Mes jeux préférés sur la génération 16-bits (la liste qui réconcilie Nintendo et SEGA)

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Lorsque l'on veut être sûr de passer un bon moment de nostalgie vidéoludique, on choisit un bon beat'them all à l'ambiance urbaine si 1990. On choisit un jeu que l'on est sûr d'apprécier, un bon défouloir qui ne demande pas de réflexion. On choisit Streets of Rage ou l'un de ses successeurs (surtout le 2).

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Découvert sur Super Nintendo à l'époque ou une dizaine d'années plus tard sur Game Boy Advance, A Link to the Past, après les aventures mal vieillies de Link sur NES, offre peut-être la quintessence de ce que peut être un bon RPG sur une console 16-bits. Des graphismes simples mais colorés, atemporels, un gameplay réglé à la perfection et une histoire pleine de surprises et de générosité.

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Que ce soit ce premier volet ou l'une de ses suites sur console 16-bits, en version Super Nintendo ou Megadrive, les heures de plaisir et d'éclats de rire en multijoueurs sont tout ce que l'on demande à un jeu vidéo. Le nombre de circuits disponibles était impressionnant. On lui préférera peut-être Micro Machines V3 (même si les graphismes ont pris plus cher quand dans cette version toute mignonne), mais lancer une partie à deux est un moment de fun garanti.

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On préfère le 2e épisode (avec ses niveaux en fausse 3D jouables à 2), mais chacun trouvera son bonheur dans l'un ou l'autre des jeux de cette licence qui, si elle a été créée dans le but clair de concurrencer Mario sur son terrain, n'en reste pas moins l'une des plus grandes réussites de la Megadrive (les épisodes sur les générations de consoles suivantes étant plus que discutables).

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Pour beaucoup, le meilleur épisode de la licence. On regrette l'absence d'une version française (hormis un portage sur Game Boy Advance introuvable) et un scénario qui, quoique captivant, a parfois tendance à s'éparpiller.
L'introduction, avec sa musique et la marche des trois armures robotiques dans la neige, est un majestueux moment du jeu vidéo.

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En plus d'être beau et superbement animé, ce jeu a un gameplay original et justifié par le scénario. Celui-ci s'inspire d'ailleurs du conte italien Pinocchio.
Le jeu est un point'n click dans lequel le personnage principal est un robot auquel on donne directement des ordres (marcher, interagir avec un objet) via une petite fée qui fait office de pointeur pour nous et de conseillère pour Pino(cchio).
Il y a aussi une gestion de l'humeur et de l'apprentissage, un peu comme dans Creatures (sur PS1 et surtout PC), du farming et de la gestion de caractéristiques (comme dans Punch Club), de l'agriculture et de l'achat de matériaux (comme dans Harvest Moon) et surtout le système de contrôle indirect du personnage de Pac-Man 2 : The New Adventures. Mais ce dernier est une horreur à jouer, là où Wonder Project J est un petit bijou, même s'il y a aussi quelques lourdeurs. L'efficace simplicité de l'histoire, la qualité des animations et les PNJ à mourir de rire chassent vite ces modestes défauts.
Le jeu n'est malheureusement jamais sorti en PAL ou US, mais il est disponible en ROM, traduit par des amateurs en un français à peu près correct. Allégresse !

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Cette espèce de curieux précurseur à SPORE (pour les 2 premières phases en tout cas) est un jeu au gameplay plutôt redondant (avancer, attaquer, avancer, attaquer) et assez classique (action-plate-forme), mais il y a quelque chose de captivant à pouvoir faire évoluer son animal à peu près comme on le désire. Sans être exempt de défaut, c'est un jeu tout à fait sympathique et prenant.

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Excellent mélange de puzzle-game et de beat'them all, que ce soit seul ou en duo, malgré quelques moments stressants. Et en plus il y a des pirates, signe d'un jeu vidéo de qualité.

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Avec ce jeu, jamais sorti en PAL mais implémenté dans la SNES-Mini, la console montre ce qu'elle a de meilleur. C'est beau, coloré, drôle, original (un RPG dans l'Amérique des années 1990, ce qui change du Moyen-Âge ou de l'espace infinie), mais surtout, c'est plus fin, plus vicieux que ça n'en a l'air. On adore au plus haut point !

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Nous n'avons que des termes élogieux pour qualifier ce jeu Disney. L'un des indispensables de la génération 16-bits.

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La guerre des consoles passait aussi par la guerre des versions d'un même jeu. Dans le cas d'Aladdin, la Megadrive et la Super Nintendo eurent chacune leur jeu et ils sont très différents. Pour être honnête, ils sont bons tous les deux et ont des qualités que l'autre n'a pas (Meilleurs musiques et graphismes chez Virgin/Megadrive mais scénario plus fidèle au dessin animé chez Capcom/SNES). Par pure nostalgie d'enfance, ma préférence va à la version Megadrive.

