Mes écoutes 2017

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Début de ma période "rattrapage des Doors, ère Jom Morrison" qui aura duré environ une après-midi.

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Strange Days, c'est cool. Morrison le considérait comme l'un des plus réussis, et il est vrai que c'est le cas, même si je le trouve assez oubliable après les première écoutes de par l'absence de "gros" morceau - à l'instar de Break on Through ou Light My Fire sur le premier.

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C'est triché que de comparer Waiting for the Sun à The Doors, le premier album. Mais je trouve l'écart entre ces deux productions assez significatif, et cela me désole - un peu.

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Pour comparer, l'album Aerosmith, de Aerosmith, m'a fait le même effet.
Sauf que sur Aerosmith y avait Dream On, et que là, y avait pas grand chose. Encore moins l'empreinte du groupe.

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Morrison Hotel, à l'époque, c'était le comeback d'un groupe mythique après une pseudo traversée du désert - notamment causée par les dérives d'un leader charismatique mais légèrement trop porté sur la bouteille.
Aujourd'hui, c'est un enchaînement de morceaux qui doivent bien plus au blues qu'au rock, vraiment convaincant dans l'ensemble et c'est cool.

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Dernière œuvre de Morrison, celle d'un artiste accompli, le disque parfait à ses yeux.
Et il est vrai - oui, il est vrai - que L.A. Woman est génial, bien plus que ça même.
Mais de par cette influence bien plus penchée blues que rock, personnellement, je m'en souviendrais surtout comme les adieux d'un chanteur et d'un groupe mythiques, via un album rempli de qualités.

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Fin de ma période "rattrapage des Doors, ère Jim Morrison" qui dura une après-midi.

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Bwarf, je vais pas continuer de tirer sur une ambulance déjà à la ferraille, mais il est indéniable que Suicide Squad a marqué les esprits - mais pas pour les bonnes raisons. Et il est également indéniable que sa BO-playlist-Spotify est assez peu convaincante passés des trucs comme Heathens ou bien Standing in the Rain.

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J'aime beaucoup Orelsan, le Chant des Sirènes est un de mes albums préférés, et dans Perdu d'avance il y a des trucs cools et des trucs moins cools, mais dans l'ensemble - et pour des trucs comme Différent - on reste sur des bons bails.

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Pour celui-là, je vais perdre toute objectivité. Car Life is Strange, en plus d'être mon jeu préféré, continue de m'accompagner musicalement, avec des morceaux comme Santa Monica Dream, Obstacles ou encore Something Good. L'ensemble se marie parfaitement avec l'ambiance du jeu, et crée quelques émotions un fortes, même si douloureuses dans le contexte du jeu.

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Là aussi, je vais être quelque peu pas du tout objectif en vous disant que la BO de La La Land est incroyable tout comme le film dont elle est tirée, que Another Day of Sun et The Audition sont des immenses claques et que City of Stars est une chanson magnifique.

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Beaucoup ont été déçus par le nouvel album du Crou, et si j'en faisais partie, après plusieurs écoutes on y décèle des trucs pas si mal et une volonté d'introspection un peu plus présente que sur les précédents albums.

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Je ne pense pas que Human ait eu, à un quelconque moment, l'ambition de révolutionner l'industrie musicale. On a des morceaux assez cools, comme Innocent Man, voire très cools, comme le morceau titre, mais à part ça rien de bien ouf pour un album sympathique.

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Alors là on rentre des bails quasi légendaires en s'attaquant au double monument que sont Pink Floyd et The Wall. Et si pendant longtemps j'ai eu une grande préférence pour The Dark Side of the Moon, rapidement The Wall m'a bien plus convaincu par une composition d'ensemble légèrement plus variée et intéressante.

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Si on pourra regretter, dans ce premier album, des morceaux que l'on pourrait juger commerciaux, le tout reste malgré tout très cool, tripant et kiffant.

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À mes yeux un peu moins mémorable que le précédent - et beaucoup moins que le suivant - Stup Religion reste toutefois un album assez cool du Crou, que ce soit dans le fil rouge ou dans les morceaux qu'il propose.

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Vu que je suis un assez grand fan de la chanteuse, je me suis penché sur son travail du début. Et on y retrouve des similarités avec ses travaux plus récents, même si cela reste assez balbutiant dans l'ensemble.

