le 3 sept. 2018
Le crime est de l’avoir écrit
Impossible de finir ce livre même après 150 pages (je déteste pourtant abandonner un livre ou un film en cours). Entre l’écriture moyenne, l’histoire qui n’avance pas, les personnages sans profondeur...
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Comme l'an passé, voici un polar qui sera certain de son succès grâce au bandeau "Prix du quai des orfèvres 2016". Tant mieux pour lui et je lui souhaite une belle aventure. Qu'il en profite...
Côté histoire, voici un polar classique, construit selon les codes des séries TV, sans vrai surprise, sans personnage charismatique, sans dénouement étonnant. Je dirai même, c'est du déjà vu depuis Grangé et ses Rivières Pourpres. Ceux qui connaissent ce roman, comprendront. Mais s'arrête là le point commun.
Le livre se lit bien, vite, et s'oubliera aussi vite.
L'intrigue n'apporte pas vraiment de nouveautés, les méchants le sont tout juste, les flics sont communs, les personnages sont attendus, et le côté procédurier est un peu lourd. Il manque un élan un peu délirant pour lui donner un souffle intéressant. Le lecteur ne sera pas décontenancé et ne s'ennuiera pas. Quoique... ?
Si vous avez épuisé votre PAL, cet été, n'hésitez pas. Vous oublierez vos coups de soleil.
Créée
le 29 févr. 2016
Critique lue 316 fois
le 3 sept. 2018
Impossible de finir ce livre même après 150 pages (je déteste pourtant abandonner un livre ou un film en cours). Entre l’écriture moyenne, l’histoire qui n’avance pas, les personnages sans profondeur...
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