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C'est mon premier écris sur Sens critique, et non je ne garderai pas le meilleur pour la fin.
Ne cachant pas mon goût pour le cinéma, je commencerai par un livre.
Le rapport ? l'écriture de ce livre est surprenante.

On a pourtant acheté le livre dans une librairie, avec tout ce que cela implique, un cheminent, un prix, une caisse...

Comment se fait-il qu'en le lisant j'ai l'impression de tomber sur le journal intime d'un homme, comme si je l'avais trouvé dans un grenier, dans un coffre. Car il faut le dire c'est un trésor.

Après avoir parcourus toutes les critiques, on se pose souvent la question de savoir ce qu'on peut apporter de plus, mon point de vu n'est qu'un complément. Même si ce livre est souvent lié à la jeunesse, le passé, et embaume notre mémoire d'une agréable sensation je me suis risqué à le relire et OUI c'est le seul livre que j'ai relu.

Comme un film on s'étonne à comprendre et trouver des indices éparpillés partout, des subtilités ignorées.

La démence laissant place à la raison pour rechuter, c'est un schéma classique répétable partout, pour tout. Belle preuve et bon constat de la société, pour un livre écrit en 1959. Notamment sur un constat:
"J...e.., j..e, Je, moi, rien que moi, Moi, rien que moi, moi, Je , j..e, j...e.."

Mes 3 mots:

- Humain
- Proche
- Nomnom

N'avez-vous jamais remarqué que le mouvement que vous effectuez pour ouvrir une fenêtre est le même pour ouvrir un livre ? Maintenant oui.