Les meilleurs albums de George Harrison

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Le chef d'oeuvre ultime de l'ex-Beatles.
Premier triple disque de l'histoire, Geoge se lâche sur cet album et s'entoure des meilleurs (Eric Calpton, Billy Preston, Ringo Starr, Bob Dylan, Phil Collins, Klaus Voorman ..) et ferme le clapet de Lenonn et McCartney jugeant ses compos trop faibles pour figurer sur les disques des Beatles.

Un album qui convaincra nombre de fans des Fabs qu'Harrison est peut-être le meilleur songwriter des trois ..

Pistes coup de coeur : Beware of Darkness, Hear Me Lord, Ballad of Sir Frankie Crisp (Let It Roll).

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En 1987, Harrison était moqué de vieux ringard et plus personne ne prêtait attention à sa musique.

Tant mieux, car c'est à la surprise générale qu'il revient en haut des charts avec I Got My Mind Set On You, reprise d'un standard 50's. Pour accoucher de l'excellent Cloud Nine, des musiciens de renoms viennent encore assister George, l'ami de longue date et fidèle padawan, Jeff Lynne, le voleur d'épouse, Eric Clapton, l'irremplaçable Ringo Starr et même Elton John.

Finalement, Harrison aura sortie le meilleur album d'un Beatles solo dans les années 80.

Piste coup de coeur : That's What It Takes

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Le sublime album posthume du plus mystique des scarabées.

Alors qu'il était complètement en retrait de la scène musicale dans les années 90, Harrison avait beaucoup écrit sans rien publier. Enregistré avec l'aide de Jeff Lynne et de son fiston, Dhani, l'album devait être le grand retour du Beatles après 15 ans d'absence. Il n'en sera rien, car il s'éteint finalement 29 novembre 2001 ..

Jeff Lynne finira la production et l'enregistrement de Brainwashed, offrant le plus beau des adieux possible aux fans.

Pistes coup de coeur : Stuck Inside a Cloud, Between The Devil and the Deep Blue Sea (reprise)

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Second album solo, l'ami George a encore beaucoup de musique en tête. Il est le seul avec Cloud Nine et All Things Must Pass à rencontrer le succès.
Grâce à une ambiance intimiste et hindouiste, Harrison est sommet de son art !
Numéro 1 aux Etats-Unis, il dépassera Red Rose Speedway, d'un certain Paul McCartney.

Piste coup de coeur : Try Some, Buy Some (reprise par David Bowie sur Earthling en 1997).

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Nageant dans le bonheur suite à la naissance de Dhani, Harrison s'éloigne de la musique pendant quelques années. Il revient en 1979 avec un album éponyme très calme et apaisé.

Le succès commercial n'est pas au rendez-vous mais qu'importe l'album sera très bien reçu après le décevant Thirty Three & 1/ॐ.

Piste coup de coeur : Not Guilty (datant de 1968 et des sessions du White Album).

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"Oh not him again!", voilà la mention figurant dans la pochette de Extra Texture. Après l'échec commercial et critique de Dark Horses, Harrison revient en publiant un dernier disque chez Apple Reccords.

L'accueil restera tiède et la galette ne rencontrera pas le succès malgré quelques très bonnes pistes et un ensemble cohérent.

Piste coup de coeur : This Guitar Can't Keep From Crying (prologue à While My Guitar Gently Weeps).

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Plus grand échec de George Harrison en solo, l'album à l'hideuse pochette est complètement ignoré par le public du Quiet One.

Dépassé par le paysage musical des années 80, George publie dans Gone Troppo des chansons mi-kitsch, mi-critique avec le monde qui l'entoure.

Piste coup de coeur : Circles (datant également de 1968 et des sessions du White Album, elle fut écrite en Inde lors du séjour spirituel des Beatles).

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Sur Somewhere In England, l'incroyable se produit ... Abattu par l'assassinat de John Lennon, le 8 décembre 1980, les Beatles survivants se réunissent le temps d'une piste, "All Those Years Ago". Chanson hommage à leur ami défunt d'abord destiné à un album de Ringo. George Martin et Geoff Emerick également crédité participe à l'album sans que l'on sache à quel degré.

L'album est cependant plombé par la Warner voulant que les chansons sonnent plus commerciales, Harrison se dira donc déçu par le résultat.

Piste coup de coeur : Save the World

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Alors que Pattie Boyd s'en va pour aller avec Clapton .. Harrison rentre dans un période plus compliqué après le succès de All Things Must Pass et Living in the Material World.

Dark Horse est le premier album enregistré dans le studio personnel de l'ex-Beatles, "Priar Park". Il est fustigé par la critique y voyant une réelle baisse de qualité par rapport à ses précédents efforts.

Le disque est cependant apprécié par le public américain et se classe 4ème des charts, Reagan recevra même Harrison, Preston et Shankar à la maison blanche lors du Dark Horse Tour.

Piste coup de coeur : So Sad (unique chanson évoquant l'affaire Boyd/Clapton).

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À trente trois ans et un tiers, Harrison se remet de sa rupture avec Pattie Boyd et commence une nouvelle histoire avec une certaine Olivia.
L'ex-Beatles sort donc son album le plus personnel en 1976, en évoquant son procès pour l'affaire My Sweet Lord dans This Song ou son désamour du fisc anglais dans Crackerbox Palace (faisant écho à Taxman de Revolver).

Piste coup de coeur : Beautiful Girl

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Bande originale du film de Joe Massot, Wonderwall, cet album de musique d'ambiance indienne est le premier album solo publié par un Beatle. Le réalisateur lui laissant carte blanche, George se rend donc à Bombay pour enregistrer la galette ainsi que la base The Inner Light, face-B de Lady Madonna.

Avec une participation d'Eric Clapton et Ringo Starr, le disque forme un ensemble agréable. Passionné par l'Inde et sa culture Harrison voit dans cet galette une occasion de laisser aller sa créativité qui est a cette période bridé par McCartney et Lennon.

Noel Gallagher s'inspira du titre de cet album pour écrire la légendaire Wonderwall d'Oasis.

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Dans la veine des albums de musique expérimentale de Lennon, George publie sa propre galette électronique humblement nommée Electronic Sound.

Publié sur le sub-label de Apple Reccords destiné à la musique expérimentale, Zapple, le disque rencontre un accueil confidentiel et divise les fans.

"Il y a partout un tas de gens qui font beaucoup de bruit ; en voici encore davantage", phrase présente dans l'insert de l'album résumant parfaitement l'étrangeté d'Electronic Sound.