Mon royaume pour une note

Annotation :

https://www.youtube.com/watch?v=8HON4AswPVk

Les deux parties d'un diptyque qui ne devrait pas en être un, tant l'intensité dramatique trouve son ampleur dans l'écoute entière. Mais dramatique est-il vraiment le mot ?

Annotation :

https://www.youtube.com/watch?v=f1CNNf9iU9Y

Beaucoup d'œuvres de ce génie minimaliste pourraient figurer ici. Une lente litanie, un orgue triste, de douces voix en polyphonie, marque de fabrique de Pärt et ce que j'aime en premier lieu dans sa composition. La BO d'une errance ? En tout cas, le crescendo final, qui commence un peu avant la minute 8, est peut-être ce qui existe de plus terrible sur terre.

Annotation :

https://www.youtube.com/watch?v=D3kgofxvrsc

Fermeture de l'album du même nom, le premier de l'artiste. Une plage instrumentale et minimaliste de guitare et de clavier, menée par une batterie tranquille. Le son est typique du genre et de la période, on dirait même qu'il y a un pain à la guitare un moment donné. Mais peu importe. Je ne sais pas ce qui fait de ce morceau ce qu'il est... La naïveté ? La nostalgie ? La mélodie ? Sur le papier on ne parierait pas une clope dessus, et pourtant...

Annotation :

https://www.youtube.com/watch?v=uLSUQYzqXZ0

Reprise du poème du même nom, par Christine de Pisan. Ce qui rend le morceau aussi exceptionnel, c'est d'une part les lignes acoustiques, d'autre part la voix complètement habitée de Famine. Et puis l'atmosphère de donjon crade, hors du temps mais sublimée.

Annotation :

https://youtu.be/bN84vwv4A7A?t=1499 (à 25mn, le morceau isolé n'étant pas dispo)

Mon morceau préféré d'Erang à ce jour, avec cette ligne mélodique qui chute à chaque fin de phrase, comme si la nostalgie était trop lourde à porter.

Annotation :

https://www.youtube.com/watch?v=NosvI-VUZTQ

Le refrain, I M M E N S E.

Annotation :

https://www.youtube.com/watch?v=830xNRZg3Fo

Le morceau complet. Toujours je reste hypnotisé pendant 12 minutes quand il m'arrive dans les oreilles.

Annotation :

https://www.youtube.com/watch?v=xha69b9xU-A

Sans commentaire.

Annotation :

https://www.youtube.com/watch?v=yXCA9_RRG-E

Ici, c'est la voix trébuchante et le texte lui-même qui remuent profondément. En particulier le refrain, qui fait émerger des espérances.

Annotation :

https://youtu.be/T6UI46hgv4o?t=1850

A 30:50. La voix, la mélodie elle-même.

Annotation :

https://www.youtube.com/watch?v=_fKxSFcHyek

La caution calme et (presque) instrumentale d'un album noir et tortueux à souhait. C'est un voyage dans les profondeurs abstraites d'une vision subjective (rien que le titre quoi), avec des cuivres perdus dans les limbes, des cordes, du piano et même, il me semble, une basse profonde au début. C'est à partir de 10:53 que le morceau laisse éclater tout son potentiel émotionnel. Je le sens arriver, et pourtant je suis surpris chaque fois qu'il survient.

Annotation :

https://www.youtube.com/watch?v=yoLtVJlyOdg

Sans commentaire #2.

Annotation :

https://www.youtube.com/watch?v=2aIynRhhA-s

La plage qui s'étend à partir de 1:17.

Annotation :

https://www.youtube.com/watch?v=MiB16TPNa88
Les parties violon, les parties ambient, les parties mur de son... Tout le morceau, en fait.