Une année, un film, 66,6 ans d'horreurs. [1957 - 2023]

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Dans ce film à l'aua Lovecaftienne, nous suivons l'enquête d'un chercheur américain de parapsychologie (Dana Andrews). Chercheur dont le scepticisme à toute épreuve se verra mis à mal tout au long du film par nombres d'évènements plus ou moins inexplicable.

Ce film se plait à remettre du mystique dans les évènements du quotidien en se reposant habilement sur l'imaginaire sombre d'une l'Angleterre rurale aux mythes oubliés du monde moderne.

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A l'aube des années soixante, ce bis met en scène un Steve McQueen d'une fougueuse jeunesse.
On le verra remuer ciel et terre (entre deux courses de voitures entre bande d'amis) pour stopper la propagation d'un étrange blob venu de loin... Aidé de sa compagne et de ses acolytes ils traqueront la menace rouge qui grandit dans cette petite ville des Etats-Unis.

Ce film représente un agréable témoignage de l'état d'esprit des Etats-Unis de la fin des années 50. De la guerre contre le communisme à l'ambiance générale d'une petite ville dans ces années là. A regarder sans modération.

On notera qu'il s'agit là du papa du "Blob" de Chuck Russell de 1988.

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Un riche milliardaire (Vincent Price), tient à la demande de sa femme une récéption dans une vieille demeure qualifiée de hantée. La récompense pour les invités ? 10.000 dollars, à la condition qu'ils arrivent à rester jusqu'au lendemain matin.

Une maison hanté ? Peut être pas tant que ça ? C'est en tout cas sur cette corde que repose le scénario de ce film un peu court à mon gout. La mise en scène demeure néanmoins agréable et l'ambiance sombre et poussiéreuse qui pèse sur le film saura se faire apprécier.

Un bon petit film à visioner un dimanche soir d'octobre, au chaud, sous un plaid.

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On entre dans les années soixantes avec l'emblématique "Le Masque du démon" de Mario Bava. Un magnifique film gothique de la Hammer.

Le film s'ouvre sur l'execution de Barbara Steele, ici, une sorcière qui promet alors de se venger. Deux siècles plus tard nous assistons à son retour ainsi qu'à celui de son compagnon de l'époques qui s'eforcerons d'assouvir leur vengeance en tuant les nobles du chateau.


On notera aussi, que l'année 1960 marque un tournant dans le cinéma d'horreur. Nottament avec la sortie de "Psychose" d'Hitchcook ainsi que du "Voyeur" de Powell. Dans ces films l'horreur quitte les châteaux poussiereux et abandonne ses monstres fantastiques pour s'ancrer dans la réalitée. L'horreur vient dans ces films d'êtres humains psychologiquement instable.

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Dans ce film à ambiance réalisé par Jack Clayton, nous suivrons l'entrée au poste de gouvernante de Miss Giddens (Deborah Kerr). Elle se vera attribuer la charge de deux enfants orphelins dont l'oncle délaissant a la tutelle. Très vite Miss Giddens se rendra témoin de la présence de deux fantômes qui hantent la maison.

Ce film a entre autre la bonne idée de placer la caméra sous l'angle subjectif de Miss Giddens. Et c'est très finement que nous rentrons dans la folie de Miss Giddens persuadé à notre tour de la présence de fantômes au sein de cet immense manoir. Ce film met les deux pieds dans le plat en nous parlant de façons assez frontale des traumatismes qui nous hantent et qui hantent nos lieux (ici la mort d'anciens employés de la maison).

On ressent bien au travers de ce film l'influence qu'a pu avoir le "Psychose" d'Hitchcook (1960) sur le cinéma d'épouvante. Clayton nous livre ici un entre deux, entre le cinéma d'épouvante classique et une horreur plus humanisé provenant de la folie d'un des protagonistes.

En résumé, un très bon film à l'ésthétique en noir et blanc travaillée.

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Considéré comme le premier film de l'histoire du cinéma d'horreur espagnol "L'horrible docteur Orloff" s'inscrit dans la lignée de l'euro-horror réputé pour ces scènes violentes et à caractères érotiques.

Dans le Paris de 1912, des femme disparaissent. L'inspecteur Tanner se voit remettre l'enquête entre ses mains. On découvre quand à nous que les criminels opèrent en duo, le docteur Orloff, ainsi que Morpho, un aveugle. Ils tuent et enlèvent des femmes pêché dans les cabarets de la ville. Le but du docteur Orloff récupéré la peau de ses victimes afin de les greffer sur sa fille qui à été défigurée.

Un film qui possède ses défauts, mais qui reste néenmoins bien rythmé. On rentre facilement dans l'histoire.

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Voici un proto-slasher aux tendances nanardesque qui est néenmoins resté dans les annals. En effet, "Orgies sanglante" est considéré comme le premier film gore de l'histoire du cinéma !

Ici un homme prépare un festin composé de membres humains. C'est à peu près tout ce qu'il y à a dire sur le scénario.

Avec 25.000$ de budget il ne fallait vraiment pas s'attendre à mieux. Ceci dit les scène gore sont assez bien faites.

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Parce qu'il en fallait un, voici un film de kaiju.

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Amis des nanards voici un film qui pourrait faire parti de la liste des pires films jamais produits.

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German underground horror