Dans le monde merveilleux de Mr.Krugman, il n’y a ni matière ni temps ni ressources ni violence, seulement des gains à l’échange pour humains éclairés.

En bon économiste il se contente de résoudre naïvement un système commercial mondial qui exclut toutes les idiosyncrasies et geo-stratégies nationales.

Ne sont considérés que les gains monétaires à l’échange et non pas leur nature : biens de première nécessité ou de luxe, fondus ensembles dans les mêmes agrégats.

Si le marché décide que l’on paie sa coupe de cheveux (exemple du livre…) plus cher que son repas de midi, quand tout va bien, spécialisons nous sans crainte !




clmentib
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