Richard Pinhas & friends: Discographie commentée

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Excellent projet solo de Georges Grünblatt, un véritable bijou caché. On sent bien qu'il s'agit de l'oeuvre d'un ex-Heldon, c'est même l'album qui y est le plus fidèle à mon sens.
Enregistré à l'automne 1977!

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Première collaboration avec Hervé Picart. et album ne réiste malheureusement pas aux réécoutes: c'est soit d'honnêtes chutes de Heldon ("Orgasmachine, "29h 08m""), soit un horrible plagiat de Kraftwerk ("Retour Sur Adonia"), soit du Tangerine Dream dilué (tout le reste). Décevant.

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Dernier album d'Alain Renaud, enregistré en 1978 et resté dans les cartons pendant quatre ans. Dans un style rock-fusion malheureusement plus conventionnel que les deux premiers albums.

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Le principe de cette compile est simple: réunir tous les singles publiés par Richard Pinhas. On retrouve donc les deux simples de Schizo, la version alternative de "Perspective I" (1976) parue en EP, ainsi que la reprise de "Telstar" (1977) sous le pseudonyle THX.
Coup de gueule: il n'y a pas le single Séquences / Modulation (1978) sous le pseudo Richard Dunn, encore introuvable de nos jours.

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Le plus ambiant des albums de Pinhas, du moins dans sa première période. Musique sombre et mortuaire mais pas tout à fait statique. On trouve bien sûr la superbe suite-titre, mais aussi des choses plus disparates: "The Last King Of Thule" aux guitares, les brefs jeux de séquenceurs "Indicatif Radio" et "Short Transition", ainsi que l'apaisé "Greenland", avec la participation de Jean-Philippe Goude et François Auger.
Les éditions CD (et même certaines rééditions vinyle) contiennent "Wintermusic", un bonus de 24 minutes, encore plus ambiant que "Iceland", enregistré en 1983.

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Un album très varié, trop varié. Si "Houston 69" est une superbe séquelle de Heldon (avec la participation de Norman Spinrad!) et "La Ville Sans Nom" et "The Whale Dance" sont de beaux paysages électroniques, le reste n'est guère marquant, ou alors en mal (l'interminable "Beautiful May").

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Cet album n’est pas le premier mais bien le troisième album de Jean-Philippe Goude, du prog électronique du plus bel effet. À la même époque, il a également publié trois autres disques beaucoup plus confidentiels, avant de se diriger à partir des années 1990 vers la musique classique contemporaine.
…
6,6 de moyenne!!??

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Seconde collaboration avec Hervé Picart. Une tentative synth-pop, inégale mais plus crédible qu'il n'y paraît.

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Le groupe éphémère Artefact vit la participation du futur écrivain Maurice Dantec, qui dans les années 1990 deviendra un proche collaborateur de Richard Pinhas avec le projet Schizotrope et un décevant reboot de Heldon.
L'album très moyen d'un groupe voulant faire de la New-Wave mais se plante avec des instrumentations extrêmement cheap et un chant anti-charismatique.

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Avec le batteur François Auger.
C'est dingue de se dire que sur toute la disco de Richard Pinhas, seul Un Rêve Sans Conséquence Spéciale égale Erebus.

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Recueil de compositions enregistrées en dilettante entre 1983 et 1991, alors que Richard Pinhas avait interrompu sa carrière musicale. Le résultat est inégal mais quelques morceaux valent vraiment le coup: "A Piece Called Lulu (The Loo)", "1992, Iceland: The Fall" (délà joué en concert).