De la littérature d'exploitation de jeu vidéo bien ficelée. Rien d'extraordinaire mais l’ambiance Dishonored est bien retranscrite. Venant d'Adam Christopher ce n'est guère étonnant, d'autant qu'on sent l'amour qu'il porte au matériau d'origine. Je ne pourrais toutefois que conseiller d'avantage ses créations propres, que ce soit le diptyque Empire State ou ses autres romans qui lui permettent de laisser libre cours à son originalité et à son imagination prolifique.
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le 6 avr. 2017
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