Je sais pas pourquoi, mais je me lasse pas de ce film, es-ce à cause la B.O. qui m'éclate ou les subtiles apparitions de Beigbeder et tous ces petits détails qu'on voit qu'après 5 visionnages? En tout cas, il défraie la chronique et traduit les clichés de cette profession dit "hype". Assez censé dans ce qu'il dit, à travers ces dires, on a tendance à analyser notre propre position face à la publicité et ses manipulations. Car au fond, on espère tous qu'ils disent vrai: dents toujours plus blanches, fond de teint à la tenue parfaite, et autres conneries. Il traduit parfaitement ce systhème manipulateur.
le parti pris de créer deux fins laisse au spectateur le choix, ce qui est d'abord inattendu et assez intéressant. On a tous cru que le film s'est terminé à la chute du protagoniste, MAIS NON. Ce qui met en haleine le spectateur.
Après quelles fins colle le mieux, cela reste un choix, bien que évident.
Bref, du cynisme, de l'humour noir et du mépris comme j'aime!
.