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À mes yeux l'un des albums les plus sous estimés de Bowie - même si on va avoir l'occasion d'y revenir. Sans vouloir dénigrer le monument qu'est Ziggy Stardust, je trouve que "Heroes" est le vrai grand album de l'artiste, mais cela reste subjectif.

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À la première écoute de AM, si des morceaux comme R U Mine ? ou Do I Wanna Know - les plus médiatisés - sont rapidement restés, le reste était un peu passé à la trappe. Et les jours s'enchaînant, je revenais de plus en plus vers lui avant de me rendre à l'évidence : l'album communique avec moi de façon étrange, et j'aime ça.

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Get Born, en s'ouvrant sur deux morceaux incroyables, voguent entre les influences sans parvenir à trouver une identité propre à aucun instant. Il en résulte un album plutôt cool, quoiqu'assez oubliable.

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Alors que le monde crie au scandale et à la déception, personnellement je crie au génie : Gorillaz a toujours été en avance sur son époque, et c'est encore le cas. En proposant des sonorités rarement vues de nos jours, et en ayant un fond politique assez intéressant, Humanz s'impose quasi instantanément comme un album important du groupe virtuel, et comme un travail titanesque venant de Damon Albarn.

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Avant d'être une réelle découverte, le groupe The Smiths restait une blague qu'on se faisait entre potes. Puis, avec l'arrivée de ma platine vinyle, je suis tombé sous le charme de la compil Louder Than Bombs du groupe. Certains diront que The Queen Is Dead est leur chef d’œuvre, personnellement je répondrais qu'il ne faut jamais sous-estimé la puissance d'une compilation.

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À mes yeux l'un des albums les plus surestimés du bonhomme. Une fois ma haine pour la chanson titre mise de côté, il reste des morceaux franchement cools, quoiqu'oubliables dans l'ensemble et somme toute très différents de ce que fait l'artiste à son meilleur.

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Down the Way, c'était un peu la surprise inattendue. Si mon amour pour Santa Monica Dream n'est plus un secret, le reste de l'album sait se défendre en alternant morceau d'une puissance émotionnelle fracassante, et ballades lentes et agréables. Une petite découverte pas désagréable et franchement reposante.

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Si à mes yeux les deux morceaux forts de l'album sont et resteront Obstacles et To All of You, en brandissant une influence Radiohead non dissimulée, et en y ajoutant des sonorités variées et intéressantes, SWWFO - pour les intimes - est, là aussi, une bonne surprise loin d'être dégueu.

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Un double morceau d'ouverture assez incroyable, des morceaux de rocks vraiment cools et une voix venue tout droit des enfers. C'est bien, c'est frais, et français, donc c'est cool.

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Le premier album était une surprise rafraîchissante, et si le second avait déjà du mal à convaincre, il proposait tout de même quelques trucs neufs et intéressants. Pour RELAXER, c'est pareil. Plus introspectif et posé, avec un univers un peu différent, dont on retiendra surtout In Cold Blood et Adeline ainsi qu'une reprise de House of the Rising Sun assez intéressante et franchement pas dégueu.

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Si je ne connaissais le groupe de Albarn que pour la bien trop célèbre Song 2, l'album dont ce morceau est tiré se révèle être une très bonne découverte, qui, contrairement à Get Born, jongle avec les influences tout en parvenant à trouver une patte bien à elle.

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Aerosmith, j'ai bloqué avec l'album éponyme sans aller plus loin, et en ne retenant de l'expérience que l'incroyable Dream On. Et cette compilation a réussi à sauver les meubles en montrant les plus grandes qualités de ce groupe.

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Si on connait le susnommé Alexander pour son travail sur Edward Sharpe and the Magnetic Zeros, son album solo se trouve être un enchaînement de morceaux assez cools, mais manquant d'impact, et duquel on retiendra surtout Truth et Glimpses.

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Something You Might Like, bien loin d'être exceptionnel, reste malgré tout énergique et file une petite pêche pas désagréable.
Gros big up à la reprise de Father & Son.

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On en parlait un peu plus tôt : mais An Awesome Wave c'est un vent de fraîcheur tant au niveau des sonorités que de l'ambiance dégagée par l'album. À mes yeux, un classique moderne.