Les téléfilms de Noël

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L'affiche idiote ne vous donne pas envie du tout ? N'en tenez pas compte : on a découvert une sympathique comédie tirant du côté de Un Jour sans fin en version Noël. L'acteur principal s'en donne à coeur joie, les répliques assassines sont drôles, et le final est agréable. Une bonne surprise !

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Prévisible, évidemment, mais il reste sur le dessus du panier pour ce qui est du téléfilm de Noël. Et en plus, il y en a 3 (allez, pour une après-midi pluvieuse et glaciale...).

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Les Visiteurs + bluette de Noël = L'Alchimie de Noël. C'est drôle par moments (quand il mange tous les pains de mie dans le rayon du supermarché) et assez mignon dans sa séquence "cadeau aux démunis". Ça passe.

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Ils ont osé mettre le thème des Jeux Interdits pour le mariage, si si... On pense que les producteurs n'ont pas vu l'original. L'ajout du beau-père cuisinier qui titille tout le personnel du château, on a bien aimé. Et que l'on redonne sa chance au frangin malaimé était osé (pour un genre de films où les personnages sont très manichéens, et ne changent pas de camps) Mais cette happy-end poussive est vraiment dommage.

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Un téléfilm de Noël gay qui n'en fait pas des caisses, essaie d'être moins téléphoné que ses concurrents, avec des acteurs pas mauvais... Why not.

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La Nounou D'Enfer est méconnaissable, mais on ne peut pas bouder son personnage de maman entremetteuse attachante, ni même le sympathique couple gay qui change de l'habituel couple de Ken et Barbie (dont on sature). On aurait même pu se passer du couple hétéro, légèrement gratuit, lui.

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Cela commençait tellement bien, avec ce scénario où l'on pensait chercher le lien entre les jouets miniatures du calendrier et les péripéties de la miss... Raté, on oublie complètement le calendrier passé vingt minutes, pour une romance des plus classiques.

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L'aspect "gamin" de la prophétie qui régit ce troisième opus flingue complètement la sympathie qu'on avait pour cette saga. Dommage.

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L'actrice est assez agréable (Ally de la série Disney Channel), mais le copier-coller du conte de Cendrillon avec simplement une déco de Noël n'est pas très original.

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Malgré la présence appréciable d'Andie McDowell en second rôle, le binôme en tête d'affiche ne convainc pas, et le retournement de veste final de la miss est trop soudain, on n'y crois pas du tout.

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Vanessa Hudgens s'amuse à tenir deux rôles, et elle se donne du mal, dommage que cela soit vain dans un scénario qu'on a déjà vu mille fois (encore une adaptation lointaine du Prince et le Pauvre, usé jusqu'à la corde au cinéma).

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Petit téléfilm Netflix venu de Pologne (avec le Père Noël qui fume le gros cigare, ça c'est l'esprit de Noël !), très enfantin (forcément), au final très attendu, au jeu d'acteur peu convaincant pour l'Elfe (à peine plus sage que Will Ferrel), mais qui fonctionne dans l'ensemble.

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Quelques situations assez décalées ("où est mon Epipen ?" qui finit chez le véto...), mais évidemment on sait comment ça va finir (et on ne se donne pas vraiment les moyens de nous faire croire autre chose...), dommage car Love Hard n'est fondamentalement pas le pire des téléfilms de Noël.

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Le troisième personnage interprété par Vanessa Hudgens est une caricature sur patte, détestable pour de bon, qui montre les limites de cette suite à bout de souffle passé vingt minutes à peine.

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Tout est dans le titre (français) : de la guimauve sous des hectolitres de neige et de bons sentiments, avec les grelots qui vous décapent les tympans. Et des jeunes acteurs qui ne savent jouer que de leur physique.

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Difficile de sentir la magie de Noël sous les cocotiers et avec un Beach Boy... Ça change, c'est sûr, mais ça ne fonctionne pas, surtout.

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Pas sûr que les petits (à qui ce film jeunesse se destine exclusivement) adhère à ces héros lisses, à ces péripéties qui manquent de fun (on a perdu les lettres des enfants, on va juste leur demander ce qu'il y avait dedans, wouuuh c'est la fête.). La famille "humaine" en deuil du papa est encore ce qu'il reste de mieux dans ce téléfilm. Avec à la clé le générique de fin le plus lent du monde (on vous jure, c'est stupéfiant).

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Élu film hypocrite de l'année... Holidate s'éclate à cracher sur le genre du téléfilm de Noël à l'eau de rose, pour se ranger bien gentiment dans ce même genre au bout d'une heure... "Faites ce que je dis, pas ce que je fais."

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Aussi irritant pour les yeux que pour les nerfs. On sature vite de cette kermesse mal jouée, pas drôle, et incroyablement amorphe.