La serpe de Philippe Jaenada : se lit très facilement . Jaenada décrit les évènements d'une certaine manière : une famille dysfonctionnelle, mais quelle famille ne l'est pas, de l'argent, un triple meurtre, un procès, un accusé qui sortira de prison à la fin du procès, une vie particulière quand même pour l'auteur du salaire de la peur , et là, patatras, Jeanada reprend le crime par un autre bout de la lorgnette. D'abord, j'étais heureuse de retrouver l'avocat MAurice Garçon dont j'ai adoré le journal. Jaenada le décrit comme un être qui fait très bien son travail ( ce que je pensais aussi). et Jaenada lance une hypothèse qu'il semble avoir bien étudiée, et c'est passionnant. Il montre d'autres facettes de l'amour filial, et c'est perturbant. C'est étonnant, ça se lit comme un polar,manque plus que les photos du crime et des lieux, mais ce serait certainement trop dur à regarder. Contente de l'avoir lu