Top 10 Films selon Crin Blanc

Annotation :

Jonathan Livingston le goéland... Est sans doute l'un des films qui est resté le plus longtemps à l'affiche sur Paris... près de 30 ans non-stop !

La philosophie des mystères se révèle dans ce conte imagé sans âge et si Jonathan Livingston le Goéland apparait ici comme la partie spirituel de notre être...


Crin Blanc (1953 de Albert Lamorisse) se révèle quand à lui comme la partie charnel d'une initiation en chemin pour la lune.

Pour revenir à Jonathan le goéland... c'est au coeur d'un langage symbolique des mystères que se révèle cette réflexion sur ce parcourt qui mènera Jonathan vers la quête de l'éveil de son Esprit Solaire... (si tu voies c'que j'essaie de n'pas dire ?!)

Annotation :

Le Testament d'Orphée... est ce cinéma d'une grande poésie, révélateur d'un théatre des mystères dans un langage à clefs qui traverse les miroirs du temps et de l'espace et continu de tracer son chemin à travers l'écran de générations successives...

Interview de Cocteau sur le Testament d'Orphée ; https://youtu.be/DzbDcUMX8uQ

+ Orphée (1950) de Jean Cocteau
peut se voir indépendamment du Testament d'Orphée, qui peut apparaître, si on le souhaite, comme une sorte de préquelle... sinon dans les indispensables à voir de Jean Cocteau le must du genre ( en plus de la belle et la bête ) demeure ;

+ Le Sang d'un poète (1932)

enchaîner avec çà, le mythique film de Bunuel et nous avons là, l'âge d'or d'un cinéma de magie hautement poétique... et délirante pour ce dernier !

+ Un chien andalou (1929)
de Luis Buñuel

Annotation :

L'Homme sans âge (2007) Youth Without Youth

Sans conteste le plus ovniesque des films du Géant Francis Ford Coppola. Un film qui dans sa mystique se rapprocherait miraculeusement du Testament d'Orphée (ci-dessous... et que je me refuse à mettre seulement ici en annotation où il aurait légitiment sa place) empruntant la traversée des miroirs et les couloirs de l'intemporalité...

Un films que n'aurait sans doute pas renié Rod Serling auteur de la série la quatrième dimension, bien que le rythme très particulier de l'homme sans âge, tiré d'un livre de Mircéa Éliade, soit une sorte de repoussoir pour bon nombre d'aficionados de Coppola...

J'imagine que, si de nos jours, celui qui fut Mircéa Éliade est ré-incarné et se retrouve face à ce film, un avec celui qui s'intéresse quelque peu à l'origine du langage et de sa psyché a travers le temps... m'est avis qu'il doit kiffé sa race à la vue de ce petit-bijoux... jubilatoire !

Annotation :

Pacte Faustien de la Beauté du Diable : De l’Instagram de Dorian au Facebook de Gray, la longue historicité du Pervers Narcissique trouve à travers le noir et blanc du cinématographe de Lewin sa plus parfaite, sa plus subtile, sa plus fétichisante incarnation d’écran, vénéneuse à souhait... De l’Âme Damné de Dorian Gray

Annotation :

Eyes Wide Shut ! Spirale d’un nombre d’or de l’attraction des astres sombres en échos dans l’entre-deux des mondes… et plus si affinités !

Annotation :

Avec Excalibur nous sommes face a ce genre trop rare de chef-d'œuvre qui vous contemple et vous révèle a vous-même, chaque fois que l'espace est là en nous-même en transparence pour l'accueillir...

Annotation :

Devdas... Je dis rien, si ce n'est... Trouvez un horaire qui convienne a votre emploi du temps et voyez cette pièce maîtresse du cinéma hindous sur grand-écran si vous êtes dans une capitale métropolitaine comme Paris - Londres - New-York ... sinon faites en sorte que le cinéma de votre quartier le programme dans la catégorie art-et-essai...

La musique est là présente comme une orchestration rutilante clinquante et intemporel. Là encore un chef-d'oeuvre !

