Le mec il se dit qu'il va noter tous les animes qu'il mate depuis 2020, parce qu'on sait jamais

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assez sous-estimé, sans doute parce que beaucoup d'attentes face à un anime perçu comme étant dans la lignée de Cowboy Bebop et Samurai Champloo. L'antologie permet pourtant un gros défilé d'artistes.

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je trouve les critiques très dures pour un anime qui caresse assez bien la surface de ce qu'était FLCL.

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Seul le format est un peu bancal, ou plutôt sa distribution. Je comprends pas vraiment pourquoi ils ont opté pour une formule Netflix en mettant à disposition tous les épisodes en même temps. Une semaine d'intervalle aurait été la bienvenue au vu du schéma répétitif. Mais sinon rien à dire, dans le fond, la forme et les références.

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Tout ce qu'on peut dire,c'est que c'est rassurant de voir autant de soin apporté à un shonen neketsu. J'ai eu un peu de mal avec le rythme pour autant. Et avec le vide intersidéral qui compose les personnages. (màj trois ans plus tard) Avec le fait que ça fasse 4 fois que je mate la même saison, avec des noms et des charadesign différends, aussi.

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je me suis fait les trois films de 81 résumant la première série, surtout dans l'idée de voir ça par la suite. C'est vrai que ça valait le coup, mais je pense que j'aurais dû mater d'autres séries de la franchise avant cette préquelle

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C'est tout ce dont j'avais besoin. Un petit slice of life pas trop mal ficelé. Malgré les petit délires loli, ça fait le café.

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En vrai moi tu me mets des guitares et des batteries... Et the Pillows sur un ou deux épisodes ! Mais bon l'animation reste la plupart du temps éclatée. Statique. Clairement rattrapée par la musique.

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Le genre de trucs que j'ai commencé avec des potes pour lancer quelque chose. Les neketsu ça m'a vraiment saoulé, mais avec lui, sans savoir pourquoi, je me laisse prendre au jeu. Pourtant tout y est, de la malédiction au tournoi. (màj 3 ans plus tard) wollah ils m'ont eu comme jamais. Merci Mappa, encore une fois.

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Alors ouais Mappa, ça fait du bon taf. Je connais pas le manga original, mais rien que l'initiative de l'adapter de nos jours est déjà louable. C'est poétique, la musique est immersive, mais on a quand même des méga monstres un peu Yu Gi Oh qui m'ont sorti du truc. Avec ce genre de contexte, je m'attendais à quelque chose de plus atmosphérique, sachant que les scènes d'action ne sont pas forcément exceptionnelles.

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Ouais c'est statique ouais. Puis c'est un peu con que le perso le moins bien animé soit le mc... La musique par contre, proposée par un Kenji Kawai qui s'en bat un peu les couilles du projets, mais Kenji Kawai quand même, réhausse les saveurs. Ca se mate avec des yeux d'enfant.

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L'atmosphère : check. Le charadesign : check. La musique : check. Le concept : assez bâteau mais allez, check. Le problème donc ? Un manque de parti pris mon gars. Le concept des jeux est pas assez poussé pour être la plus value de l'anime. L'univers et son histoire rattrapent presque ce manque, mais en 12 épisode, trop de temps est passé sur les jeux pour assez bien développer le reste. Frustration : Check

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Ah bah oui ! C'est quand même beaucoup mieux que son prédécesseur ! Pourquoi seulement 7 alors ? Ca reste putain de décousu dans la narration. Je suis pas un adepte de la licence originale, mais on dirait que l'anime cherche à étendre l'univers, donner des clés de compréhension sur l'origine de ce bordel. Que nenni mon pote, on te rajoute des zombies dans des flash backs sortis de nulle part. Mais j'abuse, c'est quand même très cool. Ah ouais par contre, pour la zic, Kenji Kawai s'est fait la malle.

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Alors j'étais bien dedans au début, l'univers était sympa, la musique aussi. Puis ils ont mis des dragons.

Ca part sur un anime plein de charme et de caractère. Mais ça tombe assez vite dans les clichés répétitifs.

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A la hauteur des parties précédentes en terme de style et de scénario. Une adaptation qui laisse à désirer cependant, sur l'aspect graphique. Evidemment c'est largement rattrapé par la qualité d'écriture, comme d'hab.

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Ca doit être la 4ème série Lupin III que je regarde. Un peu déçu. Hypé comme jamais au début, bouleversé par certains épisodes isolés, mais pas vraiment convaincu par la globalité. J'ai le sentiment qu'ils essayent de développer un background qui ne fonctionne pas tant que ça.

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Il faut reconnaître que ça mérite son succès. Ousama Ranking, c'est un muffin au chocolat avec une bombe à l'intérieur. C'est tellement alléchant que j'en ai peur pour la suite : peur que ça suive le syndrome de ces animes/manga prometteurs qui se casseront inévitablement la gueule comme nanatsu no taizai.

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je pensais me faire gundam pour "the origin" mais rien ne ravira jamais autant mes papilles q'une production de bonne facture des années 90 <3

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A chaque série gundam que je mate j'ai l'impression qu'elle est mieux que la précédente. Celle là va être difficile à détrôner.

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Bon peut être pas. Mais quel bonbon encore une fois. Et dire qu'avant de m'y mettre je m'attendais à ce que gundam manque de maturité...

Encore un excellent exemple de l'intelligence anti-manichéenne avec laquelle Gundam nous parle de la guerre.

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Je crois que c'était bien mais j'en ai aucun putain de souvenir

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Un bon Petit del ! Manque un peu de panache par moments quand même. Je m'attendais à un digne héritier de Gintama (pourquoi faire ?), on en est loin.

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Bah pareil hein

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Ah là ? Ah non pareil

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ALors ça c'est une bonne grosse blague ! Mais pas celle qui fait rire, plutôt celle qui met mal à l'aise et dont la simple existence t'emmerde un peu. Je vois pas l'intérêt d'adapter un truc en anime si c'est pour en faire un Powerpoint qui rend même pas hommage aux traits du manga.

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Ah bah j'avais de me poiler. Me poiler j'ai dit, rire. Rien d'autre. Et en vrai ça a marché, des bonnes grosses barres wollah. Par contre, et dieu miséricordieux sait que je suis sensible au ecchi et me pardonne, j'ai été un peu rebuté par la sueur et les gros nénés.

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Ah bah yes ! Je vais pouvoir ajouter un truc à ma liste de "va sucer des carottes avec ton MHA, moi je connais les vrais animes, les bien deep, ceux qui te retournent le crâne et qui se matent que de nuit dans une chambre obscure". Blague à part, sans regret, iconique en un visionnage.