Les livres pas lus notés ou discutés sur senscritique

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C'est certain que lire les erreurs passées est difficile pour certains esprits peu éclairés et partisans...

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Le titre trompeur démasque facilement ceux qui ne se sont pas aventurés plus loin...

Un cas d'école de ce que produit des livres pas lus : bêtise violente, insultes, refus de discuter du fond mais personnes prises à partie : https://old.senscritique.com/livre/dieu_la_science_les_preuves/critique/278196745

Au début, je croyais que ce triste personnage avait lu le livre, mais probablement pas ou alors en diagonale, vu les idioties qu'il aligne sans complexe...

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Noté parfois par ceux qui sont gavés de propagande médiatique et d'idéologie politique.

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Dénoncer les excès et les dérives d'un certain féminisme ça doit être mal...

"Il faut saluer le génie tactique du capitalisme, qui, confronté à une impasse stratégique - la pression à la hausse des salaires des ouvriers et des cadres -, a trouvé une fois encore la sortie prétendument progressiste, a exploité sans vergogne, pour un prix ridicule, des armées de jeunes femmes bien formées, courageuses, organisées et consciencieuses, découvrant avec entrain les nouvelles "libertés" offertes par le monde du travail et l'autonomie financière. Le capitalisme a transformé ces armadas ambitieuses en nouveaux "idiots utiles". Une fois encore, la prophétie de Karl Marx s'est avérée, le capitalisme, authentique force révolutionnaire de l'histoire, a consciencieusement détruit tous les liens traditionnels ; la famille patriarcale - le fameux ménage - était le dernier bastion qui lui résistait, le dernier obstacle à la marchandisation du monde."

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Ecrit par un universitaire sérieux et lucide, une analyse de notre époque que ne veulent pas faire ceux qui ne le lisent pas.
Ne croyez pas ce qu'écrit une certaine personne mal intentionnée qui ose mettre 1 à un livre qu'elle n'a pas lu ( et c'est fréquent chez elle...) : une ignorante qui en plus censure les coms qui la mettent en difficulté...

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Sûrement trop longue, la Bible est le livre le plus mal cité. Il existe des spécialistes de la petite phrase qui tue qui serait la preuve irréfutable que " toutçacestrienquedesbêtises"

Ponpon: ne parler dans une critique que de l'édition, du poids du livre, du type de papier, des notes... sans JAMAIS aborder le fond...

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Comme pour la Bible, on trouve dans les commentateurs des athées militants et des esprits obtus qui croient naïvement que le livre est le problème plutôt que l'homme...
Merci @Le Grand Roi Jacadi

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On peut ne pas aimer le personnage, mais le juger d'emblée en affirmant: "je n'ai pas lu son livre" est plutôt contreproductif. Moi, si je le lis un jour, je me ferai un plaisir de montrer tout ce que je trouve idiot ou inconscient dans ce que je lis. Il faut savoir profiter des plaisirs de la vie :-)

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Une critique qui cherche à descendre ce roman en parlant uniquement de sa maison d'édition : il faut le faire!

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Deux critiques, et deux d'ignares qui n'ont même pas pris la peine de le lire...Ils doivent faire partie de ces gens qui se disent de gauche et qui veulent qu'on enseigne les mathématiques en arabe dans certains lycées français et qui excusent certains terroristes meurtriers qui ont commis leur attentat en criant leur " Dieu est grand" ( plus que leur bêtise, ça c'est certain...) en arabe - car, bien entendu, ce serait de la discrimination de dire que ce genre d'attentat est islamique...

Une troisième critique d'un autre ignorant qui ose juger que R.Camus n'est pas un grand écrivain alors qu'il ne l'a pas lu... Ces gens n'ont honte de rien et ne comprennent même pas qu'ils ont le même état d'esprit que les "racistes"qu'ils craignent et haïssent: exclusion sur des préjugés, des on dits, des petites formules et violence envers l'autre ( qu'ils manient avec une habilité éhontée).

