Francesca est veuve depuis plusieurs années et voit le cousin de feu son mari, Michael, revenir en Angleterre. Très rapidement, la jeune femme se rend compte qu’elle n’est pas insensible à ses charmes et que Michael n’est pas insensible aux siens…
Typiquement l’histoire subit clairement le contrecoup des précédents tomes : comme Francesca n’a jamais pu exister en tant que personnage secondaire dans les précédents tomes -on savait seulement qu’elle était déjà veuve, il nous faut installer dans les premiers chapitres le mariage et la mort du premier mari. Après, l’histoire coule de source mais, comme ça se passe à peu près au même moment que les deux précédents tomes, on a de nouveau plusieurs éléments de référence mais qui ne servent pas à grand-chose dans l’histoire. Bien sûr, on a toujours plusieurs intrigues fort intéressantes mais, une nouvelle fois, comme les protagonistes sont allés s’isoler à la campagne, le plus fort de toute la narration est quand même une pluie écossaise et une intrigue autour du paludisme. De plus, je pense qu’on commence à faire le tour de tous les personnages intéressants puisque, si Francesca apparaissait de temps en temps dans le fond de l’histoire, ni Hyacinthe, ni Gregory n’ont jamais été présentés d’une certaine manière à ce que je veuille découvrir leur histoire future.
Donc je crains le pire pour la suite…