Quand la stop motion fait une apparition remarquée

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Même si l'univers de Krull qui mélange Héroic fantasy et science fiction a de quoi interpeller, le film peine réellement à convaincre en raison de décors et d'effets spéciaux souvent cheap et du manque de relief de ses personnages. Un long métrage, dans la forme, qui n'est clairement pas à la hauteur de ses ambitions et manque cruellement d'intensité et d'émotions. Au vu de ces observations, son échec commercial parait tout à fait justifié.

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Cinq ans après sa sortie le film avait déjà beaucoup vieilli; c'est pire aujourd'hui. Les péripéties de Willow restent néanmoins sympathiques à suivre, malgré quelques passages un peu niais et un rythme parfois défaillant.

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Ce 6ème épisode propose le scénario le plus faible de la 1ère trilogie Star Wars et fait entrer la saga dans une ère de désinvolture qui s'exprime par la présence des Ewoks. Cette conclusion est loin d'être déshonorante pour autant et offre quelques moments cultes comme la confrontation avec Jabba The Hutt et le combat final entre Luke et Dark Vador.

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Reçu à l'époque de sa sortie avec beaucoup de condescendance, cette production ne manque pourtant pas d'atouts et d'audace. L'entrain et l'enthousiasme manifestés par le duo Léa Thompson et Tim Robbins participent, par ailleurs, au capital sympathique de cette œuvre désopilante et qui n'a finalement pas beaucoup vieilli.

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Avec son récit très léger, ses péripéties un peu quelconques et ses innombrables facilités scénaristiques, Golden child incarne la quintessence du PG13 très typé eighties. Un divertissement totalement inoffensif qui va fonctionner surtout grâce à la présence d'un Eddie Murphy toujours en pleine possession de ses moyens humoristiques. Du talent tout de même gâché par un film un peu en panne d'ambition et qui passe, du coup, complètement à côté de son potentiel.

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Avec son humour bas de plafond et ses péripéties parfois un peu trop délirantes, Ghostbusters porte les années 80 comme un étendard. Ceci dit, l'idée même du film, son inventivité et son caractère fun en font aussi un classique du genre. Sans oublier la chanson titre signé Ray Parker Jr qui semble ne pas subir l'épreuve du temps.

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Cette suite va délaisser la dimension horrifique des 2 premiers volets pour s'orienter vers la comédie fantastique. Un virage qui va s'effectuer à travers le personnage de Ash qui, à partir de ce film, devient un héros arrogant et gaffeur. Les péripéties plus où moins divertissantes vont donc s'accompagner de gags souvent lourds au sein d'un récit qui fait preuve d'une désinvolture parfois embarrassante. Un aspect qui va même se répercuter jusqu'aux effets spéciaux dont la qualité est parfois proche du rudimentaire (surtout au cours de la 2nde partie avec l'apparition de l'armée des ténèbres).

Annotation :

Un film très typé années 80. Le début est sympa, mais la 2nde partie dans le vaisseau spatial est infantile et un peu trop John Landis dans l'esprit.