Voilà ce qu'il arrive quand des innocents ahuris et béats croient encore à l'immigration d'il y a 50 ans :
https://twitter.com/LadyMercedes13/status/1686613393166258176?s=20

https://twitter.com/ReaActuelle/status/1686496893273088000?s=20

https://twitter.com/ReaActuelle/status/1686479112678883333?s=20

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On palabre sur son titre, on en profite pour lancer des bêtises, des clichés, des remarques antisémites alors même qu'on trouve que le livre l'est lui-même - un comble puisqu'il le dénonce justement ...

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Extrait de la fiche wikipédia de la pédopsychiatre Eliacheff :
"Dans l'hebdomadaire satirique Charlie Hebdo en date du 28 décembre 2022, Gérard Biard commence son article intitulé « Le meilleur des mondes trans » en annonçant que « la croisade des militants trans contre Caroline Eliacheff et Céline Masson continue » à propos de leur livre La Fabrique de l’enfant-transgenre. Le journaliste souligne comment « chaque débat, chaque conférence engendre une avalanche d’insultes et de menaces sur les réseaux sociaux, avec à la clé, trop souvent, l’annulation pure et simple ». Il considère cependant que le 15 décembre, un palier a été franchi au moment de leur intervention au Café Laïque de Bruxelles : des militants cagoulés ont fait irruption, et en plus des « agressions physiques et verbales habituelles, ont balancé des excréments dans le local et sur les participants. Plus précisément des merdes de chat et de chien mélangées à de la litière ». Il cite L’Express du 19 décembre, où une cinquantaine d’universitaires et d’intellectuels, dans une tribune, dénonçaient cette attaque jusqu'à prononcer le mot « fascisme ». Biard, trouvant que le mot, cette fois, n'était pas « usurpé », rappelle qu'effectivement « balancer de la merde sur les communistes faisait partie des jeux favoris des fascistes italiens »
On notera que ces militants qui cherchent à censurer le livre ont des représentants sur SC.

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Une critique qui juge cette confession touchante sans l'avoir lue par un seul mot insultant! Paresse intellectuelle qui juge sans connaître, sur une réputation.
Critique retirée depuis mon commentaire. J'ose espérer y être pour quelque chose...

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Ce qui est étonnant avec Zemmour, c'est que peu de gens le lisent ( j'en fais partie) mais qu'il devient le bouc émissaire de gens terrorisés par la vérité qu'il révèle parfois :
"C’était l’un des innombrables dossiers légués par ses prédécesseurs socialistes. Une drôle d’idée, un brin paradoxale, de Jean-Pierre Chevènement que d’« organiser » la religion musulmane au nom d’un républicanisme sourcilleux, dont il était devenu au fil des ans l’incarnation vibrante et talentueuse. (...)

Sarkozy mit pourtant ses pas dans ceux de Chevènement. (…)

Lorsque Chevènement occupait la place Beauvau, il avait exigé d’eux [les dignitaires de l’islam] des modifications de leur dogme, afin qu’il s’adaptât aux mentalités françaises, sur l’égalité entre hommes et femmes ou la laïcité. (…) Il avait en particulier focalisé son offensive sur l’apostasie. Tout musulman qui se convertit à une autre religion est, selon le Coran, condamné à mort. Chevènement voulut obtenir l’abolition de cette menace.

Les discussions furent rugueuses.

Chevènement, cultivé et féru d’histoire, appliquait en toute connaissance de cause les méthodes concordataires de l’Empereur, qui avait de même multiplié questions et exigences à l’endroit de son prestigieux Sanhédrin.

Il obtint à l’arraché un engagement. Les musulmans signèrent une déclaration de principes qui faisait référence entre autres à la Convention européenne de sauvegarde des droits de l’homme et des libertés fondamentales, du 4 novembre 1950. Or, comme le souligne avec fierté l’ancien ministre de l’Intérieur dans son livre Défis républicains 1, « cette convention mentionne expressément le droit de tout homme à changer de religion ».

Chevènement faisait contre mauvaise fortune bon cœur. Il n’ignorait pas que cette référence juridique elliptique avait été une concession bien mince. (...)