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Étrangement, beaucoup de joueurs préfèrent la version Master System/Game Gear. Je possédais moi-même cette version à l'époque et elle ne m'a jamais beaucoup plu, au contraire de "Land of Illusion". Cette version découverte sur le tard a été une vraie révélation. Le remaster de 2013 est également très plaisant, quoiqu'il manque un peu de finitions.

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A faire à deux pour un grand moment de fun. Le principe de l'écran qui se sépare en deux ou se réunit, selon que les deux joueurs sont éloignés ou proches, est excellent.

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Bien qu'il soit d'une difficulté extrême, Ghouls'n Ghosts, étonnement, n'est à aucun moment frustrant, injuste ou pénible. J'ai une préférence pour la version Megadrive du jeu, par rapport à Super Ghouls'n Ghosts sur SNES.

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N'ayant joué qu'à la version Megadrive, je ne saurais pas faire la comparaison avec la Super Nintendo, mais ce jeu est un très bon défouloir dans un univers western (genre trop peu exploité, mais qui offre très souvent de bons jeux).

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Ce jeu a de quoi laisser dubitatif. Très lointain cousin d'un Zelda et affichant des graphismes qui hésitent entre le superbe et le kitch, il offre une aventure mal équilibrée (tantôt trop facile, tantôt à la limite de l'impossible et du frustrant) et assez courte, mais pourtant plaisante.

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World of Illusion est la preuve parfaite qu'un jeu court et facile peut être un bon jeu et une expérience agréable. Après une rapide prise en main, il faut compte à peine une demi-heure pour venir à bout de l'aventure. Cependant, la rejouabilité est là puisque l'on peut choisir entre Mickey et Donald, qui disposent chacun de niveaux propres. On peut aussi jouer à deux, avec de bonnes idées de coopération et, là encore, des niveaux inédits. Un jeu beau et enchanteur auquel on revient toujours avec plaisir pour des petites sessions de détente.

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Pour certains fans, il est le meilleur RPG, toute époque et tout support confondus. Je ne suis pas loin de leur donner raison, ne serait-ce que pour l'OST.

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Pouvoir incarner Michael, retrouver les scènes emblématiques du film et écouter les titres de l'album remixés par la Megadrive a quelque chose de jouissif.

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Contrairement au titre sur NES, frustrant au possible, ce beat'them all nerveux et coloré est un plaisir à prendre un main et un défouloir tout à fait satisfaisant.

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Je saurais difficilement conseiller la version Megadrive ou Super Nintendo (différences dans l'affichage des couleurs et la transparence de l'eau), mais c'est dans tous les cas un excellent jeu avec des musiques très mignonnes (qui en agaceront certains). On peut switcher entre 3 costumes et donc 3 gameplays différents. On peut incarner Mickey ou Minnie et jouer à deux en coopération pour un jeu pas tellement difficile (continues illimités), mais très plaisant et que l'on termine en une petite heure.

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La maniabilité et la précision sont assez calamiteuses, mais pourtant le fun est au rendez-vous lors d'un match à deux.

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Excellent petit jeu sorti uniquement au Japon (mais ce n'est plus un problème aujourd'hui). Mélange entre Bubble Bobble, Kirby, Super Mario World et PC-Kid (les 2 jeux sont d'Hudson Soft et on reconnaît leur style graphique kawai). Pour l'anecdote, l'écran du poisson-pomme (Trouple King) dans Shovel Knight semble être un hommage direct à l'un des boss de DoReMi Fantasy.

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Très bon petit jeu sorti en toute fin de vie de la Super Famicom (c'est une exclusivité japonaise, mais il existe de bonnes traductions non-officielles). C'est un clone presque parfait de Zelda A Link to the Past (gameplay, succession de donjons) avec un peu de Earthbound (des météorites tombent sur un village paisible et annoncent une invasion extra-terrestre).Gunman's Proof prend place dans un univers western trop peu représenté à mon goût dans le jeu vidéo. Assez court, mignon, très bien animé et bénéficiant d'une bande son de qualité, c'est une de ces petites pépites découvertes sur le tard.

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On retrouve l'univers complètement kawai et barré du héros de la PC-Engine et on parcourt les mondes amusants et colors au pas de charge. La Super Nintendo permet de bénéficier d'un univers graphique et sonore aussi agréable pour profiter du jeu que celui de la console d'Hudson Soft.
En revanche, le héros a un peu des savons sous les pieds et manque de souplesse. C'est dommage !