Les livres gourmets d'une gastronome en pantacourt (ou en jupe longue)

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C'est avec lui que j'ai fait mes premiers pas, pâtés, ratés - et il n'y a pas eu mieux depuis (comme livre, moi j'ai progressé ;-)

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Offert par ma maman (qui sait très bien que je ne suis pas un homme), il m'arrive encore de m'y référer, parce que... quel est le temps de cuisson du céléri-rave, hein ?

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Offert au tonton Gérard du Jura (qui n'est pas mon tonton), Lorrain lui aussi "en exil", pour le remercier de son accueil et de ses extraordinaires grands petits plats.

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Est-ce dans celui-ci ou dans l'autre qu'il y a 2 recettes pour accommoder... le hérisson ?

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Je préciserai qu'il existe 2 clans, en Lorraine : les défenseurs de la molle et étouffante madeleine de Commercy, et les partisans de la croustillante et savoureuse madeleine de Liverdun...

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Spéciale dédicace à JesusNaziRockstar :-)

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La couverture a l'air vieillot mais ce n'est pas le cas du contenu...
(Grands regrets de la disparition du restaurant-traiteur "Wengé" à Luxembourg-ville...)

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Rien que pour la recette du filet mignon aux trois genièvres... une tuerie !

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Plus qu’un simple livre de recettes, cet ouvrage est un calendrier gourmand qui suit le rythme des saisons et des étapes de la vie à travers les pays d’Europe et leurs régions. Bien sûr, beaucoup des occasions de pâtisser sont les célébrations religieuses, et pour chacune sont racontées les origines et les particularités locales ; Noël et Pâques essentiellement, mais aussi des rituels dont les racines vont plonger avant la chrétienté, beaucoup de pains et de gâteaux ayant une forte et ancienne symbolique.
On les retrouve sous leurs noms originaux ainsi que plus communs (tout le monde ne comprend pas forcément qu’un Fastnachtküechli ou un gräddpepparkakor sont comestibles…).
Seul bémol, puisque j’ai tenté quelques expériences : mieux vaut ne pas être un(e) débutant(e) et maîtriser des techniques de base. Ma tentative de brioche des Rois portugaise a été un échec grandiose, même le chat n’en a pas voulu, et, la lançant par la fenêtre de dépit, j’aurais assommé un passant… la pâte n’a jamais ni levé ni cuit…

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Mmmmmm c'est une visitandine en couverture....

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Un ouvrage de base, du moment qu'on a de bons moules... pas ceux à moitié rouillés de grand-maman...

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Une merveille, avec l'historique de certains produits, des recettes, de belles photos, et des croquis explicatifs très malins. Le vrai amour d'un terroir et de subtiles saveurs...

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A l'achat d'accessoires de cuisine...

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Ce n'est pas dans ce livre, mais à la fin d'un polar médiéval, que j'avais trouvé une recette que j'ai voulu tenter pour un réveillon... D'abord un essai une semaine avant, car certaines indications me semblaient "bizarres" (et j'ai remplacé l'eau de source par de l'eau du robinet, c'est sûrement ce qui a tout fait rater ;-), entre autres l'absence de cuisson.
Résultat : un bon kilo de bouillie à manger seule...
Mais je suis obstinée : j'ai re-tenté en modifiant certaines quantités... pour obtenir juste une bouillie plus épaisse et d'un beau jaune safrané. Cela aurait dû être un "taillis aux épices" (avec des pommes, du miel, etc) qui se découpe comme un cake.
Je l'ai quand même servi au réveillon, à la louche, accompagné de crème anglaise, et avec la petite fraise et la petite feuille de menthe.

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Tout de même, ce type a écrit "Charlie et la chocolaterie"...