Manga-tête

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Naruto vie. Je ne suis qu’au tome 2 de l’édition Hokage. Que c’est beau et kiffant de redécouvrir mon anime préféré en version papier.

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J’ai fait le marathon de one piece en quelques mois. Que dis-je un marathon, disons plutôt que c’était un très long sprint. Moi qui ait horreur de courir, je peux vous dire que c’était que du kiffe : un univers prenant et loufoque. Il n’y a pas vraiment de valeurs clés ni de réflexions comme peuvent le proposer d’autres mangas. C’est uniquement une aventure de Mugiwara que j’adore suivre, bien que j’accroche de moins en moins depuis la seconde partie de l’arc de Wano. On verra pour Egg Island.

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C’est intéressant dès le debut et me maintenait en haleine. Du moins ca m’a de suite donné envie de suivre la quête de vengeance de Thorfinn.

Il est cependant en deçà de Kingdom et souffre de sa comparaison. D’ou sa note.

Les dessins sont beaux, surtout les décors au second plan. La narration l’est aussi. Ces deux éléments provoquent une plus grande immersion et en font un excellent cocktail, une bonne épopée.

Le manga prend un tournant à partir de la 8ième tome avec une grosse redistribution des cartes. Cest la quon sort des sentiers battus, jai hate de lire la suite.

Sera très certainement gratifié d’un +1 si continue sur cette lancée.

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Premier Seinen lu et je ne m’attendais pas à un tel rythme et autant dévorer un manga, surtout après avoir bingé One Piece. Je n’ai fait qu’une bouchée des 763 premiers chapitres. Aussi épique que captivant, je recommande à 100% de vivre l’unification de la Chine sous le point de vue de Shin lors du règne de Ei Sei.

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J'ai uniquement lu le Grand Terrassement et donc le dernier plot, l’ultime twist. Mérite donc une autre lecture plus globale.

j’aimerais tout relire afin de lui attribuer une note. l’animé m’a provoqué tellement d’émotions que je suis convaincu d’adorer la version papier en quête de foreshadowing et indices cachés.

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Suite de l’animé uniquement avec l’arc du Continent Caché. Le trait est parfois brouillon. Togashi est réputé pour faire des planches magnifiques comme des planches non essentielles très bâclées. On voit qu’il rush ses planches afin de finir son oeuvre au plus vite. On se noit aussi parfois dans les explications et la narration à rallonge. Pour autant, Hunter demeure un manga d’exception avec un univers incroyable et fascinant.

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J’attendais beaucoup de ce manga, mais je savais qu’il pouvait être binaire. J’ai pourtant attendu d’en lire quelques uns pour ne pas être effrayé par les style des années 90 et sa simplicité. Ce n’est pas tant le dessin qui m’a repulsé mais plus le rythme. Pourtant ce manga a des qualités et Iwasaki tient des propos intéressants. J’ai simplement fait une pause à l’issue de la tome 6 et je n’ai jamais repris. J’espère lui donner une chance de le finir et réhausser sa note.

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J’ai lu tous les mangas suivant l’arc du Quartier des plaisirs. Chaque jour, j’’allais me chercher 2-3 tomes et dévorait tout le soir même. Les studios UFOtable subliment l’œuvre qui a un trait beaucoup plus brouillon sur papier. Le scenario et l’histoire n’en sont pas moins cools et j’ai lu Démon Slayer jusqu’à sa toute fin. J’en garderai pourtant un moins bon souvenir que ce à quoi je m’attendais.

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Premier manga fantastique que je lis. Plutot habitué aux classiques du genre Seinen et Shonen type Nekketsu en plusieurs dizaines de tomes, ce one shot m’a paru atypique, même poètique.

Je pensais qu‘il allait prendre une direction, plus portée vers une critique sociétale. Le fait est que je n‘ai jamais rien compris à la poesie.. Je reste donc tant sur ma fin que sous le charme.

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Pas mal pour un one shot sur l’ univers de Death Note. Il m’a séduit et m’a décidé à retenter la lecture de la saga principale.

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Décidément je n’y arrive pas… J’ai pourtant tenté 2 fois en animé et une fois en version papier. Arrêté au tome 7 ou 8, au même passage qu’à l’animé. L’œuvre se veut trop cérébrale et triller suspens, devient à mon sens trop prétentieuse dans ses propos est son scénario qui fini tiré par les cheveux.

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6/10. Mon premier Taniguchi papier. Mon second one shot. J’avais besoin d’une pause de manga aux histoires et scénari plus classiques avant de reprendre le 13eme tome de Vinland Saga.

Je ne sais pas trop sur quel pied danser avec Le journal de mon père. Je dois dire qu’au vu de son statut de culte, je ne me suis pas laissé porté par le récit mais plus par les questions idiotes de «  alors j’aime ou j’aime pas ? ». C’est un drame familial qui me semblait plutôt classique au debut.

Disons que jai trouvé la premiere partie sur les raisons qui l’ont poussé à couper les ponts peu surprenante, assez linéaire.

Lorsque Yoichi grandit, les choses deviennent plus concrètes car les motifs semblent plus rationnels, hors du prisme impulsif et naïf de l’enfance.

Armée de ses elipses et flashbacks, la narration fait mouche et a reussi à maintenir ma volonté de passer au chapitre suivant.

C’est ainsi que la magie a soudainement opéré lors des ultimes chapitres grâce à des situations qui ont fait écho à ma propre expérience et ont suscité de vives et fortes émotions.

Pour conclure en quelques mots : Une bonne introduction à Taniguchi qui maîtrise l’art de transcrire les émotions du quotidien.

NB : Au vu de certaines notes, il mérite un 7 ou certaines œuvres doivent avoir leurs notations revues à la baisse (coucou death note).

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« Si Dieu existe je crois qu’il déteste les humains…. Par avidité on a épuisé presque toutes nos ressources naturelles et on vient jusqu’ici pour chercher des métaux rares et de l’hélium 3. on creuse partout dans discernement… Sans parler des débris qu’on balance dans l’espace. On est comme des invités mal élevés qui ne comprennent pas qu’il est temps de partir. »

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Pour le moment ça ne casse pas 3 pattes à un canard… 5/10 à la moitié de l’ouvrage. le dessin est - parfois - beau, mais le scénario est vraiment rushé et facile. Tout s’enchaîne inlassablement sans émotions. Tous ces éléments rendent, à mon grand regret, le cocktail assez quelconque.

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Une jolie trouvaille qui se cache sous ses allures de dessins enfantins mais regorgent de récits glaçants inspirés de faits réels. Pour public averti. Aurait aussi mérité d’être plus compact et condensé.

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C’est vraiment très moyen.

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C’est bien mais loooong. Urasawa tisse une énorme toile avec ses histoires secondaires de laquelle il ne sait parvient pas a se debarasaser. Lu en format Deluxe est l’intérêt se relance au 6eme tome puis se perd après une légère montée en régime. Plus d’infos dans ma critique.