MySTiQUES RHéNANE et FLaMANDE (XIIIe-XIVe siècles)

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* HILDEGARDE de BINGEN (1098-1179 ) : sainte de l'Église catholique. religieuse bénédictine mystique, compositrice et femme de lettres franconienne, elle appartient au renouveau religieux du XIIᵉ siècle, qui est à la source de la mystique rhénane après sa mort.

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* (1098-1179 ) : sainte de l'Église catholique du XIIᵉ siècle.
Hildegarde de Bingen est une religieuse bénédictine mystique, compositrice et femme de lettres franconienne.

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* (1098-1179 ) : sainte de l'Église catholique du XIIᵉ siècle.
Hildegarde de Bingen est une religieuse bénédictine mystique, compositrice et femme de lettres franconienne.

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* (1098-1179 ) : sainte de l'Église catholique du XIIᵉ siècle.
Hildegarde de Bingen est une religieuse bénédictine mystique, compositrice et femme de lettres franconienne.

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* (1098-1179 ) : sainte de l'Église catholique du XIIᵉ siècle.
Hildegarde de Bingen est une religieuse bénédictine mystique, compositrice et femme de lettres franconienne.

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* (1098-1179 ) : sainte de l'Église catholique du XIIᵉ siècle.
Hildegarde de Bingen est une religieuse bénédictine mystique, compositrice et femme de lettres franconienne.

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* Maître ECKHART (1260-1328).

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* ALBERT le GRAND (1193-1280).
Le Commentaire de la "Théologie mystique" du théologien grec Denys (VIe siècle, dit "le Pseudo-Aréopagite") qu'Albert le Grand propose, est un monument de premier ordre, fruit de l'âge d'or de la théologie de notre XIIIe siècle. Discernant l'enracinement de l'œuvre dans la tradition des Pères grecs, Albert propose ici une interprétation des notions de mystique, foi, nuit et grâce divinisante. Il insiste sur le rôle primordial de l'intelligence dans l'adhésion de la foi aux réalités divines. Reliant les notions parentes de mystique et de mystère – le mystère du Verbe incarné révélé – il entend par mystique l'accomplissement de la foi théologale en sa référence au Christ Révélateur. Une Introduction précise utilement l'essentiel de la démarche négative selon Denys. Cette traduction – première version française – rappelle en note les principales explications préliminaires offertes dans les commentaires rédigés par Albert sur la Hiérarchie céleste et les Noms divins.
Ce livre comprend également la traduction des Épîtres I à V qui élucident des points obscurs de la Théologie mystique. Ce Commentaire a exercé une notable influence sur Thomas d'Aquin (disciple direct d'Albert. Il a également favorisé l'œuvre mystique de Maître Eckhart, centrée sur la relation directe du fidèle avec le Verbe divin incarné.

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* Albert le Grand (1193-1280).

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* Albert le Grand (1193-1280).

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* Maître ECKHART (1260-1328).

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* Maître ECKHART (1260-1328).

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* Maître ECKHART (1260-1328).

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* Maître ECKHART (1260-1328).

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* Maître ECKHART (1260-1328).

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* Maître ECKHART (1260-1328).

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* Maître ECKHART (1260-1328).

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* Maître ECKHART (1260-1328).

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* Maître ECKHART (1260-1328).

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* Maître ECKHART (1260-1328).

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* Maître ECKHART (1260-1328).

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* Maître ECKHART (1260-1328).

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* Maître ECKHART (1260-1328).

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* Maître ECKHART (1260-1328).

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* Maître ECKHART (1260-1328).

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* Maître ECKHART (1260-1328).

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* HADEWIJCH d'Anvers (Env.1200-Env.1260) :
L’on sait d’elle très peu de choses avec certitude, et l’on en est presque toujours réduit aux conjectures.
Mystique, poétesse, sans doute béguine de bonne famille, elle est active dans le duché de Brabant (Saint Empire romain germanique). Ses écrits datent des environs de 1240, comprennent un Livre de visions, des poèmes strophiques et un recueil de correspondances. On a gardé 45 Poèmes strophiques, 14 Visions, 31 Lettres et 16 Lettres rimées. Ils appartiennent, avec ceux de Béatrice de Nazareth, aux textes littéraires les plus anciens rédigés en langue néerlandaise. Ses poèmes, d’une beauté et d’une virtuosité rares, constituent la poésie mystique en langue vernaculaire la plus ancienne connue dans la tradition européenne.

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* HADEWIJCH d'Anvers (Env.1200-Env.1260) :
Mystique, poétesse, sans doute béguine, elle est active dans le duché de Brabant (Saint Empire romain germanique). Ses écrits datent des environs de 1240, comprennent un Livre de visions, des poèmes strophiques et un recueil de correspondances.

Le mysticisme permet à l’Homme de faire dès ici bas l’expérience de Dieu. L’aboutissement de la piété, laquelle se réalise par la connaissance de soi, l’ascèse et la chasteté, est l’union mystique. Le chemin qui conduit à la fusion avec Dieu le Père est l’imitation du fils de Dieu ; celui-ci, objet de l’élan d’amour (Minne), est regardé comme l’incarnation du mystère divin. Hadewijch appréhende l’union mystique de manière sensuelle, comme une expérience personnelle, lors de laquelle la femme joue un rôle passif. Le véritable Amour étant un amour spirituel.

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* HADEWIJCH d'Anvers (Env.1200-Env.1260) :
Mystique, poétesse, sans doute béguine, elle est active dans le duché de Brabant (Saint Empire romain germanique). Ses écrits datent des environs de 1240, comprennent un Livre de visions, des poèmes strophiques et un recueil de correspondances. On a gardé d'elle 14 Visions.

Son mysticisme, réfractaire aux spéculations métaphysiques complexes, est avant tout d’ordre affectif. L’expérience mystique se réalise à travers la "Minne" (l’Amour envers Dieu et la charité envers le prochain) et par l’imitation du Christ. Ses poésies mystiques, apparaissent par leurs thèmes et leur structure comme une transposition religieuse de la poésie courtoise romane.