Parce que, chaque année, je prends pour résolution de lire davantage. 2016, quelques progrès en la matière ?

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Frais. Plein d'espoir. Comment vivre encore, avec la maladie et un verdict sans appel, enfermé dans un service dont on ne sort jamais.
On l'oublie souvent : un enfant malade reste avant tout, surtout, toujours : un enfant.
Ici c'est un ado, et il ne se laisse pas abattre !

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Pas le meilleur Gounelle. C'est un peu toujours le même discours, mais avec changement de sauce, inséré dans une histoire et un décors différents.

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Ce genre de livre est toujours difficile à noter ... parce qu'évidemment quand on note l'ouvrage, on donne l'impression de noter aussi la personne et ce qu'elle ressent.
Et ça n'enlève rien à l'atrocité de ce que vit cette mère, mais ça ne suffit pas pour faire un livre. Pour bien l'écrire. Et si ce n'était que ça...
Au fur et à mesure des pages, ça devient long et répétitif, à chaque page des adjectifs montrant à quel point sa fille était la perfection incarnée (je le conçois, qu'on le dise un peu est normal, mais à ce point on perd toute l'objectivité nécessaire à rendre ce témoignage percutant et "universel").
Et les dernières pages m'ont achevée. Définitivement. A quoi sert-il d'être à ce point moralisateur ! Le chagrin ne doit pas nous aveugler, et rien ne sert de se venger en accusant toute la profession d'enseignant. Et pitié, renseignez-vous avant de parler des professeurs de cette façon !!!! (le discours sur le rôle de professeur principal m'a donné des boutons, ses solutions simplistes et irréalisables également, et son paragraphe sur les élèves en marge et difficulté tout pareil. Non, si les établissement ne font pas plus de projets, ce n'est pas par manque d'envie, mais par manque d'argent. Non, si les professeurs ne changent pas de classe alors que leurs élèves si, ce n'est pas juste pour ne pas bouger leurs fesses. Et non, un professeur principal n'est pas quelqu'un qui reçoit 300 euros à la fin du mois juste pour assister à un conseil de classe. Merci mais non. Et désolée, vraiment, car j'ai envie de blâmer la terre entière pour l'injustice qui vous frappe (et je pardonne volontiers, les répétitions, le manque d'objectivité et le langage un peu jeuns !), mais incriminer de la sorte la totalité du corps enseignant n'est pas justifié...


RAJOUT : Oh scandale... Sa vision était déjà bien subjective, fausse concernant le corps enseignant et les solutions proposées... Mais en lisant cette article... C'en est fini !!! Je baisse donc ma note, qui était de 5 !
http://www.b-lisama.com/2016/09/tres-fachee.html?utm_source=_ob_share&utm_medium=_ob_facebook&utm_campaign=_ob_sharebar

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Ce livre est une petite partie d'une grande révolution dans ma vie.
Ce n'est pas (trop) moralisateur, pas seulement des grands préceptes : ce sont des exemples concrets, des solutions pour presque tout !!!
Comment bouleverser ses habitudes (et pour elle ça doit être bien plus dur que pour d'autres, parce qu'elle est partie de trèèèès loin !!) et sortir de cette société de consommation sur emballée.
Ca fait aussi bien relativiser sur nos possessions matérielles, ce qui nous sert vraiment, quelles sont les raison qui font qu'on garde les choses alors qu'on pourrait s'en passer. Ca permet de se poser des questions, et de faire un beau tri dans ses affaires.

Ce qui est dommage, c'est que ça aurait pu être ma bible. Mais non. Parce que dire que c'est 40% d'économie, c'est un peu facile quand on passe d'une gigantesque villa à une maison "normale", qu'on passe d'un shopping hebdomadaire à un exemplaire de chaque vêtement dans sa garde robe (1 chemise, 1 robe, etc), qui plus est, acheté d'occasion. En bref, quand on a pas mal de choses qu'on pourrait diminuer même sans penser au zéro déchet, juste en vivant comme un habitant "moyen", et pas sous le grand train de vie américain.
Le ton ne m'a pas particulièrement emballée et m'a rendu le personnage un peu antipathique... Voilà pourquoi ce n'est pas plus que 8 alors que ça aurait vraiment pu.

Donc vraiment : A LIRE ! Pour tout les conseils pratiques qu'il contient. Et juste parce que, quand on sort de cette lecture, on ne peut pas recommencer comme avant. Il y a forcément des petites choses qu'on modifie... (ou plus). Et c'est toujours ça de pris, la planète en a bien besoin. Donc je l'ai, je le prête à qui veut, et je le recommande.

