagne de l'Entre-Deux-Guerres avec la montée du nazisme, co-production italo-franco-allemande qui vaut surtout pour l'interprétation de Richard Burton impérial en séducteur perturbé à la barbe aux reflets bleus, il est entouré d'un casting féminin exceptionnel : Raquel Welch, Nathalie Delon, Virna Lisi, Marilu Tolo, Karin Schubert, Agostina Belli et Sybil Danning... l'érotisme est donc latent, non seulement par un peu de nu léger, mais aussi par le côté glamour des tenues des actrices, le jeu de la séduction... mais le film soutenu par une excellente musique de Morricone, est un véritable mélange de genres... on trouve en complément de casting, Jean Lefebvre en curé, Edward Meeks et Matthieu Carrière

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on trouve ici John Steiner (acteur fétiche de Tinto Brass) et Helmut Berger en officier nazi dur et impitoyable...c'est le modèle du nazi-porn avec femmes nues, boxons raffinés, fantasmes tordus, fouets et uniformes SS, c'est de l'esthétisme plutôt soft avec seulement quelques scènes hard, le genre avait été effleuré dans un style plus rude dans "Portier de nuit"

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cette co-production franco-italienne réunit Tony Curtis en Casanova, Andrea Ferreol, Marisa Berenson, Sylva Koscina et Jean Lefebvre en vieux poivrot... le personnage qui ne pouvait qu'attirer les producteurs de films érotiques est vu sous un angle de comédie à la fantaisie coquine, avec décors et costumes magnifiques

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un aspect TV-film mais avec une photo soignée, ce film propose un érotisme soft avec quelques gros plans explicites sur des toisons pubiennes, preuve d'une certaine audace, c'est mal joué, certaines scènes sont parfois ridicules, mais ça fait son effet

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1er film d'une longue saga érotique avec la sublime Laura Gemser, surnommée "l'Emanuelle noire" mais avec un seul M afin d'éviter les problèmes juridiques...elle est rejointe ici par Karin Schubert pas avare elle aussi de scènes dénudées, le film n'a pas de scénario, c'est un enchainement de séquences touristico-érotiques parfois torrides

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même genre, mêmes recettes même si D'Amato donne un peu plus de style à la photo et à des scènes parfois plus imaginatives, mais ce gars a parfois des fantasmes bizarres

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ce film de la série des "Black Emanuelle" est un peu plus relevé, plus esthétique, mieux réussi, même si les tribulations érotiques de Laura Gemser sont à peu près les mêmes

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film à sketches (formule courante du ciné italien) qui brosse une série de tableaux sur la perfidie féminine et la phallocratie des hommes... c'est à la limite de l'érotique soft pour permettre aux 4 vedettes féminines Laura Antonelli, Ursula Andress, Sylvia Kristel et Monica Vitti d'apparaitre dans des tenues légères ou un peu nues

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une comédie d'humoir noir réunissant un bel échantillonnage de monstres sacrés : Michel Simon, Pierre Brasseur, Charles Vanel, Claude Dauphin et Alberto Sordi

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cet énorme succès franco-italien d'après la célèbre pièce de Jean Poiret, permit à Michel Serrault un grand numéro d'acteur, entouré de l'excellent Ugo Tognazzi et d'un Michel Galabru hilarant comme toujours...la part française est un peu plus réduite, les décors, le directeur de la photo sont italiens, sans oublier la musique qui est de Morricone

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Edwige Fenech personnifie le stéréotype de la femme plantureuse méditerranéenne dans cette comédie sexy composée de gags primaires, de quiproquos débiles et de nudité facile

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avec "la Flic" et "la Prof", Edwige Fenech aura abordé les 3 séries de films populaires italiens, c'est de la farce à l'humour gras mais on peut parfois sourire devant certaines situations tellement c'est second degré

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même genre de comédie balourde que la précédente, Edwige Fenech les a enchainées à une époque

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avec "la Prof", "la Toubib" et accessoirement "la Flic", "la Lycéenne" est un des personnages récurrents de l'univers de la sexy comédie à l'italienne, c'est le 1er du genre dirigé par celui qui en devient le spécialiste... c'est de l'érotisme soft gentiment pervers et suggestif mais les parties comiques sont moins lourdes que dans les films avec Edwige Fenech

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Laura Gemser encore dans toute sa beauté métissée, dans un classique film de couvent et de petites femmes nues entre elles

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cette fois, c'est Agostina Belli qui est la vedette de cette comédie destinée à dédramatiser le sexe dans un pays qui a toujours cherché le contraire

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largement inspiré du "Emmanuelle" français de Just Jaekin, on retrouve Laura Gemser et Gabriele Tinti dans un polar aux scènes érotiques de belle tenue, c'est une réussite de D'Amato qui soigne la photo... c'est le dernier film tourné en Italie par Jack Palance avant son retour dans des productions américaines