Wong Fei-Hung - L'intégrale

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Chiu Man-Cheuk

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Chiu Man-Cheuk

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Chiu Man-Cheuk

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Eddie Peng

Franchement je m'attendais à pire. Le film, carré et sans surprise, déroule tous les clichés du block chinois moderne : narration en flashback, visuel léché mais sans aspérités, effets de mise en scène dédiés à la 3D, sfx moyens... Mais il s'autorise aussi quelques excentricités graphiques bienvenues comme ces courts moments de fights en vue subjective. Et ça reste quand même moins chiant à suivre qu'un Grandmaster :p

Dans le rôle du sifu débutant, Eddie Wong fait le taf pour un néophyte en arts martiaux, bien que ne possédant le quart du charisme de ses illustres prédécesseurs.

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Jet Li incarne un flic prénommé Huang Fei-Hong dans cette comédie d'action qui n'a ni queue ni tête, cumulant les clins d’œil balourds aux légendes martiales du terroir.
Les bastons signées Corey Yuen sont potables. Le gloubiboulga comico-romantique qui gravite autour n'inspirera au mieux qu'un sentiment de gêne mêlé de consternation chez les amateurs de bons films.

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Sammo Hung

Accompagné pour l'occasion des Dix Tigres en Carton et de la musique de Jurassic Park, Wong Fei-Hung se paye son caméo moisi et vient prêter main forte à Passepartout dans son combat l'opposant au terrible Daniel Wu. Super.

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Jet Li

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Chiu Man-Cheuk

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Willie Chi

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Jackie Chan

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Wong Yuk

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Angie Tsang

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Chiu Man-Cheuk

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Wang Qun

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Jet Li

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Alan Tam

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(pas de Wong Fei-Hung à l'écran mais l'histoire d'un de ses disciples incarné par Yuen Biao)

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Jet Li

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Chin Kar-Lok

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Alan Tam

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Jet Li

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Jet Li

Bien décidé à raviver (réinventer même) le souvenir de maître Wong dans la mémoire du public chinois, Tsui Hark rassemble la crème des acteurs martiaux, chorégraphes et DP locaux pour délivrer un monument de kung fu pian comme on en n'avait jamais vu. Dans une Chine à l'aube de bouleversements culturels fondamentaux, de talentueux sifus remettent en jeu leur conception de l'art martial au cours de combats colossaux et mortels, défiant les éléments et la gravité, avec en point d'orgue une joute d'équilibristes sur échelles entremêlées tout simplement hallucinante.

Le récit connaît bien quelques pertes d'équilibre, hésite à développer les arcs des nombreux personnages de la troupe Wong en un tout homogène et cohérent, et prend pas mal de libertés avec l'histoire pour l'accorder à un discours nationaliste peu subtil : les Américains, ici dépeints comme d'inflexibles envahisseurs esclavagistes, prennent très cher...

Mais ces scories pèsent bien peu en comparaison des merveilles que nous offre OUATIC en matière de découpage séquentiel, de musicalité scénographique, d'exaltation du mouvement et de symbolique picturale. Une date du cinéma.

Et profitons-en pour saluer la performance admirable, mais ingrate, de Xiong Xin-Xin, au fourneau pour doubler un Jet Li blessé à la jambe sur à peu près toutes les cascades exigeantes.

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Jet Li

Deux ans avant OUATIC, comme pour tâter le terrain, le duo Tsui/Li s'attaque au mythe de Wong Fei-Hung en transposant son histoire dans le San Francisco des années 80. Franchement ? Une catastrophe à peine digne d'un Dudikoff.

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Le personnage joué par Sammo Hung s'appelle Wong Fei-Hung. Pur clin d'oeil.

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Lam Yut-Chung incarne un Fei-Hung en culotte courte

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Gordon Liu

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Kwan Tak-Hing

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Kwan Tak-Hing

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Le personnage de Wong Fei-Hung a été renommé pour ne pas nuire à sa réputation. L'intrigue s'attarde sur le parcours de son disciple Lam Sai-Wing, qui fut par ailleurs le vrai maître du réalisateur/chorégraphe/acteur Liu Chia-Liang.