Les meilleurs albums de STUPEFLIP

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Album comportant bien plus de sonorités hip-hop que les précédents. Le tube Stupeflip Vite demeure toujours une énorme claque musicale. Les interludes continuent à fasciner par leur aspect hypnotisant. N'étant pas amateur de rap et de musique hip-hop en général, la bizarrerie des arrangements, l'univers à la fois ironique et cauchemardesque et les boucles entêtantes m'ont complétement stupéfié !
PS : c'est par cet album que j'ai découvert le CROU

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Dans ce second album, Stupeflip décidait de continuer à explorer des sonorités mêlant divers influences musicales passant du punk rock, au rap hardcore (Krou kontre attakk restant indéniablement ce que Kingju à su produire de mieux en la matière), jusqu'à la pop mielleuse. Cette ambiance toujours plus barrée et bizarre qui donne à l'album une identité unique constitue véritablement la force du CROU.

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EP bien sympathique qui continue à lorgner du côté du hip-hop décérébré mais à la prod plus propre et moins "cracra" que dans les deux premiers albums. C'est moins violent dans les sonorités, Kingju crie moins et semble être gagné par une forme plus profonde de mélancolie et de tristesse qu'à l'habitude (le morceau Nan ?.... Si ?).

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Naissance du Crou ! Kingju débarque avec cet objet musical extrêmement difficile à cerner et identifier. Ce n'est pas totalement du rap, ce n'est pas totalement du rock, ce n'est pas non plus un album de punk et encore moins de la pop. Pourtant cet album est d'une cohérence indéniable et l'équilibre est maîtrisé entre les morceaux trashs, les plus mélodiques, les plus niais, les plus absurdes et les interludes. Un premier effort qui sera récompensé par un certain succès au grand damne de Kingju qui ne jouera pas le jeu de la promo; et c'est tant mieux car c'est, entre-autre, pour ça, qu'on aime Stupeflip !

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Le retour de Stupeflip alors que Stup Virus s'était terminé par un morceau signant des adieux à peu près évidents, c'était une annonce qui sonnait à la fois comme une belle surprise (STUPEFIANTE) tout autant qu'elle interrogeait sur la capacité de King Ju à revenir dans le coup. Même s'il est parfois un peu regrettable de ressentir une certaine forme d'atonie dans les textes et des sonorités parfois similaires à d'autres morceaux déjà entendu dans l'univers de Stup, l'album reste un objet agréable à écouter. Régions féderées, à mon avis, est l'un des plus beau son que King Ju ait composé. L'étrangeté au sein de l'album est mois percutant même si certaines prods restent d'une inventitvité hallucinante dans le paysage de la musique française. On ne boudera pas notre plaisir de retrouver le phrasé si reconnaissable de King Ju (ainsi que des apparitions bien que très courtes de Cadillac et Mc Salo) mais il semblerait que Stupeflip ne soit plus ce groupe bizarre des années 2000 qui avait secoué nos cocotiers et enflamé nos esgoudres !

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Légère déception pour le dernier album en date qui ne contient pas la fougue, l'énergie et l'étrangeté des trois premiers (malgré quelques morceaux singuliers). Les sonorités et les arrangements sont moins mémorables et entêtants. Impossible, néanmoins, de bouder son plaisir d'entendre la voix de Kingju sur le beat implacable du titre Antidote (de loin le meilleur morceau de l'album). Peu importe que ce soit le dernier album, le Stupeflip CROU ne mourra jamais !