Livres découverts en 2025

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fini le 04/01 ( je l'avais commencé 5 mois avant) 528 pages
J'ai retrouvé pas mal de similitudes avec l'œuvre 'ceux qu'on aime'. On reconnait parfaitement la pâte de l'autrice, autant dans la volonté de faire de la fiction historique en lien avec la Grèce, mais aussi dans l'envie d'illustrer une fresque familiale. J'ai cependant moins aimé ce livre là, il est réputé comme étant le meilleur mais la fin m'a moins convaincu que l'ensemble du livre. Je n'ai pas ressenti beaucoup de satisfaction à voir l'histoire se dénouer et atteindre sa finalité.
En attendant, le thème de la maladie m'a toujours intéressé. Le fait de raconté un fait historique sur la lèpre m'a bien plu, d'autant que c'est toujours agréable de lire le style (certes simpliste) de Victoria Hislop. Le livre a tout de même su m'accrocher grâce à ses passages, dramatiques, romantiques (bien amenés) ou même joyeux.

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commencé le 02/01 et fini le 08/01 (audio de 6h51)
Je suis ravi que ce soit Philippe Boxho qui lise son propre livre (audiobook). Il le dit lui-même en entretiens, mais il ne possède pas de style littéraire impressionnant, il a décidé d'écrire son livre avec un style similaire à sa façon de parler. Cela me dérange, habituellement. Toutefois, il le dit aussi lui-même, mais un médecin légiste doit être un bon orateur et c'est effectivement son cas. Sa façon de parler n'est certes pas littéraire, mais suffisamment soutenue pour être appréciée par écrit. Pour autant, je trouve que le format audio est très pertinent, Philipe Boxho est captivant quand il parle.
Il se permet de faire de l'humour (si bien que le livre est classé dans la catégorie humour) en traitant de sujets morbides. Et ce qui est très fort, c'est qu'il le fait sans être irrespectueux. Il nous fait des réflexions hilarantes et à chaque fois au bon moment.
Dans ce livre, nous sommes constamment étonnés face à ses anecdotes peu communes. Aussi, le livre présente un bon aspect éducatif. Nous apprenons pas mal de chose, et supprimons pas mal de stéréotypes qui étaient implémentés à notre cerveau à cause des séries et romans.

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fini le 12/01 464 pages
Avec ce livre, j'ai retrouvé le style d'écriture de Jean Philippe Jaworski. Là dessus, l'auteur est fidèle à lui-même, c'est juste incroyable. Il utilise énormément de termes que je ne connais absolument pas. Si on prend la peine de faire des pauses pour ouvrir un dictionnaire et cherché les mots qu'il utilise, je suis certain qu'à terme de la lecture notre vocabulaire s'améliore grandement.
Autrement, j'ai eu beaucoup plus de mal avec ce livre que 'gagner la guerre' ce qui me chagrine un peu. Le livre se présente comme une sorte d'énorme introduction avec une composition décousue, on s'y perd un peu. En plus, j'ai été moins sensible à l'ambiance générale et à l'univers. Jaworski est très fort pour créer des scénarios, des personnages et des dialogues que je définirais d'extrêmement intelligents. Par beaucoup de passage, j'étais tenu en haleine, mais par beaucoup d'autres passages, je n'étais pas convaincu. 'Gagner la guerre' m'a donné trop d'attente, mais si j'avais autant aimé, c'est surtout parce que j'adorais l'univers, là c'est moins le cas. Je continuerai sans aucun doute plus tard, en espérant prendre plus de plaisir.

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fini le 17/01 (audio de 10h54)
J'ai pris un plaisir étonnant à écouter ce livre audio.
Les personnages étaient plus que sympathiques. Ils ne sont pas exemptés de défauts, mais c'est toujours dans la limite du raisonnable. Surtout!, la relation qui se développe est saine.
Aussi, j'ai particulièrement aimé les traits de caractère de Lois et de son évolution au cours du livre. À la fin ; elle ne laisse plus couler les inepties qu'elle subit. En soit, elle n'est pas docile et stupide. Au contraire, elle possède du caractère (logique au contexte), ce que j'imagine, ne pas être le cas pour toutes les femmes dans les romances. L'autrice a réussi à écrire une romance contenue dans un livre assez volumineux, et ce, sans trop tomber dans les clichés ni même dans l'extravagance. En soit C.s. Quill a réussi à ne pas faire ce que je déteste dans la romance. Elle n'a pas pris la voie de la facilité et nous a écrit un livre travaillé, ce que j'imagine ne pas être le cas de toutes les romances non plus.

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fini le 23/01 (audio de 10h16)
Un tome moins bien que le premier. Je pense que cela dépend simplement de la sensibilité de chacun par rapport à une histoire. Celle-ci m'a moins intéressé mais le livre reste fidèle au premier en terme de qualité. Dans ce tome nous retrouvons un peu plus de scènes sexuelles.

