Fiche technique

Auteur :

Paul Joly
Genre : Vie pratiqueDate de publication (pays d'origine) : Parution France : octobre 2008

Éditeur :

Grancher
ISBN : 9782733910481

Résumé : Pourquoi nous sentons-nous bien dans certaines maisons et très mal à l'aise dans d'autres ? Pourquoi un être humain sans maison devient-il rapidement un exclu, et une maison sans habitant une ruine ?Notre demeure est vivante et elle est l'acteur de notre façon d'être. Mais la modernisation de nos cités et de notre habitat nous a fait oublier ces principes essentiels à un bon équilibre de vie. Ce début de siècle place de nouveau la maison au coeur de toutes les attentions, pour une autre raison : le nombre de plus en plus important de personnes âgées ou handicapées qui souhaitent continuer à vivre chez elles, dans les meilleures conditions. Grâce à elles, l'accessibilité est devenue un nouvel enjeu de l'architecture contemporaine.Et si la maison idéale était celle qui peut accueillir, dans les mêmes conditions pratiques, esthétiques et de confort, la personne bien portante comme celle qui est malade, la personne jeune comme celle qui est âgée ?Dans le cadre de ses missions d'expert, l'auteur a expérimenté le pouvoir thérapeutique de l'architecture. Il sillonne la France depuis plus de vingt ans et rencontre chez elles les personnes handicapées, pour améliorer leur autonomie en aménageant leur intérieur. Dans ce livre, il pousse la porte de votre domicile et vous propose des solutions, des remèdes et des idées pour vivre en harmonie avec votre intérieur, dans toutes les conditions de vie. Paul JOLY est architecte D.P.L.G. licencié en urbanisme, pilote du forum Accessibilité du Conseil national Handicap et expert consultant en accessibilité et grand handicap. Il est le spécialiste français de l'amélioration de l'autonomie et de l'accessibilité par l'aménagement intérieur et extérieur du domicile.Extrait du livre :Notre société évolue à toute vitesse, mais pas nos maisons. Des phénomènes comme l'éclatement des familles et leur recomposition, ou le travail à la maison, ou encore le maintien des personnes âgées à domicile, auraient dû entraîner une gestion différente de