le 9 déc. 2022
Litterature tracto-pelle
J'ai été fortement déçu par « Isabelle, l'après-midi ». L'histoire de cette relation cachée entre une bourgeoise d'age mur se voulant libérée mais évoluant en réalité dans un milieu ultra...
Imaginons, Paris, janvier 1978, à 8h 18 du matin, train de nuit en direct d'Amsterdam, où la fumée, mais pas que de cigarettes, inhibe le cerveau, où le paquet de Camel est à 3 francs, où on fume dans le RER, etc. Ce Paris là d'Isabelle, l'après-midi, Douglas Kennedy nous en offre des images dans le 5ème arrondissement, et retrouver le restaurant au steak-frites, crème caramel, et verre de vin rouge, traîner dans le bistrot de la rue Champollion et écluser de l'alcool jusqu'à la fin de la nui dans le Sunside Jazz Club.
Isabelle, l'après-midi raconte l'histoire d'une nouvelle Madame Bovary, tellement française, qui s'essaye à un adultère de confort avec son jeune américain, sans jamais envisager de se séparer de son mari, Charles, beaucoup plus âgé mais riche et influent. On pense un peu à "Cléo de 5 à 7" d'Agnès Varda , ou à "L'amour l'après-midi" d'Eric Rohmer
Si c'était une passade, avant que le jeune étudiant rejoigne Harvard et ses études de droit, sûr qu'on pouvait s'attendre, dès l'ouverture des frontières, à des circuits de touristes dans Paris pour célébrer cet amour à la française que nos amis américains imaginent toujours avec tellement de romantisme teintée de sexualité et liberté qui la fascine.
La suite ici
https://vagabondageautourdesoi.com/2020/08/14/isabelle-lapres-midi-douglas-kennedy/
Créée
le 14 août 2020
Critique lue 237 fois
le 9 déc. 2022
J'ai été fortement déçu par « Isabelle, l'après-midi ». L'histoire de cette relation cachée entre une bourgeoise d'age mur se voulant libérée mais évoluant en réalité dans un milieu ultra...
le 28 juin 2022
Dans Isabelle, l'après-midi, Douglas Kennedy utilise la même recette que pour sa précédente trilogie "La symphonie du hasard", celle de la chronique au long cours. Cette fois-ci, il choisit de suivre...
le 14 août 2020
Imaginons, Paris, janvier 1978, à 8h 18 du matin, train de nuit en direct d'Amsterdam, où la fumée, mais pas que de cigarettes, inhibe le cerveau, où le paquet de Camel est à 3 francs, où on fume...
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