Les chansons de Daniel Balavoine

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Cette chanson, c'est Daniel Balavoine, elle est au répertoire de Daniel Balavoine ce que Je m'voyais déjà est au répertoire de Charles Aznavour ou ce que Star est au répertoire de Serge Lama.

J'aime particulièrement la réorchestration typée rock (là où l'originale avait une orchestration typée disco) et surtout, j'aime le travail qu'il a fait sur le rythme du dernier couplet qui donne une force monstrueuse aux paroles qu'il chante (l'enregistrement vidéo réalisé à Dijon en 1984 montre mieux encore comment cette chanson a été réinterprétée musicalement, vocalement et scéniquement grâce aux effets de lumière).

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De superbes paroles signées Luc Plamandon, une superbe musique signée Michel Berger et une interprétation magistrale. Toute la maîtrise technique de Daniel Balavoine est contenue dans cette chanson.

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Un hymne à l'amour du synthétiseur... Et aussi une chanson excessivement difficile. Un texte poignant. Bref, une belle chanson.

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L'une des chansons plus émouvantes de la discographie de Daniel Balavoine. L'une de mes préférée malgré son thème.

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Difficile de rester de marbre en entendant cette chanson, je l'ai découverte en 2001 et elle est restée dans ma mémoire depuis.

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J'aime l'aspect Opérette de cette chanson. L'album éponyme est méconnu, il a été un fiasco mais il mérite largement que l'on s'y intéresse.

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Ce n'est pas une chanson, c'est un cri... C'est un véritable morceau de bravoure à interpréter. De toutes les reprises qui en ont été faites, seule celle de Nolwenn Leroy soutient la comparaison avec Daniel Balavoine.

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Certains sont photographes-reporters, pour cette chanson, Daniel Balavoine était chanteur-reporter...

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Un superbe duo avec France Gall

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Si Revolución n'avait pas été assez claire, Viens Danser lève toute ambiguïté sur ses positions vis-à-vis de l'armée...

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Je crois qu'il n'y a que Daniel Balavoine pour vouloir faire l'amour au milieu des morts en comptant les corps...

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Une chanson-bilan, belle et difficile, une fois encore.

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Quand on arrive en ville est la 2ème chanson de l'album studio Starmania et autant dire qu'on mesure tout de suite l'étendu vocale du garçon...

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44 secondes de maîtrise vocale... Trop court quand on l'écoute, trop long quand on la chante...

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J'aime cette chanson, j'aime son clip.

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Superbe remix d'une superbe chanson.

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Elle a plein de défauts, elle est répétitive, entêtante mais elle m'a accompagné à de nombreuses reprises...

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Daniel Balavoine est un pacifiste et cette chanson est un hymne pacifiste.

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Belle, triste...

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Dans ce titre, Daniel Balavoine nous présente l'univers musical de l'album Vendeurs de larmes. C'est trop rare pour ne pas être intéressant.

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C'est plus qu'une instrumentale, c'est une expérimentation et une explication sur ce qui a conduit à la composition de Dieu que c'est beau. C'est tellement rare qu'il faut que ce soit davantage connu.

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Superbe instrumental qui expose les différentes couleurs de l'album qu'il illustre.

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Une chanson au rythme varié... Une magnifique composition de Michel berger

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Une superbe reprise d'une superbe chanson d'Edith Piaf malheureusement méconnue.

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Un autre cri...

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Cette chanson ressemble à quelque chose de très gai et joyeux mais cette musique guillerette contraste magnifiquement avec un texte d'une rare férocité à l'encontre des idéologues, elle est, en ce sens, un complément à "La vie ne m'apprend rien".

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Quand Daniel Balavoine évoque sa paternité... Un texte intéressant sur sa perception de la maternité.

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La chanson, en elle-même, est émouvante mais il se dégage quelque chose de ce duo. Pour moi, c'est la plus belle reprise de ce titre de Michel Berger.

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Sans Lady Marlène, pas de Starmania... Ce n'est pas sa chanson la plus belle, ce n'est pas la plus réussie de cet album mais elle vaut largement le détour.

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Voilà un regard désabusé sur la société. Philosophiquement intéressant...