Mon Etrange Festival 2018

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High School Musical avec des zombies, on se dit que ça va peut-être apporter un souffle de renouveau 5mn puis on sait que c'est ridicule et très con. Un des navets du festival.

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Salle quittée après 20mn, film étrange sans être jamais intéressant. Quand on ne comprend pas un minimum les enjeux d'un film après 20mn, il est temps de partir.

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Un drame familial avec un soupçon de "La vie est belle" à la sauce Cinéma.
Le film n'est pas long mais en parait le double avec de gros problèmes de rythmes. L'histoire du père reprise tout au long du métrage, si on comprend bien le parallèle avec sa vie et la volonté d'égayer celle de son fils est quand même bien lourde. Bref des défauts qui plombent le film même s'ils possèdent quelques séquences réussies avec une pointe d'humour bienvenue en plus d'être multi référentiel et nostalgique du cinéma pré- ère numérique.

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Pas aussi percutant et dérangeant que prévu, mais ce film norvégien tiré de faits rééls de 2011 et tourné en un plan séquence reste une épreuve intéressante, le sound design reste impressionnant, tous les acteurs ne sont pas parfaits mais l'héroine s'en tire très bien. Même le final est réussi.

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La bonne surprise du festival, la rencontre de 2 destins brisés, 2 personnages attachants aux destins tragiques et qui vont s'allier par la force des choses. On ressent direct les inspirations de vendredi 13 pour le cadre et les effets gores, l'exorciste pour les maquillages et un peu de Morse pour la relation improbable entre un monstre et un humain lambda.

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Un délire WTF assez étonnant, il faut le voir pour le croire.
Plutôt amusant même si la fin traine un peu en longueur.

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Un trip jubilatoire avec un Nic Cage en roue libre mais dans le bon sens du terme. Ambiance 80's et revanche généreuse avec ses SFX bien gores sont au programme.

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Film composé de 8 sketchs certes inégaux en qualité mais dont la diversité, l'ambiance et les approches de réalisation restent intéressantes.

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Un Raid à l'horizontal, les hautes performances martiales en moins mais elles restent tout à fait appréciables. C'est violent, speed, bourrin, fun et reste clairement le plaisir coupable du festival.

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Ca commence déjà mal, avec une scène absolument pas crédible puis ça vire au mélodrame, tout ce qu'on attend pas d'un film de vigilante. L'histoire est assez bancale, l'héroine étant la pire poissarde d'amérique. Bref à moins d'être une féministe acerbe pas trop regardante sur la crédibilité de l'histoire, à éviter. Je cherche encore ce que le film fout à l'Etrange.

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Le commun des mortels sera hermétique à ce film, en noir et blanc non contrasté la plupart du temps, ce n'est pas si compliqué à comprendre mais on peut décrocher assez vite par manque d'intérêt. Les premiers éléments fantastiques démarrant assez tard dans le film, je me suis quand même demandé ce qu'il foutait dans le festival au départ.

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Chef d'oeuvre d'espionnage, l'antithèse d'un 007, bien écrit, magistralement joué, bien rythmé, (on ne sent pas les 2h20) avec de vrais enjeux. Le final est superbe. La perle de l'Etrange *_*

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Si vous voulez terminer la soirée avec plein d'idées visuelles, un scénario qui part dans tous les sens à la limite du grotesque, des acteurs surjouant au paroxysme et une actrice charismatique montante Meiko Kaji, c'est le film rêvé. Film à ne pas prendre au 1er degré, sinon il ne dépassera pas la note de 2, en fait je viens de réaliser qu'il peut rentrer dans la case nanar, c'est nawak mais c'est fun ^^

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Histoire d'amour sur fonds d'intrigues Yakuza. La réalisation est plutôt classique mais assez classieuse avec un bel éclairage et des acteurs mis en valeur. Seul bémol, l'histoire assez lente n'est pas franchement captivante. Assez moyen au final.

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L'histoire me vendait du rêve qu'elle n'a pas su matérialiser. L'angle est pourtant original mais certains détails me dérangent. Le tout reste correct mais j'attendais mieux.

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J'avais un gros à priori sur le cinéma Kazak, c'est envolé, Adilkhan Yerzhanov très inspiré par le travail de Takeshi Kitano (un réalisateur que j'affectionne), livre un film à la photo somptueuse accompagnée d'une musique qui l'est tout autant. Très belle prestation des acteurs principaux livrant des personnages attachants aspirants à une vie meilleure et devant faire des choix cruciaux pour leur avenir.
Peut-être ai-je raté des références, le titre et certaines citations étant tirés des écrits d'Albert Camus.

Très belle surprise donc, le film devrait sortir en salle sous peu en France, d'après le réalisateur qui était présent durant la séance de mardi soir, et qui nous expliquait qu'il serait persona non grata au kazakhstan sans Cannes et les festivals. Donc cette rétrospective est la bienvenue et m'a donné envie de découvrir le début de sa filmographie.

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Il semble que Constructors soit la base du film suivant, The Owners tellement l'histoire possède de similitudes, la gamine est d'ailleurs la même actrice.

Yerzhanov pose le problème de la corruption policière, créant ou modifiant les lois arbitrairement et sans preuve, sujet qui sera amplifié et mieux développé dans The Owners.

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Stray Cat Rock 5, beaucoup plus fun que Machine Animal mais attention c'est du méga n'importe nawak, c'est presque un nanar pur jus, le final est énorme.

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Un cauchemar matérialisé par une suite de séquences telles des tableaux ou les actions se situent souvent sur plusieurs niveaux. C'est un pur film d'ambiance avec un style artistique particulier mais esthétique. Un film contemplatif qui joue avec les ombres et ou l'on trouve encore beaucoup de plans et de personnages inspirés du cinéma de Kitano.

Un film qui ne plaira pas à tout le monde mais plus accessible lorsqu'on connait un peu l'univers du réalisateur et ses thématiques habituelles.

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Ce film a 37 ans mais possède encore une puissance rarement égalée sur le sujet, c'est un drame mais au final c'est le film du 24ème Etrange Festival qui m'a le plus choqué et celui qui vous laissera penser que votre vie est plus cool que vous ne le pensez.
Cette déchéance graduelle et infernale jouit d'une très bonne interprétation et coupera directe toute envie de se lancer dans l'aventure des drogues dures.