Ce film, l'un des plus cher de l'histoire du cinéma vaut sont pesant d'or et chaque spectateur peut voir où est passé l'argenterie ; https://youtu.be/bFTPOnun6Og

Dola Re Dola (Video Song) - Devdas

+ Roméo+Juliette de Baz Luhrmann -1996- Film tête de liste pour Top10 et pas moins pour la Bande-Son un comme numéro Uno d'une liste dédié aux B.O

https://www.senscritique.com/film/Romeo_Juliette/critique/59404848

Annotation :

Numéro Uno ! Amplement sous-estimé par "l'intelligentsia" d'un théâtre moribond... La version avec les voix française est la meilleur, la plus musicale la mieux rythmé ! Pour les amoureux de la langue de Molière en plein Shakespeare ! En version française avec les voix de :

Mel Gibson (VF : Jacques Frantz) : Hamlet
Glenn Close (VF : Évelyn Séléna) : Gertrude
Alan Bates (VF : Dominique Paturel) : Claudius
Paul Scofield (VF : Henri Virlojeux) : The Ghost
Ian Holm (VF : Claude Giraud) : Polonius
Helena Bonham Carter (VF : Isabelle Ganz) : Ophelia
Stephen Dillane (VF : Jean-Philippe Puymartin) : Horatio
Nathaniel Parker (VF : Bernard Gabay) : Laertes
Sean Murray (VF : Thierry Ragueneau) : Guildenstern
Michael Maloney (VF : Frédéric van den Driessche) : Rosencrantz

Annotation :

Hostiles de Scott Cooper... Je l'ai revu l'autre soir et déjà celui-ci m'avait comme... ravi lors de sa sortie hein ?! Vu que je l'ai vue 3 fois en salle... Mais là, a la revoyure, c'est direct, straight to-the-top... oh Yeah !

Annotation :

ce film-là ? Tu-rie !

Annotation :

Fabuleux ! Magnifique ! Largement l'envergure et la beauté graphique d'un numéro UNO

Annotation :

Le Cyrano de Bergerac de Depardieu dans ce top 10 (Et qui redémarre à 11 hé! hé! hé!) La poésie française d'Emond Rostand est ici (en tant qu'audio, un peu comme l'autre face de la pièce d'Hamlet de Franco Zeffirelli... là, juste au-dessus!)

Annotation :

Dark Crystal... Ce qui se fait de mieux dans l'genre, un conte fantastique en plein dans l'âme... entre ombre et lumière autour d'un cristal pour les assemblés... afin de les ré-unir ! Fan-tastic !

Annotation :

Superbe de noirceur... un peu comme un souffle au coeur ! Encore un numéro Un ! Mais... Super-Black ! Et ! Vénéneux à souhait ! Ce conte-là n'est pas forcément bon... mais quand même à la fin sans jamais se finir... le compte est bon... ?! bien ! bien !

Annotation :

Wolfen... Étrange que ce film, l'un de mes favoris depuis sa sortie jusqu'ici, ne soit pas classé au moins dans les trois 1er ?! Va y avoir du changement dans mon classement un d'ses 4

Annotation :

DANS, Le cuisinier, le voleur, sa femme et son amant... Le Shakespearien Greenaway réalise ici une oeuvre majeur qui met en exergue tous ce qui a attrait au côté gargantuestque du ventre et de son appétit avec le sexe comme épicentre...

Une oeuvre pleine de démesure sans commune mesure !

Un chef-d'oeuvre au chapitre final digne du célèbre livre si Parfumé de Patrick Suskind qui dans son adaptation graphique au cinéma ne trouva pas un final en image aussi puissant que dans son livre, et qui ici trouve son apogée chez Greenaway !

Annotation :

Rose : Y a trois sortes de Français : y a les vrais Français, les Français de merde et la merde de Français. Eh bah toi, t'es même pas d'la merde de Français, t'es d'la merde de mange-mil d'Ariégeois.

Isabelle Huppert, Coup de torchon (1981), écrit par Jean Aurenche et Bertrand Tavernier

Annotation :

François Perrin : Moi, moi je lève mon verre à la plus formidable bande de salopards que j'ai jamais rencontré ! Je lève mon verre au tas d'ordures qui m'entoure. Et y a de quoi remplir une sacrée poubelle... Je vais essayer de vous faire rire. C'est l'histoire d'un mec qui viole une fille, et comme on a besoin de lui pour jouer au foot, on accuse un pauvre connard. Vous la connaissez, président, oui? Je peux la raconter ? Asseyez-vous ; vous serez mieux pour rigoler ! ASSEYEZ-VOUS !! On ne bouge pas ! S'il y en a un qui se lève, je raconte tout à la presse, tout ce que je sais ! On se tait ! C'est moi qui parle, maintenant...

Annotation :

La vie est belle (1946) It's a Wonderful Life

C'est étonnant mais pas si surprenant que ça... que... que quoi ? J'y viens ! eh bien que ce film-là n'est pas fonctionné lors de sa sortie et que même que Frank Capra dû mettre la clef sous la porte de sa boite de prod. Pour ce film de légende... ce conte cinématographique devenu mythique. Représentant typique de la magie de Noël des états-zunien !


