Nos jeux préférés sur MS-DOS et parfois méconnus

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Stunts, pour les intimes, compte encore de nombreux fans. Et pour cause, malgré une 3D préhistorique et un mode course famélique, il propose un éditeur de circuits simple et efficace, jamais égalé depuis.

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Le meilleur moyen de se prendre pour Dieu et le plaisir de voir son peuple bâtir et grandir. On adore envoyer des calamités chez le peuple ennemi (forcément mauvais) : tremblement de terre, marécages, volcan, chevalier surpuissant, etc.

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Les animations étaient sublimes pour l'époque et l'idée de donner une heure (avec vies illimitées) pour terminer le jeu était excellent.

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Reprenait les éléments du premier jeu et apportait tout un tas de nouveautés et d'environnements somptueux.

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Une simulation extrêmement complète, même aujourd'hui, et très belle pour l'époque.

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Très bon et très joli jeu de plateforme, un peu dans l'esprit de Chuck Rock. Assez difficile cependant.

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La version PC était semblable à la version Megadrive et même encore meilleure, avec une barre de vie mieux pensée, plus claire.

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Bien qu'il n'ait qu'un rapport lointain avec le film, ce petit jeu de plateformes est particulièrement savoureux.

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Jeu de stratégie très profond, avec la possibilité de dessiner les plans de son propre château, de gérer taxes, commerce, assignations agricoles, gestion des armées, spécialisation des comtés, etc.

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On creuse des galeries dans des environnements variés à la recherche de trésors. Possibilité d'acheter un tas de petits bonus pour aménager sa mine (explosifs, ascenseur, téléporteur, wagonnet, etc.). Le système de déplacement des personnages était un peu lourd (5 mineurs à gérer qui se mettent à faire n'importe quoi lorsqu'on ne leur donne pas d'ordres), mais l'humour et les graphismes faisaient mouche.

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Celui par lequel tout a commencé. Affreusement vieilli face à ses successeurs, il reste une référence du city-builder. On adore créer une énorme mégalopole et envoyer Godzilla la ravager.

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Ceux qui ont joué à se jeu auront immédiatement la musique principale qui se jouera en boucle dans leur tête. Ou bien le petit roucoulement lorsqu'un pigeon voyageur apportait un message. Ou le petit "Youpie !" des prospecteurs lorsqu'ils trouvaient du minerai. Lent et répétitif peut-être, mais pourtant tellement passionnant.

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Extension du 1er jeu (mais jouable en stand-alone) grâce auquel nous avions découvert l'univers des Lemmings. La licence est un indispensable du puzzle-game.

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Puzzle-game vaguement apparenté à Lemmings. Ici, on ne donne pas des ordres à des personnages, mais on dispose d'une liste d'objets aux fonctions spécifiques pour résoudre le puzzle (par exemple amener une balle d'un point A à un point B en plaçant des tapis-roulants, ramener la souris dans son terrier en évitant les chats). Certains niveaux jouent sur la gravité, ce qui complexifie encore la réflexion.
On apprécie aussi beaucoup le mode bac-à-sable qui nous permet de créer la machine loufoque de nos rêves.