Oh mais tu joues comme une truffe toi (Version masculine)

Annotation :

Christian Clavier

Sarko avait promis d'arrêter la politique en cas de défaite. Pourvu que ses potes s'en inspirent...

Et un homme de ce talent méritait bien une liste en son honneur : http://www.senscritique.com/liste/Et_le_prix_du_gros_beauf_du_cinema_francais_est_remis_a_Chri/77238

Annotation :

Gad Elmaleh

Le Vel d'Hiv pour les nuls...

Annotation :

Jean Reno

Annotation :

Élie Semoun

Faites des gosses...

Il y a des jours où je déteste ma fille. Des heures perdues à essayer de lui faire aimer le cinéma et au moment de choisir un film à regarder ce soir avec son adorable papa, elle me plante un couteau dans le dos. Demain je vends ses organes.

Annotation :

Mouloud Achour

Oh le beau nanar !!!

Annotation :

Samuel Le Bihan

Annotation :

Christophe Lambert, tellement fort qu'il mérite une liste pour honorer tout son talent... http://www.senscritique.com/liste/Qui_c_est_le_roi_du_nanar_C_est_Cri_Cri/77106

Le seul film où je me suis vraiment posé des questions, c'est "Vercingétorix", parce que, contrairement à ceux que je viens de citer, il n'y avait aucun respect sur le plateau. Ni de la part de certains acteurs, ni de la part du metteur en scène, ni de la part des producteurs. Je me suis retrouvé seul dans ce bordel, mais je n'ai pas voulu lâcher. Si je m'étais barré, on m'aurait fait un procès, bon… Mais je me disais qu'il ne faut pas abandonner un film en cours, même si ça dérape. Là, ça dérapait pas, c'était Holiday on ice... "Vercingétorix", ç'aurait pu être un "Braveheart" à la française – et c'est comme cela qu'on me l'avait vendu ! Quand Jacques Dorfmann, le metteur en scène, me l'a présenté, il m'a parlé d'une grande fresque, sur le plateau on avait 3 000 figurants… C'était un tournage très lourd. Mais bon, quand le réalisateur arrive déjà bien attaqué à 8 heures du matin et qu'à 15 heures il est écroulé, saoul comme une vache au milieu des figurants et qu'il hurle « fin de tournage ! », ça devient ingérable. L'équipe ne le respectait plus, la production non plus, les acteurs encore moins… Il y avait des comédiens qui, quand ils voyaient que le réalisateur était saoul, se disaient : « Ben, si lui se le permet, pourquoi pas moi ? » (Christophe Lambert dans Sofilm - 10/2015)

Annotation :

Steven Seagal

Annotation :

Jean-Claude Van Damme

Annotation :

Jaden Smith

Annotation :

Patrick Sébastien

Et en plus il réalise, la totale...

Annotation :

Jean-Marie Bigard

Annotation :

Richard Berry

Il faudrait rappeler à ces notables du cinéma que l'on parle encore de septième ART quand on parle de leur activité...

Annotation :

Vin Diesel

Annotation :

Kad Merad

Annotation :

Franck Dubosc

Annotation :

Cali

Une telle cohérence dans la médiocrité, c'est en effet "magique"...

Annotation :

Antoine de Caunes

Annotation :

Michaël Youn

Annotation :

Jean Dujardin en impro capté par la caméra très fatiguée de Lelouch, ça fait foid dans le dos et même un peu pitié...

Annotation :

Vincent Lagaf'

micktaylor78 va être fier de moi, j'ai franchi le Rubicon : hier pour le 1er avril, j'ai décidé de me faire, car on n'est jamais mieux servi que par soi-même, une énorme blague : m'obliger à enfin regarder ce monument du cinéma hexagonal, ce "1.7". Pourquoi cette folie, ce suicide cinéphilique ? Parce que j'ai une très grande tendresse pour le nanar et que je rêvais en secret de trouver l'animal enfin capable de rivaliser avec "Le Jour et la nuit" de Lord BHL. Et là j'avoue mon énorme déception : "Le Baltringue" n'est pas un nanar, il n'en a ni la folie ni la poésie. C'est juste une énorme bouse.

Bisous à Ded et Aldorus.

Annotation :

Ash Stymest

La Graine et le fumier

Cette chose pourrait être sous-titrée la Foire à la truffe tant c'est un festival d'interprétations lunaires, la palme revenant à Ash Stymest. Ce jeune inconnu, souhaitons pour le bien du cinéma qu'il le restera, a le charisme d'une huître et le le regard du veau dans la luzerne. Ses apparitions devraient donc, à l'avenir, être plus nombreuses dans "30 millions d'amis" que dans le septième art.