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Récit d'expérience plutôt impressionnant. C'est un pari réussi pour Colin Beavan, un pari fou et ambitieux.
Ce qui est moins chouette c'est qu'il a du reprendre pas mal de ses anciennes habitudes. Mais au moins il a tout testé (plus d'électricité, plus d'ascenseur, plus de moyens de transport, etc...). C'est là qu'on voit où est la limite du possible, la limite du trop, et c'est du pas assez. Et c'est chouette !
Petit reproche néanmoins, contrairement à "Zéro déchet" qui livre absolument toutes les clés pour s'y mettre (pas d'excuse), même si c'est beaucoup plus précis (ça ne s'étend à rien d'autres qu'au problème des emballages et du tri de ses affaires), "No impact man" survole parfois un peu les étapes... On sait qu'il y passe, mais on ne sait pas toujours comment.
Mais enfin, c'est à lire, ça fait vraiment relativiser sur son existence, ce qui est nécessaire vraiment, et ça donne presque envie de passer une soirée à la bougie !

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Une petite révolution.
Ce n'est que le début d'une longue lignée d'ouvrages que j'ai envie de lire, d'apprentissages que j'ai envie de faire, à propos de la Communication non violente.
J'ai trouvé ça percutant, à tous points de vue.
Son discours sur l'empathie reste moteur dans ma formation actuelle. Et tant d'autres parties/chapitres font écho en moi.
Ca me donne des envies, des envies de rendre accessible cette méthode à tous ceux qui le souhaitent, et ce dès le plus jeune âge. Parce que la communication c'est partout : en famille, en couple, au travail, en amitié, en politique, dans la rue, ... Parce que la relation à l'autre, c'est la clé de tout. Et que si on se connecte davantage à soi-même pour se connaître mieux, si on est plus disponible à l'autre et à l'écoute de l'autre, ça sera bien plus simple...
"La violence n'est pas l'expression de notre nature. elle est l'expression de la frustration de notre nature."

A lire, à relire, à prêter, à offrir, à garder, à retenir.

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Récit de vie assez impressionnant, avec à son origine une enfance brisée, étouffée.
Le plus horrible évidemment, c'est de savoir que la fin de ce livre est un message d'espoir, que tout n'est pas gagné mais que c'est sur la bonne voie, et que depuis elle est morte... Et sa maman aussi d'ailleurs.
Ca pose question. (Sur le transgénérationnel et l'éducation) Sur les institutions spécialisées, et le discours tenu aux personnes anorexiques. Que souvent les mots ont un pouvoir énorme. Que parfois, ces personnes dans la détresses ne sont pas aidées mais au contraire.

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Peinture d'un milieu. D'une femme forte.
Quelques longueurs à mon sens, mais bien écrit, avec des personnages hauts en couleurs et une description sociale, d'une époque, d'un milieu, plus vraie que nature.

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Frappant de voir les ravages que font la maladie en si peu de temps. Sur l'espace de huit mois (quelque chose comme ça ?), on peut constater à quel point ça va loin, et quelles répercussions (sur l'humeur par exemple, mais aussi sur la concentration, la peur et le froid) ça a rapidement sur le corps.
Ca interpelle également sur le métier de mannequin, et sur la nature de leur travail : des objets, des cintres.
Très subjectif, peu de recul et c'est sans doute un choix, pour voir l'état d'esprit à ce moment là précisément.
J'ai été frappée par son manque d'autonomie. A 18 ans, je n'étais pas malheureuse d'être séparée deux semaine de ma "maman chérie". Voir l'expression "retrouver ma maman" toutes les deux pages, ça frappe, même en se disant qu'elle a des relations très fortes avec l'ensemble de sa famille.

Pas vraiment emballée par le style littéraire, c'est souvent le problème avec les témoignages, il fallait s'y attendre. Mais ce livre a le mérite d'exister. Peut-être qu'il jouera un rôle dans la vie de certaines personnes. Et sans doute que ça a été l'occasion d'une prise de recul nécessaire pour cette jeune femme qui prend un nouveau départ dans la vie.

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Un design très très chouette !! Des illustrations colorées et drôles, un régal pour les yeux.
Je pense que c'est un livre assez idéal pour rentrer dans le vif du sujet, parce que plus accessible que celui de Bea Johnson (moins "barbant" entre groooos guillemets) de par ses illustrations et son langage.
Langage que, du reste, j'avoue ne pas avoir franchement apprécié... Trop d'oralité, un langage faussement "jeun's", des gros mots (alors que dans les remerciements en début de livre ils disent en avoir supprimé beaucoup -tout comme des fautes d’orthographe :o)
Ca tient plus du témoignage que du complet, mais ce n'est pas moralisateur pour deux sous, ça va plutôt dans le sens des encouragements. En fait j'ai du mal à savoir si je préfère ce ton un peu trop décontract ou le ton un peu trop hautain de Bea Johnson. Va savoir. Mais dans celui-là il y a moins de solutions, il y en a seulement une pour tout ou presque - la leur !
Donc mitigée sur le fond (même si à nouveau c'est une belle entré en matière <-- la plus belle étant pour moi la vidéo Ma vie Zéro déchet de Donation Lemaître) mais à fond sur la forme !!!

