Les Lectures de Goethe

Annotation :

L'Évangile et l'Ancien testament sont évoqués page 34.
Le Pentateuque ("les cinq livres de Moïse") sont évoqués p. 105.
Les Saintes Écritures sont évoquées, dans les versions de Luther (pp. 317 et 326) et de Schmidt (p. 326)
« Pour le sens général, je m'en tenais à la version de Luther ; dans le détail, je recourais volontiers à la traduction littérale de Schmidt (...). » (p. 326)

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Le Nouveau testament est évoqué page 28.

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« (...) il n'aquit en moi le projet de donner, en me servant de la vie de Mahomet – que je n'avais jamais pu considérer comme un imposteur – une forme dramatique à ces destins que j'avais si curieusement observés dans la réalité, et qui, au lieu d'aboutir à leur salut, conduisent les hommes à leur perte. Peu de temps avant, j'avais lu et étudié, avec beaucoup d'intérêt, la vie du prophète oriental, et quand cette idée me vint, j'étais donc assez préparé. » (p. 403)

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Page 29
Ainsi que [le roman de] 'Fortunatus'.

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P. 108

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Jacques AMYOT (1513-1593)
p. 308

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La 'Belle Mélusine' est évoquée page 29.

Annotation :

« Ni la subtilité d'Aristote, ni l'abondance de Platon ne fructifièrent en moi le moins du monde » (p. 146).
« Ce que les Anciens ont dit (...) je l'avais, depuis plusieurs années, sinon étudié d'une manière suivie, du moins lu soigneusement à bâtons rompus. » (p. 346)
+ Cicéron
+ Quintilien

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Pierre BAYLE (1647-1706)
Né à Le Carla (Ariège), mort Rotterdam. Son analyse des superstitions populaires (Pensées sur la comète, 1694) et son Dictionnaire historique et critique (1696-97) annoncent l'esprit philosophique du XVIIIe siècle. (Robert)

Le Dictionnaire de Bayle est évoqué page 428

Annotation :

[En lieu et place de la « biographie », sic pour autobiographie (1731), de Götz de Berlichingen]
BERLICHINGEN (von) Götz (1480-1562)
P. 265

Annotation :

Page 97
[En lieu et place de] 'Histoire des papes (de la fondation du siège de Rome à nos jours)' d'Archibald BOWER (1686-1766)

Annotation :

Cellarius est évoqué (avec Pasor) page 28.

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COMENIUS Amos [Jan Amos KOMENSKÝ] (1592-1670)

Amos Comenius ('Orbis pidus') est évoqué page 29, puis page 394 (à propos des travaux de Basedow).

Annotation :

Cornelius Nepos est évoqué page 28.

Annotation :

Page 29

Annotation :

DESTOUCHES [Philippe NÉRICAULT] (1680-1754)

« Les peintures de mœurs de Destouches, auxquelles, jeune garçon, j'avais pris plaisir si souvent, on les disait faibles ; le nom de cet honorable auteur était oublié. » (Page 312)

Annotation :

DIDEROT Denis (1713-1784)

« Diderot s'apparentait assez étroitement à nous [jeunes allemands], car, en tout ce que les Français blâment chez lui, c'est un véritable allemand. » (Page 313)

Philippe Junod, Diderot et Goethe : un dialogue paradoxal :
https://journals.openedition.org/rgi/773

Françoise Barthélémy-Toraille, « Le Neveu de Rameau : Goethe traducteur de Diderot » :
https://www.fabula.org/colloques/document2003.php

Annotation :

(Page 363)

Annotation :

Page 146 sont évoqués les stoïciens et particulièrement Epictète.

Annotation :

(Trad. Neukirch) pages 29 - 57

Annotation :

GOLDSMITH Oliver (1728-1774)
Pages 273-4

+ The Deserted Village (1770) (pp. 349, 372)
+ Le Voyageur [The Traveller; or, A Prospect of Society] (1765) (p. 372)

Annotation :

Gottfried ('Chronique') est évoqué page 29.
Ainsi que l''Acerra philologica'.

Annotation :

GRAY Thomas (1716-1771)

« Quand un poète comme Gray s'établit dans un cimetière de village et entonne ces mélodies connues, il peut être assuré de rassembler autour de lui un certain nombre d'amis de la mélancolie. » (p. 372)

Annotation :

[La source, ici, n'est pas 'Poésie et vérité :]
« La chute de Napoléon Ier en avril 1814 sonne (...) la fin des guerres que les Allemands appellent « de libération ». Cela signifie pour Goethe la possibilité de se rendre en Rhénanie, de revoir Francfort, sa ville natale, et donc, de sortir de Weimar sans devoir prendre la route de l’est. Or à l’époque où Goethe entreprend son voyage vers l’ouest, il vient de découvrir dans toute son ampleur, grâce à la traduction de l’orientaliste autrichien Joseph von Hammer-Purgstall, le Diwān du poète persan Mohammed Schemseddin, dit « Hafez » (« celui qui connaît par cœur le Coran »). La lecture de ce recueil est pour Goethe un choc d’une telle intensité que, se sentant menacé dans son inspiration même, il réagit sur le mode de l’appropriation créatrice : il commence à composer ce qui deviendra le « Divan d’Orient et d’Occident ». » (Laurent Cassagnau)
https://heritage.bnf.fr/bibliothequesorient/fr/goethe

Annotation :

HALLER Albrecht von (1708-1777)
Botaniste et poète suisse, né à Berne.

(Évoqué pages 57, 176)

« Étant donné que quelques hommes extraordinaires tels que [Hermann] Bœrhaave [(1668-1738)] et Haller avaient véritablement accompli des tâches incroyables, on se croyait autorisé à exiger plus encore de leurs élèves et successeurs. » (Page 421)

Annotation :

HAMANN Johann Georg (1730-1788)

« Cependant, je sentais bien qu'il y avait dans les écrits de Hamann quelque chose qui me convenait, à quoi je m'abandonnais, sans que je susse d'où cela venait et où cela conduirait. » (Page 262)
« [Les] 'Mémoires socratiques' [de Hamann] firent sensation et furent particulièrement chers aux personnes qui ne pouvaient s'accommoder de l'éblouissant esprit du temps. » « (...) il avait (...) causé quelque scandale par les 'Nuées', 'Supplément aux Mémoires socratiques', et, lorsqu'il en vint à publier les 'Croisades du philologue', (...) il en résulta, (...) un malaise que l'on fit sentir à l'auteur, lequel, peu édifié, se déroba à une liaison plus intime. »(Pages 328-29)

Annotation :

[En lieu et place de] 'Fragments sur la littérature allemande moderne' (1767) et 'Forêts critiques' ['Sylves critiques'] (1769).

Johann Gottfried von HERDER (1744-1803)

Page 260

« (...) qu'on lise l'étude de Herder sur Shakespeare, dans la brochure 'De la manière et de l'art allemands' (...). » (p. 317)

Annotation :

Page146

Annotation :

HIPPOCRATE (460-377)

« Les écrits qui nous sont parvenus sous le nom d'Hippocrate offraient le modèle de la manière dont l'homme doit observer le monde et transmettre ce qu'il a vu, sans y mettre du sien. » (p. 420)