7
Les choses de la vie
Après l'enchantement qu'avait fait naître le premier tome du "Meurtre du Commandeur", et l'intérêt généré par l'abord de thèmes sans doute plus personnels pour son auteur, comme la création...
Par
le 14 nov. 2019
2 j'aime
Illusions retrouvées
"Il n'y a rien de certain en ce monde. Mais cela n'empêche pas de croire en quelque chose."
Les grandes œuvres, disait Flaubert, sont comme les grands animaux : elles ont la mine tranquille.
10
Écrit par
Cet utilisateur l'a également mis dans ses coups de cœur.
Créée
le 13 avr. 2020
Critique lue 73 fois
D'autres avis sur La métaphore se déplace
7
La boucle est bouclée
C’est ainsi que j’achève ma lecture de la – courte – série du Meurtre du commandeur. Rappelez-vous, le livre 1 s’intitulait « Une idée apparaît », cette fois c’est « La métaphore se déplace »...
Par
le 18 mars 2019
1 j'aime
7
Un décidément très long fleuve pas si tranquille du tout
Le meurtre du commandeur: un roman en 2 parties extrêmement long, de plus de 1000 pages, séparé en 2 tomes. Aussi, je vais copier / coller 2 fois la même critique car c'est le même livre après...
Par
le 9 mai 2023
Du même critique
4
Pur génie
Donc, résumons : ces gens ont embarqué au sein d'un vaisseau spatial à la rencontre d'une civilisation extraterreste prétendument intelligente. Il y a le capitaine, le chercheur, la psychologue, le...
Par
le 17 mars 2019
19 j'aime
6
7
Berezina 2.0
Je distingue deux choses dans la notation d'un documentaire : le sujet en lui-même et la façon dont il est traité. Ici, le sujet est excellent : un festival pour happy few survendu par quelques...
Par
le 25 févr. 2019
10 j'aime
5
7
Le monde comme il va
On acclame souvent Houellebecq pour son regard aiguisé sur notre monde, la clairvoyance de sa critique. Il me semble pourtant que non seulement Houellebecq n'est pas un anti-moderne, mais que c'est...
Par
le 17 juin 2019
8 j'aime
3