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Si juste...
Plus j'en lis sur la communication non violente et plus je veux en lire. C'est merveilleusement à propos. Ca pose question sur tant de choses !! Sur l'empathie, sur l'expression de la colère, l'usage de la force, accepter un remerciement, ... A mettre entre absolument toutes les mains. Waouh...

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Ca se lit bien, c'est touchant. Mieux que le film je dirais.

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Je rédige cette note trop tard, je n'en garde pas grand souvenir...

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Une oeuvre remarquable. Difficile à noter, car très hétéroclite, mais c'est le concept et tout le travail de partenariat qui est fait à Clairvaux qui vaut clairement d'être (re)connu !!!

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Que ne l'ai-je connu quand j'étais plus jeune... (enfin plutôt : que n'a-t-il été écrit plus tôt). J'aurais tellement adhéré au propos, aux personnages, à cet amour des mots qui est le leur. J'en aurais fait mon histoire fétiche, et moi aussi, j'aurais accroché au mur des citations et des pensées, je me serais enfermée dans un placard, et je serais partie à l'aventure découvrir toute ma région....
J'adore, j'adore. Si j'ai des enfants, ils liront ce livre.
"Tu es toutes les couleurs en une, à leur maximum d'éclat" <3

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Beau récit de vies. Simple mais bien écrit, réel, palpable. Destins de femmes, de génération en génération.

Allez, on fonce voir Eternité maintenant !

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Si il m'arrive d'être totalement emballée par des romans "jeunesse", ça n'a pas été le cas ici.
Evidemment ce n'est pas le propos qui me rend sceptique, c'est très bien que la littérature pour ados possède ce genre d'ouvrage. Mais première erreur, croire qu'écrire pour un public ciblé met de côté les autres publics : comme pour le cinéma, comme pour le spectacle, la mention "pour enfants" a son sens, mais on reconnaît la qualité de l'oeuvre si elle est tellement réussie qu'elle plaît à tous publics !!
La plume est "oubliable" tant l'auteur parle comme un enfant. Ça se tasse un peu, mais les premières pages ne m'ont pas donné l'impression que j'arriverais au bout (c'est mal me connaître, je finis toujours). Et quand ce n'est pas bien écrit, j'ai beaucoup de mal à me laisser porter...
Bon et même si je n'ai pas de réserve sur le fond, malgré tout...racisme + homosexualité, ça fait quand même beaucoup de chevaux de bataille en même temps. Evidemment ça peut arriver, mais l'histoire d'amour entre les deux jeunes filles n'est-elle pas un prétexte ? Il n'y avait nullement besoin d'ajouter à leur amitié, c'était un argument suffisant pour que Linda remette en question l'éducation transmises par son papa. Qu'on soit bien clairs, les deux sujets sont importants à traiter, seulement les deux en même temps, ça perdrait presque en force tant on a du mal à croire à une coïncidence.
Mais voilà, ce livre existe, et c'est déjà énorme !

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Génial. Un concentré intensif de positivisme en barre. On sort de cette lecture grandit, c'est simple, ça n'est pas aussi technique que des livres de communication non violente, c'est romancé mais plus plausible qu'un Gounelle. A lire, à relire, pour être heureux, encore, toujours plus !

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Pas très fan du style littéraire, il m'a fallu du temps pour rentrer dedans, avec un grand regain d'envie de savoir la suite vers la fin.
Ni un coup de coeur, ni un livre qui s'oublie. Entre les deux, avec pour lui son originalité et ses personnages bien définis.

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Un livre important. Ça n'a l'air comme ça que d'un parcours de vie, mais c'est documenté, il y a le recul nécessaire pour en parler, ce n'est pas non plus anti-sucre. C'est modéré, ce n'est ni affirmatif, ni définitif. Ça pose les bonnes questions au bon moment, pas moralisateur, laisse libre choix aux lecteurs de penser ce qu'ils veulent. Documenté, un brin scientifique, mais pas barbant. Et bon sang, tout y passe : les maladies cardio-vasculaires, le diabète type 2, l'obésité, le lien possible et probable avec les maladies neuro-dégénératives, etc.
Un livre très éclairant, à diffuser en masse !!!!!


