Top "Halloween"

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Carpenter cristallise en un film les évolutions apportées par Psycho, The Texas Chainsaw Massacre et les Giallos italiens. L'observation de la fin de l'âge adolescent et d'une communauté paisible, cachée derrière la simplicité du film d'angoisse, en fait une oeuvre mémorable, de laquelle découleront nombre de slashers souvent inférieurs.

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Suite directe du premier volet, fidèle à son esthétique mais peinant à faire exister la tension malgré des meurtres plus violents.

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Certes Michael Myers n'est plus là, mais cette parenthèse proche de l'esthétique de Carpenter est finalement regardable - bien plus que la suite de la saga malheureusement. Un conte d'Halloween autour du marchandising...

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Très ancré dans la mode des nouveaux slashers des 90's (post-Scream), ce 7ème volet offre de jolies retrouvailles avec l'esprit des deux premiers épisodes de Carpenter et Rosenthal. Malheureusement, passée une très bonne séquence d'introduction, et quelques scènes intéressantes autour de Laurie et son fils, rien de bien effrayant à se mettre sous la dent.

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La série sombre dans le n'importe quoi avec ce quatrième volume. Angoisse pure et abstraite dans le premier volet, elle semble ici s'être définitivement transformée en une saga de téléfilms bas-de-gamme.

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Episode encore en-deçà du précédent. Halloween 5 n’offre tout du long qu’une mise en scène plate, voire même souvent maladroite dans son découpage. Les jeunes personnages secondaires y sont insipides, irritants, présentés sans le charme et l’humour qui nous rendaient les teenagers du premier opus de Carpenter sympathiques.

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Comme l'épisode 7, l'épisode vise les adolescents et n'est nullement effrayant. Mais en plus, il est totalement débile et très mal écrit. Rick Rosenthal (réalisateur du 2) revient pour n'offrir qu'une mise en scène très plate, malheureusement. Myers, comme souvent depuis le 4, n'est absolument pas inquiétant, mais plutôt clownesque.

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Partant d'une idée de départ périlleuse, celle de justifier les crimes de Michael Myers par des forces maléfiques et autres croyances ésotériques (chose évoquée dans le 2ème volet avec le "Samheim" en lettres de sang), ce sixième volet a surtout souffert de conditions de tournage chaotiques. Le résultat est malheureusement calamiteux.