+ Un jour sans fin
Groundhog Day
Film de Harold Ramis avec Bill Murray, Andie MacDowell, Stephen Tobolowsky
1 h 43 min. Sortie : 12 février 1993. Romance, fantastique et comédie.

+ Au-delà de nos rêves
What Dreams May Come
Film de Vincent Ward avec Robin Williams, Max von Sydow et Cuba Gooding Jr.
1 h 53 min. Sortie : 2 décembre 1998. Drame et fantastique.

Annotation :

De nos jours Amadeus mérite une critique à coup de fouet sur le lèse majesté d'un redoublage français qui as sacrifié à jamais cette superbe pièce d'oeuvre cinématographique, qu'on ne peut entendre dorénavant qu'en version originale pour le HD " Je ne saurais refaire ce qui est parfait " souffle Mozart en souffrance dans Amadeus... parole reprise presqu'aux mots prêt par un JEAN TOPART toujours et sans cesse aux Top son Art, lorsqu'ils sont venu le rechercher pour refaire la bande son du caractère de Saliérie qui fut l'âme du film Amadeus et spécialement dans sa version française... enfin Çà, c'était avant !

Annotation :

Anna du Koralnik Gainsbourologue... est une oeuvre d'images ancré dans son époque Swinging-London Made in Paris qui m'est indispensable... et même si celui-ci n'est pas considéré comme un chef-d'oeuvre, en règle général et en particulier Anna m'est nécessaire.

Annotation :

Lelouche ! laisse entendre, de-ci de-là, cette fabuleuse remarque ; à savoir que le genre comédie musicale serait comme... l'Aristocratie du Cinéma. Bien vue Claude !
Et lorsque l'expérience West Side Story se présente et se re-présente depuis l'enfance du plus petit écran au plus panoramique des écrans, cela apparait comme une dense évidence.

Annotation :

Là encore... Un Numéro 1 de l'enfance. De la magie de "Yasouna" face aux dieux de l'Olympe à son combat avec les squelettes guerriers... Chef-d'oeuvre Péplum-mesque ! l'Indiana-Jones des temps antiques ! Religiosité Cathodique...

Annotation :

Un numéro 1 de plus d'un temps fixé aux écrans cathodique ! Celui-ci demeure dans ma liste en en-tête par coeur. Et la musique est chef d'oeuvre ! La Planète de Singes de Schaffner, cuvée Dix neuf cent soixante-huis, année du singe de terre dans le calendrier chinois. J'aime çà !

Annotation :

Encore un Number One, au temps d'une enfance cathodique... Avec ce petit plus, d'avoir été Re-Vu sur écran-géant à Paris-Les Halles, lors de sa ressortie en salle, après son lifting (incluant une rallonge de plus de 20mn) grâce à tonton Spielberg, en 1988 si mes souvenirs son correcto'... In-Tem-po-rel !

Annotation :

La fin de l'adolescence... le début de l'âge adulte. Ce film est une véritable initiation. Et dans sa version longue, c'est encore meilleur, plus profond, plus de sens... plus de plus de mieux... A voir et à revoir !

Annotation :

Là en matière d'initiation... on n'est servi par le Maître de genre unique... Un long poème apocalyptique initiatique. Merci Francis !

Annotation :

Le mot magique de - Cinéma - semble soudain presque trop petit face à la pièce maîtresse de ce chef-d'oeuvre de Pavel Lounguine... Qui pourtant fait la part belle à l'humilité du caractère principale, quasi-insaisissable par ses congénères dans ce film qui prend une ampleur au-delà de son époque ! MASTER PIECE... mais que fait-il ici bas en dehors du peloton de tête ?!

Annotation :

Début d'année 2010 De passage en Californie, dans un english approximatif, mais creusé, j'eu accès, sur l'internet de là-bas à un site ou deux de critiques sur ce film (offert par ailleurs à mes hôtes) et c'était impressionnant de constater à quel point, ce film déchainait les passions en interprétations multiples ! Celles tournant autour de la mythique tentation Édénique, restaient de loin les plus recherché, argumenté et disséqué. Ce film qui m'a impressionné dès sa sortie sur grand écran, si bien que j'ai bien dû aller le voir deux ou trois fois de suite... Un film dont le thème, une fois de plus, prend place dans la Quatrième Dimension !

Annotation :

... De Giuseppe Tornatore !