Ses interlocuteurs avaient joué finement. (…) Ils n’eurent aucun mal à obtenir du successeur du rigoriste Chevènement qu’il mît à la poubelle les conclusions de l’accord avec son prédécesseur.

Certains conseillers de Sarkozy cachèrent mal leur désapprobation et leur frustration, voire leur colère. Ils avaient compris, eux, que Chevènement avait eu raison, que l’apostasie était cruciale. Elle soulevait la question de la liberté religieuse. Si un musulman est libre de changer de religion, d’abandonner l’islam, sa décision autonome supplante celle du groupe. Parce que, citoyen français, le musulman conquiert alors des droits que l’islam ne lui reconnaît

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Encore un livre victime de la guignolesse du gang des 4èmes de couverture. 0 argument, 0 reprise d'idées du livre, mais un prétexte à évoquer des " idées qui font peur"

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Une critique bourrée de fautes et d'expressions à la mode "genre", parfois en anglais pour faire bien) avoue n'avoir lu que deux chapitres, n'a apparemment rien compris, reste sur des poncifs, des on-dit, et voit en Onfray de la ...haine...
Je viens de parcourir le profil de l'auteur de cette critique. Stupéfiant. Un concentré de tout ce qu'il y a de pire: vulgarité, suffisance, agressivité, anti tout, culture de trottoir ou idéologisée, adoration du mal... Il n'y a que sur Senscritique qu'on peut comprendre de l'intérieur les dégâts causés dans les esprits par l'effondrement d'une civilisation...

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“Breivik nous rappelle, d’une manière dont la signature dessert la pensée (ou même l’abolit), qu’une guerre civile est en cours en Europe. Mais quelle distance, par exemple, avec le suicide, non moins spectaculaire, qu’un Mishima opposa à la décadence du Japon moderne! Ainsi Breivik serait-il un symptôme de notre décadence plus qu’un révélateur de sens - ce sens de l’histoire dont l’Europe est en train de s’abstraire. Et la récente islamisation politique du Maghreb, de l’Égypte et bientôt de tout le Proche-Orient vient nous le rappeler, après que d’iréniques “experts” en géopolitique ou des écrivaillons fascinés par les révoltes salafistes, en Libye comme en Syrie, eurent prédit la renaissance démocratique et laïque de ces nations, tout en oubliant la puissance de la servitude volontaire autant que le discrédit que l’idéal démocratique ne cesse de jeter sur lui-même, dans une Europe qui a renoncé à l’affirmation de ses racines chrétiennes.” "Les choses ne sont pas aussi simples. Breivik est, au premier chef, un produit exemplaire de cette décadence occidentale qui a pris l’apparence du petit-bourgeois américanisé : enfant de divorcés, l’air d’un gendre idéal, il ne porte pas de piercing, de tatouages, de dreadlocks, de cheveux ras, ni de ces ridicules vêtements ethniques qui sont un des attributs de la jeunesse multiculturelle, avec un langage en décomposition, une inculture béate et un avachissement certain de la personne. Il est hétérosexuel ; il aime le snow-board, la bière Budweiser, les parfums Chanel, les chemises Lacoste (la marque, Spectaculaire oblige, a aussitôt protesté contre les photos sur lesquelles Breivik, en état d’arrestation, arbore, avec un étrange sourire, un polo muni de l’horrible petit crocodile, qui est un des emblèmes de l’infantilisme contemporain). Il a lu le Léviathan de Hobbes, le livre de Burke sur la révolution française, et 1984 ; on s’étonne de ne pas le voir mentionner la Société du Spectacle de Debord ou certains livres de Baudrillard. En bon enfant perdu, il s’est cherché des appartenances élargies : le Parti du Progrès (évidemment qualifié de « populiste et xénophobe » par la presse), la franc-maçonnerie, l’Ordre des Templiers d’Europe, ces deux dernières appartenances représentant, pour la première une des nombreuses dérives d’une démocratie pourtant éprise de transparence, et pour l’autre le kitsch du combat contre le multiculturalisme.

On peut donc dire que Breivik est un enfant de la ruine familiale autant que de