Retour en fanfare !...

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Sensibilisé avec les titres radiophoniques Papoutay et Formidable, le délice s'est prolongé avec cet album première nouveauté écoutée depuis des années.

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Ecouté en recherche de musique pour les enfants, le charme a agi aussitôt, séduit par ces compositions soignées pour enfants de tous âges.

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Ancienne chanteuse du groupe de métal symphonique Nightwish, elle y impose sa voix de cantatrice, avant de poursuivre dans une carrière solo.
Passé l'intérêt de cette voix, les compositions restent classiques dans le registre un peu métal, un peu symphonique, et il ne reste guère de mélodie en tête l'écoute finie.

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Je devais un jour écouter sérieusement Brel ; c'est fait, et bon sang que c'est intense.
Me reste à reprendre, autrement qu'en intégrale, pour apprécier plus finement les instants.

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Je ne sais pas si je vieillis ou si c'est eux, mais réentendre des titres qui m'auront fait vibrer plus tôt, en studio ou en live, me laisse de marbre, pour ne pas dire un brin septique.

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La pochette me faisait fortement de l'oeil quand j'étais ado. L'écoute, après tout ce temps, reste ancrée dans cet espace-temps. Les riffs métalliques des guitar heroes du hard rock, ce n'est plus guère que dans mes souvenirs.

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Le second m'a littéralement envoûté, le premier a un peu moins d'impact, sans doute parce que je commence à discerner des schémas dans la construction des morceaux. Ca reste tout de même très chouette.

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Coup de coeur de ce début d'année.
Parce que cette voix, parce que ce phrasé de dandy indolent revenu de tout et prêt à y retourner, parce que ce voyage dans les quartiers populaires à travers le monde.
C'est du Lavilliers classique, dans les mélodies ou les paroles, mais des arrangements subtils le rehaussent imperceptiblement, et les oreilles se régalent.

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Autant le précédent m'avait enthousiasmé par son effort de fusion, autant le retour à ce bon vieux métal ne rivalise avec les premiers albums que par le mimétisme de l'ambiance et des mécanismes.
Gros ennui ...

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Influence dubstep, forcément, c'est à la mode dans les musiques électroniques, pour un rendu efficace. De l'électrorockpop efficace, quoi.

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Véritablement découverts avec La Pittoresque Histoire de Pitt Ocha, le voyage prend une autre route ici.
Si les mélodies fonctionnent souvent sur une boucle enrichie de nouvelles pistes à chaque passage, de petits riens les rendent sympathiques, puis, très vite, lancinantes.
Si les textes font une part plus belles aux mots qu'aux histoires, ce sont des images qui se dévident, inattendues bien souvent.
Et de ne plus bien savoir où ni à quelle époque on ressort de cet album.

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Je les avais catalogués protopunk sur commande en apercevant un de leur clip.
Pas vraiment revu mon avis en la matière, il reste quelque chose d'un peu trop lisse, d'un peu trop bien orchestré dans la folie des morceaux.
Quelques uns fonctionnent néanmoins parfaitement, à en réécouter l'album avec plaisir, alors je profite, sans arrière-pensée.

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Première occasion de les écouter alors que je les entends depuis si longtemps.
Agréable sur un morceau occasionnellement, l'écoute de l'album entier me fait perdre l'attention pour les rythmes à force. Peut-être me faut-il un peu d'accompagnement pour mieux apprécier.

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L'idée et l'esprit du groupe sont déjà là. Ne manquent juste qu'à affirmer un peu plus la voix de Gwen Stefani et peaufiner un peu les arrangements pour que les morceaux deviennent inoubliables.

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Le point d'inflammation approche, déjà un ou deux morceaux sortent assez du lot pour rester en tête, la voix de Gwen Stefani en est aux derniers réglages, attention, le meilleur est à venir.

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Et là on commence à parler de choses sérieuses.
Mélodies efficaces, voix maîtrisée comme un instrument de pointe, riffs efficaces et l'arrière-goût joyeux du ska jusque dans les morceaux les moins gais.
Transparaît un poil à mon goût le début du succès avec des plages plus lissées, plus élaborées, mais c'est encore trop discret pour ne pas leur accorder juste de la maturité.

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Ecouté parce que prêté, sans plus de conviction, le truc a tourné avant que de m'interpeller assez pour que je l'écoute vraiment.
Depuis j'évite en voiture avec les enfants (Batards ! en écho dans la bouche de ma fille de deux ans), mais le reste du temps je m'amuse de ce pas ego trip riche en trouvailles, en réflexions sensées et en bon gros beat.

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Absolument inconnu au bataillon, c'est funky sans être groovy, inattendu parfois sans être hermétique, et mine de rien, ça glisse avec bonheur dans les oreilles.

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Le dernier vrai coup de coeur en date, pour l'évanescence de leur musique, une envolée mystique sans contemplation stérile, simplement une grâce dans l'assemblage des voix qui ... est beau, ma foi, juste.

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Funky, groovy, avec assez d'électro pour alourdir un peu le beat.
La boucle de la voiture depuis 15 jours.

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Poésie des paroles, richesse des mélodies, et percées incongrues dans les mondes de l'enfance.
Difficile de dire qui de la fille ou moi est devenu fan le premier ...

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Hélène Bohy, une valeur sûre de la chanson intelligente pour, voire par les enfants.
Autant d'animaux que de morceaux, autant de morceaux que de paroles imprimées en tête.
Encore un coup de coeur partagé avec la fille.

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Un poil moins bon qu'à l'ordinaire, sans doute l'équilibre entre chansons et discussions.
Mais toujours efficace.
Accessoirement le disque de la fille depuis 15 jours.

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Un premier morceau prometteur, avec quelque chose d'épique, pour finalement un album éléctro honnête.
Un peu déçu ...

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Wof ... Body Count fait du Body Count, et l'effet madeleine de proust peine un peu à fonctionner, autant écouter l'album initial.
Pas désagréable pour autant.