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20/04 (audio de 16h)
Très heureux de découvrir le personnage, mais j'ai trouvé le livre sacrément long. On voit bien que l'auteur avait pour objectif de faire une trilogie. D'un côté c'est logique que la montée en puissance (en grade) soit longue mais d'un autre, ça devient un pue ennuyant. Cela me donne envie de connaître la suite des évènements au travers des adaptations comics.

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28/04 (audio de 10h)
Ce tome est vraiment sympa. C'est probablement le meilleur parmi les trois premiers. En tous cas, ce n'est pas prise de tête.

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25/07 - 01/08 300 pages
Avec ce livre plus que de niche, nous apprenons beaucoup sur l'histoire de la gestion forestière française. Il est étonnant de constaté qu'un certain nombre d'éléments sont encore d'actualité, même 60 ans après les évènements de ce livre : je pense notamment à la mauvaise vision que subit l'ONF par la population française.
Cette œuvre est tout de même lourde à lire. Il y a énormément d'informations politiques, administratives et de financières. Ce n'est clairement pas facile à lire, c'est redondant mais nous en tirons tout de même quelques informations intéressantes qui sont à priori, oubliées de tous.

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04/08 285 pages
C'est une super découverte ! 'La gloire de mon père' était fort sympathique et mignon, mais je vois à travers ce roman que Pagnol est capable de faire d'affreuses histoires. Ici, rien n'est mignon.
Ce livre est vraiment bien écrit. Durant toute la première partie du livre, nous ne voyons pas Jean de Florette, pourtant cette partie reste d'une pertinence incroyable. Chaque partie du récit est intéressant, impossible de s'ennuyer à le lecture.
Bien que le roman soit assez court, il aborde beaucoup de sujets intéressants : la terre et l'attachement à un territoire, la cupidité et l'avidité, l'injustice, la haine des étrangers et le conflit ville / campagne, la vie rurale d'antan, la famille et surtout l'agriculture. Ce livre est une vrai référence dans tout ces domaines et j'ai hâte de lire la suite.

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Commencé le 05/08 et fini le 11/08 764 pages
Très certainement l'un des meilleurs livre post apo que j'ai lu jusqu'à maintenant. Stephen king à très bien raconté son histoire. Pour son récit apocalyptique, il voulait clairement développer deux points spécifiques : l'installation de l'apocalypse (de la grippe) et le développement des personnages. King s'est donc beaucoup concentré là dessus et a réussi en faisant une pierre de coups.
Finalement, les personnages sont tous des 'loosers', soit par manque de chance ou par nature. Il semblerait que les seuls personnages vraiment des 'winners' soit Abigael et l'homme noir, ce qui présente donc un super parallèle.
En tous cas, j'ai vraiment aimé l'imagination de Stephen King. Il est très fort pour faire de glauques comparaisons et pour faire mourir ses personnages de manière originale. Plus d'une fois, j'ai lâché un rire bien franc.

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Commencé 12/08 et fini le 13/08 256 pages
Déjà ce que je peux dire, c'est que le livre se lit bien et rapidement. De ce fait, peu importe l'avis final du lecteur, le livre vaut le coup d'être lu pour développer sa culture personnelle.
L'introduction est vraiment efficace, brute, rapide, morbide, elle nous donne envie de lire la suite.
J'ai noté deux grandes ambiguïté qui m'ont bien déçu :
- Dès les trois premiers mots du livre, on nous dit qu'un 'bébé' est mort. Ce terme est utilisé comme terme affectif et non comme scientifique (enfant de moins de 12 mois). Effectivement l'enfant n'est plus un bébé étant donné qu'il marche tout seul et qu'il a entre 1,5 et 2 ans au moins. le terme 'bébé' a été utilisé pour que 'a première phrase soit frappante. Sauf qu'on imagine pas un narrateur neutre utilisé un terme affectif. L'autrice l'a donc utilisé au risque de créer une mécomprehention du lecteur. Au début de ma lecture, l'effet frappant a super bien marché sur moi, mais vu que j'imaginais un vrai bébé, j'avais juste l'impression qu'elle s'était moqué de moi quand j'ai vu que l'enfant n'était pas un bébé au moment de sa mort.
- L'autrice veut nous faire croire qu'il n'y a pas vraiment eu d'éléments déclencheur a l'acte. Elle veut montrer que la violence peut survenir a n'importe quel moment, même quand on ne s'y attend pas. Cependant, la juge comprend l'acte de Louise au moment de la reconstitution de la scène de crime. Donc soit elle a compris qu'à ce moment parce qu'elle n'avait pas assez étudié sont dossier avant (peu probable) soit elle avait découvert un élément déclencheur

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Commencé le 13/08 et fini le 15/08 245 pages
Une bonne histoire qui met en lumière plusieurs sujets sociétaux. À travers ces enfants perdus sur une île déserte, on nous expose des problèmes parfaitement transposables sur des adultes de la société moderne.