Le temps étant un bien précieux en ce bas monde, j'ai décidé de vous faire un résumé de ce film. Pour économiser 103 minutes, cliquez ci-après : https://youtu.be/WkV6GtWV0JY

Annotation :

Ryan Gosling (qui conduit bien mieux qu'il ne danse et chante)

Moi : "Je vais publier une critique" - Maître Dupond-Moretti : "Ne faites pas ça malheureux"

Mon avocat m'a fortement conseillé de ne pas avouer ce que je pensais de ce GRAND film, arguant du fait que je risquais l'exclusion de SC et plusieurs procès pour diffamation si je répétais ici les mots que j'ai employés, lors de notre discussion, pour exprimer mon ressenti. Je ne dirai donc pas tout le bien que j'en pense. Bonne soirée à tous, je vous aime fort...

Vomir / Poisson / Jambon / Sourire niais / Glaces chimiques / Répétitions / En taule / Taratata dans ton... / Guimauve / Éparpillé façon puzzle / Maquilleurs en grève - Peau grasse / Baiser / Patte levée - Petits pas petits pas (Faites pas attention, je prends deux-trois notes, c'est tout)

NB : Si je finis au gnouf, une certaine personne mériterait de m'y accompagner. Un indice : regardez du côté de la Belgique...

Annotation :

Plus aucun doute, Roman Polanski mérite bien la taule... pour meurtre avec préméditation du septième art... Et grâce à lui c'est la foire à la truffe, Vincent Perez (et sa mèche) en fer de lance.

Annotation :

Javier Bardem

L'esprit de Noël ne m'ayant pas quitté, je ne vais pas dire ce que je pense de ce film. Par contre, si c'est un pastiche, il est évident que je suis prêt à revoir ma note.

NB : Il y a forcément une coquille sur l'affiche, c'est un Razzie Award qu'il a décroché le Javier, pas un Oscar.

Annotation :

Arthur Dupont et Olivier Gourmet

Le mec se prend pour les frères Coen mais son "Grand Froid" tourne à vide et pour la première fois de ma vie, j'aurais vu Olivier Gourmet (et Arthur Dupont aussi mais ça ce n'est pas vraiment une surprise) jouer comme une quiche, ce qui prouve la grande qualité de directeur d'acteurs de Monsieur Pautonnier.

Annotation :

Guillermo Pfening

Je pense avoir définitivement un problème avec Julia Solomonoff. Son cinéma a pour moi les défauts de ses qualités : elle aborde des sujets graves en douceur, en retenue, en pudeur. On s'y sent comme dans de la ouate, et certes la ouate c'est agréable, mais si confortable qu'on finit parfois par s'y endormir.

Et tout comme dans "Le Dernier été de la Boyita", j'ai trouvé ses personnages terriblement désincarnés, sans parler de l'acteur principal, Guillermo Pfening, qui a à peu près le charisme d'une huître.

En résumé, un film qui dit des choses importantes, d'une actualité brûlante, mais avec tellement de tiédeur.

NB : "Nobody's Watching" sortira le 25 avril

Annotation :

Kelner Macêdo

J'ai un peu le même sentiment avec 99% des films sud-américains qui arrivent sur nos écrans depuis un certain temps : ils ne sont pas désagréables à voir mais restent à la surface des choses, comme si les réalisateurs avaient beaucoup de choses à dire mais qu'ils ne parvenaient pas à le formuler à l'écran.

Deux exemples troublants car aux thèmes assez communs, bien qu'illustrés différemment : "Nobody's Watching" (film argentin toujours à l'affiche) et ce "Corpo Elétrico" brésilien (qui sortira le 16 mai). Ils abordent tous deux l'homosexualité et le déracinement géographique, mais ne parviennent pas à aborder frontalement les choses, ils les esquissent gentiment.

Autres points communs : des acteurs souvent très en-dedans et un chef opérateur visiblement en grève.

NB : Ce constat m'est apparu encore plus évident après en avoir discuté avec le metteur en scène, Marcelo Caetano, qui m'a raconté un film passionnant, celui qu'il pensait avoir accouché, très différent de celui que je venais de voir.

Annotation :

Tahar Rahim, Roschdy Zem et Grégoire Colin

Celui-ci pas étonnant que j'ai omis de le noter, et je remercie d'ailleurs mon cerveau de tenter de me le faire oublier, car l'expérience fut pour le moins douloureuse. Les dialogues font saigner les oreilles, les acteurs sont en roue libre complet, hormis peut-être Maïwenn, chaque scène est attendue et rivalise de bêtise avec la précédente, et on peut dire de Teddy Lussi-Modeste qu'il porte bien mal son nom quand on voit sa mise en scène.

En résumé, Jamel Debbouze devrait porter plainte pour atteinte à la vie privée, et chaque spectateur aussi, parce que personne ne mérite de subir cela.

Annotation :

Michael Shannon ferait passer le jeu de Marion Cotillard dans "Gueule d'ange" pour un summum de sobriété.

Pourquoi vous me regardez comme ça ? Ça pose problème que j'ai mis 5 à une bouse ?...