Lu en 2025

Annotation :

Une compilation de petites histoires assez anecdotiques notamment par leur brièveté. L'éditeur a d'ailleurs pris un malin plaisir à spoiler le nom du chat alors que c'est l'enjeu disséminé durant les premières histoires.

Annotation :

Du Asano pré-Punpun, parfois rugueux mais plus tendre et avec des touches d'espoir plus lumineuses que dans sa cruelle saga. Très réaliste et d'une justesse incroyable dans chacun de ses personnages (Meiko 🥰). Ici la jeunesse s'ennuie, est perdue mais elle trouve tout de même un certain bonheur dans son calme quotidien et son cercle intime. Elle est tout pile dans ce passage à la vie d'adulte où il faut se prendre en main et savoir ce qu'on veut pour être heureux. Ce qui n'est pas le cas de tout le monde et, tout du moins dans la première partie, je me suis énormément retrouvé dans ces personnages désillusionnés.

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Un tome tout en flashback sur la lente descente aux enfers d'un angelot qui iconise encore plus la figure de Dracula au travers de multiples facettes. Une mise en page un peu plus sage et linéaire que précédemment malgré la présence d'une ou deux scènes choc.

Annotation :

Eeeh sans surprise, pas grand chose à retenir. Les combats ont peu d'intérêt niveau mise en scène, tout au plus le flegme de Chihiro le démarque, l'enjeu pas dingue sur la quête des sabres de son père qui vont le faire enchainer les bagarres avec son side-kick. Comme souvent juger une série au long court sur son premier tome ne veut pas dire grand chose, mais c'est déjà pas super emballant tant on est sur du basic shonen contemporain-magic.

Annotation :

Moins de révélations que dans le T2, on se concentre plus sur les péripéties du groupe qui vire totalement à la survie. Il y a toujours ce petit fond glauque latent qui reste assez fascinant et surprenant. Et je l'avoue un petit twist que j'avais pas vu venir. Néanmoins ce tome s'étend un peu trop avec des aller-retours sur les gamins déjà avec le T2 qui fait ressentir un certain essoufflement sur leur partie (on arrête et finalement non parce que faut retrouver leur copine) plus que la partie enquête avec la journaliste. C'est sympa à suivre mais une conclusion au prochain tome me semblerait raisonnable.

Annotation :

Encore un tome où tout s'enchaine très vite (allez dernière fois que je le dis pour cette série), Tatsu continue son exploration des thèmes de la pop culture. Dommage le furyo est très rapidement abordé avant de virer à un monde fantastique à la Intervilles (pas super fan) mais le rythme reste intense et le nouveau perso est plutôt cool.

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Malheureusement j'y arrive pas, que ce soit la mise en scène plate des combats, des concepts un peu fumeux (le nombre de noms balancés dès les deux premières pages alors que c'est juste un sabre ou une organisation), l'histoire peu emballante. Pas pour moi.

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Tome après tome, ça ne faiblit jamais.

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Ca se digère un peu mieux à lire d'une traite, ce que j'ai fait avec ce tome-ci. J'ai toujours autant de mal avec le prota insipide au possible, la lisibilité, le découpage assez pauvre et la DA que je trouve hyper générique, mais au moins ça avance un peu son intrigue.

Annotation :

J'étais pas super fan de ce petit monde de la malle, d'autant qu'ici on a droit à quelque deus ex machina du chapeau.
Tatsu reste super efficace sur la narration de ses flashbacks malgré la répétition évidente au T17 sur un énième perso qui a subi un énième trauma pour justifier de son émancipation actuelle.

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Relecture

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Star Edition (qui comprend T1 et T2)
Franchement pas une bonne édition : pas mal de cases minuscules quasiment avec des bulles parfois carrément illisibles, une relire trop profonde avec des bulles qui plongent dedans.
Le manga en lui-même reste shonen ultra-balisé sur un héros mystérieux à double facette et une héroine tsundere qui est sidérée à chaque apparition de Kyo.

Annotation :

L'arc de la malle (enfin) terminé, grosse bagarr et comme la cover le révèle, le comte St Germain qui met son grain de sable. Heureusement d'ailleurs, il donne un minimum de profondeur au récit (aussi parce que le perso a une vraie classe) et une trame toujours aussi répétitive. On a d'ailleurs le fameux plan qui remet en perspective le titre-même. Petit twist pour justifier le status-quo, ça se lit toujours aussi bien, découpage très propre et super lisible, mais c'est vraiment le mystère autour du comte qui permet de garder l'intérêt pour la suite.