Voilà notre Balzac national qui revisite Goethe et se met, tout soudainement, à se lancer dans le fantastique !
Le résultat est assez réussi, et on y reconnaît tout de même bien l'empreinte de l'auteur. Il se rapproche ainsi, dans cette oeuvre, de Théophile Gautier, et même de Maupassant. La langue française du XIXème est quand même assez typique !
A quel siècle pour la littérature et la peinture !
Je suis tombé sur une adaptation de ce roman court en bande dessinée, située à la fin du XXème, et assez libertine. Raphaël de Valentin y est représenté en minet flambleur et dragueur, avec un physique intermédiaire entre ceux de Marc Lavoine et d'Anthony Delon.