Et je pense que ça cadre tout à fait avec ma démarche Zéro Déchet, car là encore on parle de la société, de comment l'argent prime sur la santé des humains. Ca me conforte dans ce que je fais, ça affine ma réflexion, et la façon dont j'ai envie de vivre.
J'ai toujours essayé d'arrêter le sucre, je ne supportais pas d'en être droguée. Mais je n'ai jamais essayé "pour les bonnes raisons". Maintenant oui, je peux. Et je sais que je vais réussir. Pas à m'en passer totalement. Etre une consommatrice éclairée,

"C'est préférer un peu de sucre bien travaillé de temps en temps. C'est manger le sucre en conscience, rarement, mais avec plaisir. Et c'est être libre de pleinement le savourer."

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Bref mais efficace ! Les bases. Mais plus globales que pour les deux ouvrages déjà cités dans cette liste. Disons que ça s'adresse presque davantage à un collectif. Je pense que c'est néanmoins un outil pour comprendre le pourquoi du comment du mouvement, pas très concret pour les choses à mettre en place individuellement, mais de beaux axes de travail pour des communes, des élus, etc...
L'avantage c'est que c'est documenté, mais clair. Avec exemples à la clé : chiffres, villes qui sont passées zero waste, etc....
A lire. Pour le temps que ça prend...

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Très très percutant, notamment sur le début. Inégal ensuite.
La partie consacrée à des exemples de personnes connues m'a beaucoup moins intéressée...

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Pas révolutionnaire mais sympathique. Le concept est chouette, après c'est dans la veine de tous les romans ados actuels (le décès de la soeur, etc etc) et ça n'est ni très novateur, ni très marquant. On y prend goût malgré tout.

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Dispensable. Je n'en retiens rien, je n'ai eu aucune illumination type "crise de justesse" que j'ai à tous les coups avec ce type de livre.
Je suis sans doute passée à côté de quelque chose... car j'ai pensé que ça n'allait pas bien loin, pas au fond des choses. Que ça passe d'exemple en exemple sans avoir ni de liant ni de fil conducteur... Déçue...

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Différent du film. Dur, pas pour les mêmes raisons.
La fin est d'ailleurs ambigue non ? Alors que le film ne laisse pas de doutes...
Beau récit sur la difficulté à se reconstruire, à l'impossibilité d'une dernière chance :(

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A offrir aux enfants de votre entourage ce Noël !!!

Je ne suis pas fan du ton (un peu familier....) ni vraiment des héros du zéro, mais mais mais...
C'est le seul livre sur la question pour les enfants, c'est clair, simple, net précis, ça fait envie !!!! (les activités, les do it yourself, etc...). Bref ça motive, ça pose les bonnes questions, ça apprend aux enfants ce qui compte (pas les cadeaux, pas le nombre de cadeaux, pas le fait qu'ils soient neufs, pas ce qui ne sert pas, etc...).
Un beau cadeau de Noël à faire et... à ne pas emballer ! (ou dans du tissu ou dans un emballage recyclable !)

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Je l'ai vu par hasard dans les rayons de la bibliothèque, rayon jeunesse, où j'étais avec les petites filles que je garde.
Et puis je n'ai pas pu m'empêcher de le prendre, en l'honneur des quatre tomes que j'avais dévorés quand j'étais petite...
Je n'en attendais rien puisque je ne l'attendais pas. Je l'ai ouvert hier matin, fini aujourd'hui. Je ne l'ai pour ainsi dire pas quitté.
Le début ne m'a rien fait, puis... je ne m'attendais pas à ça, mais ces personnages ont un peu fait partie de ma vie, et c'est avec une certaine émotion que je les ai retrouvés.
C'est peut-être le tome le plus sensible et fin des cinq livres. C'est toujours aussi "simple" (trop simple ?) et un brin cliché, mais c'est beau, aussi.
Enfin voilà, peut-être pas de la grande littérature, mais nul doute que je ferai lire ce livre à mes neveux, nièces potentiels, enfants potentiels ?

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Inégal...
Des choses intéressantes, notamment sur le début. Après ça devient moins évident à lire selon moi...

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Mitigée...je ne sais pas trop quoi en dire.
De beaux passages, une belle histoire.
Quelques ambiguités. Un message peut-être un peu trop appuyé. Un peu trop répétitif dans le vocabulaire et le style littéraire (la faute à la traduction ? Va savoir). Beaucoup de "les larmes ont coulé..." etc.
Reste quand même un beau récit à quatre voix.